↧
Les graves révélations de Mambaye Niang sur Wade, Sonko, Karim Wade...
↧
Kaolack: le Maire de Sibassor solde ses comptes avec le ministre Diéne Farba Sarr
Accusé par un conseiller municipal d'avoir voulu saboter la journée de nettoyage organisée par ses « adversaires », le maire de Sibassor est monté au créneau pour apporter sa version des faits. Au micro de Leral.net, Djiby Kalidou Niang accuse le ministre Diène Farba Sarr d’instrumentaliser ses adversaires politiques pour le déstabiliser.
↧
↧
Rencontre de Mame Adama Guèye avec l’opposition, la COJER parle de théâtre

Les rencontres initiées par Me Mame Adama Guèye à l’endroit de certains leaders de l’opposition pour l’instauration d’une plateforme de sécurisation des élections préoccupent le parti au pouvoir. Ce sont les jeunes de COJER qui sont envoyés au charbon pour tirer sur le leader de Sénégal Bou Bess.
Face à la presse hier, Thérèse Faye Diouf et Cie n’ont pas fait dans la demi-mesure. Pour eux, « le prototype de leaders qui n’existent qu’à travers les réseaux sociaux est bien Me Adama Guèye, qui vient de sortir de la course à la présidentielle, parce qu‘incapable d’atteindre le minimum de signatures requises ».
Occasion que saisira la coordinatrice de la COJER pour assimiler ces rencontres avec les leaders de l’opposition, à une théâtralisation.
« Ces rencontres avec certains leaders de l’opposition ne sont que divertissement et pur théâtre », dit-elle.
Walfquotidien
Face à la presse hier, Thérèse Faye Diouf et Cie n’ont pas fait dans la demi-mesure. Pour eux, « le prototype de leaders qui n’existent qu’à travers les réseaux sociaux est bien Me Adama Guèye, qui vient de sortir de la course à la présidentielle, parce qu‘incapable d’atteindre le minimum de signatures requises ».
Occasion que saisira la coordinatrice de la COJER pour assimiler ces rencontres avec les leaders de l’opposition, à une théâtralisation.
« Ces rencontres avec certains leaders de l’opposition ne sont que divertissement et pur théâtre », dit-elle.
Walfquotidien
↧
VIDEO - Macky Sall sur l’usage du Web au Sénégal: "En plus des activités criminelles, Internet est devenu le lieu commun de toutes les dérives"
Présidant la journée des Forces armées, samedi dernier, le Président Macky Sall a rendu un vibrant hommage aux forces armées qui selon lui "sont un exemple dans l'éducation citoyenne". Dans son discours, le chef de l’Etat a déploré l’usage par certains de ses concitoyens de l’internet, pointant un doigt accusateur, les « fake news » ou fausses informations, les « incivilités » et autres « violences verbales de toutes sortes». « Personne n’est épargné y compris nos figures religieuses. Ce sont nos valeurs qui sont ainsi agressées et les fondements de notre cohésion sociale, fragilisés. Tout cela est inacceptable » a-t-il regretté, avant de lancer un appel à ne pas « céder devant ce péril ».
↧
Centre commercial de la Grande mosquée de Dakar: un nouveau scandale

Courant 2002, Mouhamadou Makhfouze Ly, Oumar Ibrahima Dia, Mamadou Samba Dia, Amadou Ndiaye et Amadou Ly dit Amada avaient décidé en parfaite collaboration, de construire un centre commercial dans l’enceinte de la Grande mosquée de Dakar et qui sera dénommé ‘’Centre commercial Maodo Sylla’’. Le site est constitué de 152 magasins qui seront mis en location aux clients qui en exprimaient le besoin. Ainsi, à la réalisation des 80% des travaux, Amada, sans aviser ses partenaires, se désolidarise en mettant fin à cette collaboration.
Il s’allie avec l’imam Oumar Diène, le représentant de la Grande mosquée à l’époque des faits, pour se rendre ensemble au domicile de feu Oumar Guèye, directeur de l’institut islamique qui leur établit un contrat dans lequel Amada est désigné comme seul et unique promoteur du Centre commercial. Quelques temps après l’achèvement des travaux de construction, pour une bonne gestion, Mouhamadou Makhfouze Ly, Oumar Ibrahima Dia, Mamadou Samba Dia et Amadou Ndiaye désignent Abdoulaye Diagne comme chargé de récupérer les redevances locatives dudit centre commercial.
Informés par la suite des agissements de leur ancien collaborateur, Amada, ils portent plainte devant le Procureur contre ce dernier et son allié, pour abus de confiance, faux et usage de faux. Amada et Omar Diène furent arrêtés et mis sous mandat de dépôt. Lors de leur jugement, ils retrouvent avec une peine d’une année ferme de prison avec une amende de 360 millions de FCfa assortis d’une contrainte maximum par corps. Leurs avocats saisissent alors le juge et pour préserver les intérêts des deux parties, Abdoulaye Diagne fut destitué.
Aux origines d’un nouveau scandale
Par arrêt numéro 145 rendu le 11 août 2009 par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar, l’expert judiciaire Tanor Mbaye a été désigné en qualité de séquestre du centre commercial ‘’Maodo Sylla’’ en remplacement d’Abdoulaye Diagne, avec pour mission de gérer et d’administrer ledit centre en attendant la décision finale du juge. Au mois de janvier 2018, après une médiation pénale entre les deux parties, le juge ordonne à Tanor Mbaye de faire le bilan de la gestion durant la période de 2007 à 2017.
Ce dernier, à la date du 23 août 2017, dépose un rapport financier faisant état des recettes globales de 150,103 millions de FCfa et de dépenses engagées à hauteur de 91,8 millions. Il déclare avoir encaisse 58,115millions, état que le collectif a contesté, car les responsables soulignaient que les dépenses ne pouvaient pas atteindre la somme prétextée par l’expert judiciaire.
A la suite de nombreuses procédures, les parties en conflit à savoir Tanor Mbaye et le collectif du Centre commercial ont signé un procès-verbal de conciliation homologuée par le tribunal de Grande instance de Dakar le 6 décembre 2017, dans lequel en sonarticle7, il est ordonné au séquestre de reverser la somme déclarée qu’il reconnaît détenir en caisse (58,115 millions de FCfa), en attendant de fournir des justificatifs des dépenses qu’il estime à 91, 897 millions de Fcfa.
Cependant, à la date du 6 décembre 2017, ce montant est réclamé par correspondance à Tanor Mbaye qui n’a donné aucune suite à cette demande. En l’absence de réaction du requis, cette même demande a été réitérée le 18 décembre 2017 mais c’était sans succès et, à ce jour, Tanor Mbaye ne s’est pas exécuté. Ainsi pour entrer en possession de leurs fonds et obtenir la réparation du préjudice causé, Mouhamadou Makhfouze Ly et Cie ont décidé de porter l’affaire devant la Justice.
Les aveux de l’expert judiciaire à la SR
Entendu par la Section de Recherches qui a été chargée de l’enquête, Tanor Mbaye n’a pas nié les faits. Au contraire, il déclare que compte tenu des difficultés qu’il avait rencontrées, il s’était rapproché des conseils des plaignants en vue de négocier un délai pour rembourser la somme ou tout au moins, une partie et négocier le reste dans le cadre d’une médiation pénale.
Il affirme que pour une affaire qui s’est passée il y a de cela huit ans, ce dont il est sûr, c’est qu’il avait déclaré avoir recouvré la somme de 150,103 millions de FCfa et engagé des dépenses de 91,897millions, d’oùla somme de 58,115 millions en caisse. Il reconnaît en outre avoir utilisé à des fins personnelles cette somme qu’il avait déclarée disposer en caisse. Seulement, il disait travailler actuellement dans des transactions immobilières qui peuvent lui rapporter entre 60 et 70 millions de FCfa.
Ce qui peut, selon lui, largement éponger la dette mais malheureusement, ces ventes tarderaient à se réaliser compte tenu de la conjoncture difficile. Il souhaiterait que la partie plaignante lui octroie un délai de trois mois pour au moins rembourser une partie de la dette.
Libération
Il s’allie avec l’imam Oumar Diène, le représentant de la Grande mosquée à l’époque des faits, pour se rendre ensemble au domicile de feu Oumar Guèye, directeur de l’institut islamique qui leur établit un contrat dans lequel Amada est désigné comme seul et unique promoteur du Centre commercial. Quelques temps après l’achèvement des travaux de construction, pour une bonne gestion, Mouhamadou Makhfouze Ly, Oumar Ibrahima Dia, Mamadou Samba Dia et Amadou Ndiaye désignent Abdoulaye Diagne comme chargé de récupérer les redevances locatives dudit centre commercial.
Informés par la suite des agissements de leur ancien collaborateur, Amada, ils portent plainte devant le Procureur contre ce dernier et son allié, pour abus de confiance, faux et usage de faux. Amada et Omar Diène furent arrêtés et mis sous mandat de dépôt. Lors de leur jugement, ils retrouvent avec une peine d’une année ferme de prison avec une amende de 360 millions de FCfa assortis d’une contrainte maximum par corps. Leurs avocats saisissent alors le juge et pour préserver les intérêts des deux parties, Abdoulaye Diagne fut destitué.
Aux origines d’un nouveau scandale
Par arrêt numéro 145 rendu le 11 août 2009 par la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar, l’expert judiciaire Tanor Mbaye a été désigné en qualité de séquestre du centre commercial ‘’Maodo Sylla’’ en remplacement d’Abdoulaye Diagne, avec pour mission de gérer et d’administrer ledit centre en attendant la décision finale du juge. Au mois de janvier 2018, après une médiation pénale entre les deux parties, le juge ordonne à Tanor Mbaye de faire le bilan de la gestion durant la période de 2007 à 2017.
Ce dernier, à la date du 23 août 2017, dépose un rapport financier faisant état des recettes globales de 150,103 millions de FCfa et de dépenses engagées à hauteur de 91,8 millions. Il déclare avoir encaisse 58,115millions, état que le collectif a contesté, car les responsables soulignaient que les dépenses ne pouvaient pas atteindre la somme prétextée par l’expert judiciaire.
A la suite de nombreuses procédures, les parties en conflit à savoir Tanor Mbaye et le collectif du Centre commercial ont signé un procès-verbal de conciliation homologuée par le tribunal de Grande instance de Dakar le 6 décembre 2017, dans lequel en sonarticle7, il est ordonné au séquestre de reverser la somme déclarée qu’il reconnaît détenir en caisse (58,115 millions de FCfa), en attendant de fournir des justificatifs des dépenses qu’il estime à 91, 897 millions de Fcfa.
Cependant, à la date du 6 décembre 2017, ce montant est réclamé par correspondance à Tanor Mbaye qui n’a donné aucune suite à cette demande. En l’absence de réaction du requis, cette même demande a été réitérée le 18 décembre 2017 mais c’était sans succès et, à ce jour, Tanor Mbaye ne s’est pas exécuté. Ainsi pour entrer en possession de leurs fonds et obtenir la réparation du préjudice causé, Mouhamadou Makhfouze Ly et Cie ont décidé de porter l’affaire devant la Justice.
Les aveux de l’expert judiciaire à la SR
Entendu par la Section de Recherches qui a été chargée de l’enquête, Tanor Mbaye n’a pas nié les faits. Au contraire, il déclare que compte tenu des difficultés qu’il avait rencontrées, il s’était rapproché des conseils des plaignants en vue de négocier un délai pour rembourser la somme ou tout au moins, une partie et négocier le reste dans le cadre d’une médiation pénale.
Il affirme que pour une affaire qui s’est passée il y a de cela huit ans, ce dont il est sûr, c’est qu’il avait déclaré avoir recouvré la somme de 150,103 millions de FCfa et engagé des dépenses de 91,897millions, d’oùla somme de 58,115 millions en caisse. Il reconnaît en outre avoir utilisé à des fins personnelles cette somme qu’il avait déclarée disposer en caisse. Seulement, il disait travailler actuellement dans des transactions immobilières qui peuvent lui rapporter entre 60 et 70 millions de FCfa.
Ce qui peut, selon lui, largement éponger la dette mais malheureusement, ces ventes tarderaient à se réaliser compte tenu de la conjoncture difficile. Il souhaiterait que la partie plaignante lui octroie un délai de trois mois pour au moins rembourser une partie de la dette.
Libération
↧
↧
Vidéo: « La sécurité et la paix font partie du bilan du Président Macky SALL » dixit le Premier Ministre
Le Premier Ministre, Mahammed Boun Abdallah DIONNE, est convaincu d’une éclatante victoire du candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar, le Président Macky SALL à la Présidentielle de 2019. D’après lui, parmi les différents candidats, le Président Macky SALL est le seul capable de relever le défi de l’amélioration durable des conditions de vie des Sénégalais, grâce au Plan Sénégal Emergent (PSE).
«Ce que le Président Macky SALL a réalisé, en moins de sept ans, se passe de commentaires. Ses prédécesseurs ont voulu le faire, mais ils ont en étaient incapables. Le bilan à lui seul peut le faire réélire pour un second mandat de cinq ans », a notamment déclaré le Premier Ministre Mahammed Boun Abdallah DIONNE.
Dans le registre socio-économique, le Premier Ministre a également manifesté sa satisfaction. « La Casamance et le dossier de la Gambie suffisent amplement à réélire le président Macky SALL en février 2019. La sécurité et la paix font également partie du bilan du Président Macky SALL qui empêche les terroristes d’envahir le Sénégal» a-t-il notamment soutenu en insistant sur la pertinence des réalisations faites dans le cadre de la prise en charge de l’équité sociale telles que les autoroutes et le Train Express Régional (TER).
Le Premier Ministre qui présidait ce samedi 10 novembre 2018 la « Journée Mag Sargal Macky » initiée par le Conseil National des Sages Républicains a, en outre, annoncé l’inauguration en janvier prochain du pont de Farafégné par le Président Macky SALL et son homologue de la Gambie le Président Adama BARROW.
Sur le sens de la « Journée Sargal Macky », le Premier Ministre a estimé que «l’objectif de cette rencontre est de magnifier un visionnaire qui s’est illustré à travers des réalisations de haute portée sociale comme la Couverture Maladie Universelle, les Bourses de Sécurité Familiale, les pensions de retraite revalorisées de façon substantielle, le pouvoir d’achat sauvegardé etc. »
Selon lui « le Sénégal sous le Président Macky SALL est en progrès et il faut le dire ».
Dans le registre socio-économique, le Premier Ministre a également manifesté sa satisfaction. « La Casamance et le dossier de la Gambie suffisent amplement à réélire le président Macky SALL en février 2019. La sécurité et la paix font également partie du bilan du Président Macky SALL qui empêche les terroristes d’envahir le Sénégal» a-t-il notamment soutenu en insistant sur la pertinence des réalisations faites dans le cadre de la prise en charge de l’équité sociale telles que les autoroutes et le Train Express Régional (TER).
Le Premier Ministre qui présidait ce samedi 10 novembre 2018 la « Journée Mag Sargal Macky » initiée par le Conseil National des Sages Républicains a, en outre, annoncé l’inauguration en janvier prochain du pont de Farafégné par le Président Macky SALL et son homologue de la Gambie le Président Adama BARROW.
Sur le sens de la « Journée Sargal Macky », le Premier Ministre a estimé que «l’objectif de cette rencontre est de magnifier un visionnaire qui s’est illustré à travers des réalisations de haute portée sociale comme la Couverture Maladie Universelle, les Bourses de Sécurité Familiale, les pensions de retraite revalorisées de façon substantielle, le pouvoir d’achat sauvegardé etc. »
Selon lui « le Sénégal sous le Président Macky SALL est en progrès et il faut le dire ».
↧
Visite du Président Macky Sall à Paris: Un bain de foule impressionnant à son accueil, l’opposition s’efface (images)

Les militants et sympathisants DSE de l’Apr, de Benno, des coalitions qui viennent de rallier le Président Sall ainsi que des Sénégalais apolitiques, ont réservé un accueil exceptionnel au Chef de l’Etat, arrivé samedi soir à Paris pour prendre part aux festivités marquant le centenaire de l’armistice aux côtés de dizaines d’autres Chefs d’Etat et de gouvernement.
Du salon de l’aéroport à la sortie, ils étaient des centaines à braver le froid et la pluie pour acclamer leur leader. Arrivé à la résidence de la rue Vineuse dans le 16e, Macky Sall y trouve une foule impressionnante de ses partisans.
Contrairement à sa dernière visite à Paris, il n’y pas eu l’ombre d’un opposant alors que ses adversaires envisageaient de chahuter son arrivée. Ce qui a fait dire à un responsable : « Les opposants étaient à peine une dizaine. Nous avions fait l’erreur de leur laisser le champ libre. Désormais, c’est terminé. Et ce sera ainsi partout à travers le monde. Plus jamais une visite du Président ne sera sabotée par ces groupuscules ».
Leral.net
Du salon de l’aéroport à la sortie, ils étaient des centaines à braver le froid et la pluie pour acclamer leur leader. Arrivé à la résidence de la rue Vineuse dans le 16e, Macky Sall y trouve une foule impressionnante de ses partisans.
Contrairement à sa dernière visite à Paris, il n’y pas eu l’ombre d’un opposant alors que ses adversaires envisageaient de chahuter son arrivée. Ce qui a fait dire à un responsable : « Les opposants étaient à peine une dizaine. Nous avions fait l’erreur de leur laisser le champ libre. Désormais, c’est terminé. Et ce sera ainsi partout à travers le monde. Plus jamais une visite du Président ne sera sabotée par ces groupuscules ».
Leral.net






↧
Exploitation du fer de la Falémé: Mame Mbaye Niang mouille des opposants
L’opposition aura fort à faire avec le retour en force et en forme de Mame Mbaye Niang à travers «la Plateforme Sénégal 2035» sur la scène publique. Malgré les critiques dans et hors de la mouvance présidentielle, le ministre du Tourisme dit à qui veut l’entendre, que pour Macky Sall, il sera de plus en plus présent sur le terrain. Décidé à mener la vie dure à l’opposition, Mame Mbaye Niang dit être prêt à rétablir la vérité, et rien que la vérité, sur toute question agitée par l’opposition.

Plus aucune parcelle de respiration pour l’opposition. Mame Mbaye Niang compte multiplier les actions pour ne plus laisser l’opposition manipuler les populations. Hier, après avoir fini de présenter la dream team qui l’accompagne dans le cadre de la «Plateforme Sénégal 2035», le ministre du Tourisme et responsable politique à Dakar, a attaqué de nouveau l’opposition.
Et c’est pour apporter un démenti cinglant sur bien des questions agitées par l’opposition. En ce qui concerne les mines de Fer de la Falémé qui, selon l’opposition, sont sur le point d’être cédées aux Turcs, Mame Mbaye Niang dit qu’il n’y a pas plus fausse information. «Tous ces jours, on nous parle de contrats cédés à des Turcs, mais tout cela n’est que de la diversion», dément catégoriquement Mame Mbaye Niang.
Pour lui, en ce qui concerne le fer, ce sont les mêmes qui avaient retiré les mines à Kumba Resources dans des conditions nébuleuses et scandaleuses, qui en parlent à tort et à travers. Mame Mbaye Niang de rappeler que pour cela, l’Etat a été condamné à payer 75 milliards à Mittal. «On n’a même pas encore signé de contrat. On est dans des discussions et ils veulent créer un scandale qui ne repose absolument sur rien, parce que tout simplement, il y a un groupe de Turcs qui a décidé de signer un contrat avec l’Etat du Sénégal sur deux points : le premier, c’est d’installer une usine de fer. Pas d’exploiter le fer ! Ils installent l’industrie de fer. Et dans un second temps, étudier la possibilité d’exploiter Miferso. Ce, après avoir épuisé la collecte des ferrailles que nous avons ici. C’est cela la vérité».
«Parmi les signataires de la pétition de l’opposition, il y a des démarcheurs»
Mame Mbaye Niang dit en effet, qu’aucun contrat n’a été signé et ce que les gens de l’opposition ne disent pas, c’est que certains ont cherché à tirer profit de cette situation. Des discussions avec les Turcs pour se faire de l’argent. «Aucun contrat n’a été signé. Ce que ces gens ne disent pas, c’est que, parmi les signataires de cette pétition contre l’arrivée des Turcs, il y a eu des démarcheurs qui encourageaient des groupes. C’est cela la vérité. La vérité, c’est que parmi les signataires de la pétition, il y a des démarcheurs. Aujourd’hui, ils sont candidats et ils encouragent des groupes qui voulaient exploiter le fer. C’est tout ce qui explique ce tintamarre. Rien d’autre ! Il y a deux parmi eux qui étaient venus avec des groupes pour avoir cette autorisation d’exploiter. Ils n’ont pas été choisis, ils n’ont pas été retenus dans les discussions qui ne sont pas encore finalisées et ils cherchent à créer cette cacophonie».
«Suez va nous vendre l’eau 64 francs de moins que la Sde»
Au sujet de la polémique autour de l’exploitation de l’eau par Suez et pas la Sde qui emploient des fils du Sénégal, le ministre du Tourisme relativise. Pour Mame Mbaye Niang, il n’y a pas que l’aspect financier qui a motivé la décision de l’Etat de se séparer de la Sénégalaise des eaux. «Ce qu’il faut retenir, c’est que d’abord, il y a un manque à gagner de 250 milliards de l’Etat du Sénégal dans le contrat de la Sde. C’est important de le dire aussi ! Sde nous vendait le m3 à 364 F alors que Suez nous propose 300 F, donc 64 F de moins».
«L’opposition est en train de travailler dans des schémas pour déstabiliser le pays»
Mame Mbaye Niang de dire qu’il n’y a pas photo entre ce que leur ont proposé jusque-là la Sde et Suez. « Il n’y a pas de nébuleuse, de deal ou de je ne sais quoi, que l’opposition veut faire croire aux Sénégalais. Ils voient des deals partout, mais la vérité, c’est qu’ils ne veulent pas aller aux élections. La vérité est qu’ils sont en train de travailler dans des schémas pour déstabiliser le pays ; la vérité, c’est qu’ils sont en train de s’organiser pour discréditer les élections qu’ils ont perdues d’avance. Les vraies questions, ils n’en parlent pas», se défend le ministre.
Les Echos
Et c’est pour apporter un démenti cinglant sur bien des questions agitées par l’opposition. En ce qui concerne les mines de Fer de la Falémé qui, selon l’opposition, sont sur le point d’être cédées aux Turcs, Mame Mbaye Niang dit qu’il n’y a pas plus fausse information. «Tous ces jours, on nous parle de contrats cédés à des Turcs, mais tout cela n’est que de la diversion», dément catégoriquement Mame Mbaye Niang.
Pour lui, en ce qui concerne le fer, ce sont les mêmes qui avaient retiré les mines à Kumba Resources dans des conditions nébuleuses et scandaleuses, qui en parlent à tort et à travers. Mame Mbaye Niang de rappeler que pour cela, l’Etat a été condamné à payer 75 milliards à Mittal. «On n’a même pas encore signé de contrat. On est dans des discussions et ils veulent créer un scandale qui ne repose absolument sur rien, parce que tout simplement, il y a un groupe de Turcs qui a décidé de signer un contrat avec l’Etat du Sénégal sur deux points : le premier, c’est d’installer une usine de fer. Pas d’exploiter le fer ! Ils installent l’industrie de fer. Et dans un second temps, étudier la possibilité d’exploiter Miferso. Ce, après avoir épuisé la collecte des ferrailles que nous avons ici. C’est cela la vérité».
«Parmi les signataires de la pétition de l’opposition, il y a des démarcheurs»
Mame Mbaye Niang dit en effet, qu’aucun contrat n’a été signé et ce que les gens de l’opposition ne disent pas, c’est que certains ont cherché à tirer profit de cette situation. Des discussions avec les Turcs pour se faire de l’argent. «Aucun contrat n’a été signé. Ce que ces gens ne disent pas, c’est que, parmi les signataires de cette pétition contre l’arrivée des Turcs, il y a eu des démarcheurs qui encourageaient des groupes. C’est cela la vérité. La vérité, c’est que parmi les signataires de la pétition, il y a des démarcheurs. Aujourd’hui, ils sont candidats et ils encouragent des groupes qui voulaient exploiter le fer. C’est tout ce qui explique ce tintamarre. Rien d’autre ! Il y a deux parmi eux qui étaient venus avec des groupes pour avoir cette autorisation d’exploiter. Ils n’ont pas été choisis, ils n’ont pas été retenus dans les discussions qui ne sont pas encore finalisées et ils cherchent à créer cette cacophonie».
«Suez va nous vendre l’eau 64 francs de moins que la Sde»
Au sujet de la polémique autour de l’exploitation de l’eau par Suez et pas la Sde qui emploient des fils du Sénégal, le ministre du Tourisme relativise. Pour Mame Mbaye Niang, il n’y a pas que l’aspect financier qui a motivé la décision de l’Etat de se séparer de la Sénégalaise des eaux. «Ce qu’il faut retenir, c’est que d’abord, il y a un manque à gagner de 250 milliards de l’Etat du Sénégal dans le contrat de la Sde. C’est important de le dire aussi ! Sde nous vendait le m3 à 364 F alors que Suez nous propose 300 F, donc 64 F de moins».
«L’opposition est en train de travailler dans des schémas pour déstabiliser le pays»
Mame Mbaye Niang de dire qu’il n’y a pas photo entre ce que leur ont proposé jusque-là la Sde et Suez. « Il n’y a pas de nébuleuse, de deal ou de je ne sais quoi, que l’opposition veut faire croire aux Sénégalais. Ils voient des deals partout, mais la vérité, c’est qu’ils ne veulent pas aller aux élections. La vérité est qu’ils sont en train de travailler dans des schémas pour déstabiliser le pays ; la vérité, c’est qu’ils sont en train de s’organiser pour discréditer les élections qu’ils ont perdues d’avance. Les vraies questions, ils n’en parlent pas», se défend le ministre.
Les Echos
↧
Mahammed Dionne attaque l’opposition au congrès de Moussa Sy: «Ils perdent leur temps à travers des promenades, alors qu’ils n’ont même pas encore réuni le nombre de parrainages exigé»
Venu présider le premier congrès de l’Appel national pour la citoyenneté (Anc) de Moussa Sy, le Premier ministre Mahammed Dionne à sévèrement critiqué l’opposition. Zappant les nombreuses propositions du maire des Parcelles Assainies, le chef du gouvernement a préféré jeter des fleurs à leur nouveau partenaire politique.

Porté, hier, à la tête du mouvement politique l’Appel national pour la citoyenneté (Anc) pour un mandat de 3 ans, Moussa Sy n’a pas perdu du temps. Devant le Premier ministre Mahammed Dionne, le ministre d’État Mbaye Ndiaye et le ministre des Finances Amadou Ba, il a profité de l’occasion pour investir le candidat Macky Sall pour la présidentielle 2019.
Après avoir chanté les louanges du Président Macky Sall, Moussa Sy, avec l’accord de l’Anc, a investi le candidat à la candidature Macky Sall.
Auparavant, le maire des Parcelles Assainies avait étalé une longue liste de propositions. Parmi celles-ci, il évoque la nécessité de renforcer la charte fondamentale, l’instauration d’un numéro d’indentification fiscale pour, dit-il, encourager les Sénégalais à payer l’impôt, la suppression du scrutin de liste et l’adoption d’un scrutin uninominal pour les élections législatives et municipales. Il a également évoqué les secteurs de la santé et de l’éducation, avant d’insister sur la délivrance des cartes d’identité.
«100% c’est trop. Prenons les 90% et laissons les 10% restants aux candidats virtuels à la candidature»
Venu présider la manifestation, le Premier ministre s’est, une nouvelle fois, attaqué aux leaders de l’opposition. «Aux Parcelles Assainies, le président de la République peut compter maintenant sur trois ténors : Amadou Ba, Moussa Sy et Mbaye Ndiaye. S’ils travaillent ensemble, le Président Macky Sall devra gagner les Parcelles avec pas moins de 90%», espère Mahammed Dionne qui, devant l’insistance de l’assistance à donner 100% au candidat Macky Sall, demande de laisser les 10% restants à l’opposition en guise d’aumône.
«100% c’est trop. Prenons les 90% et laissons les 10% restants aux candidats virtuels à la candidature. Ils perdent leur temps à travers des promenades à travers le pays ou même à l’étranger, alors qu’ils n’ont même pas encore réuni le nombre de parrainages exigé. Nous voyons des anciens candidats, qui n’ont même pas de parrains, errer à travers la ville. Mais ils ne nous font pas peur du tout. Ils ne signifient rien du tout, ils doivent savoir que zéro plus zéro égale zéro», critique le Premier ministre en langue wolof.
Le Premier ministre a rappelé la vieille légende qui veut que pour une élection, «qui gagne les Parcelles Assainies, gagne Dakar». «Tant que Moussa Sy est à ses côtés, avec le ministre d’État Mbaye Ndiaye et le ministre Amadou Ba, le Président Macky Sall peut dormir tranquillement parce qu’il va facilement gagner Dakar, de la même manière qu’il va gagner dans tout le Sénégal», a-t-il dit.
Les Echos
Après avoir chanté les louanges du Président Macky Sall, Moussa Sy, avec l’accord de l’Anc, a investi le candidat à la candidature Macky Sall.
Auparavant, le maire des Parcelles Assainies avait étalé une longue liste de propositions. Parmi celles-ci, il évoque la nécessité de renforcer la charte fondamentale, l’instauration d’un numéro d’indentification fiscale pour, dit-il, encourager les Sénégalais à payer l’impôt, la suppression du scrutin de liste et l’adoption d’un scrutin uninominal pour les élections législatives et municipales. Il a également évoqué les secteurs de la santé et de l’éducation, avant d’insister sur la délivrance des cartes d’identité.
«100% c’est trop. Prenons les 90% et laissons les 10% restants aux candidats virtuels à la candidature»
Venu présider la manifestation, le Premier ministre s’est, une nouvelle fois, attaqué aux leaders de l’opposition. «Aux Parcelles Assainies, le président de la République peut compter maintenant sur trois ténors : Amadou Ba, Moussa Sy et Mbaye Ndiaye. S’ils travaillent ensemble, le Président Macky Sall devra gagner les Parcelles avec pas moins de 90%», espère Mahammed Dionne qui, devant l’insistance de l’assistance à donner 100% au candidat Macky Sall, demande de laisser les 10% restants à l’opposition en guise d’aumône.
«100% c’est trop. Prenons les 90% et laissons les 10% restants aux candidats virtuels à la candidature. Ils perdent leur temps à travers des promenades à travers le pays ou même à l’étranger, alors qu’ils n’ont même pas encore réuni le nombre de parrainages exigé. Nous voyons des anciens candidats, qui n’ont même pas de parrains, errer à travers la ville. Mais ils ne nous font pas peur du tout. Ils ne signifient rien du tout, ils doivent savoir que zéro plus zéro égale zéro», critique le Premier ministre en langue wolof.
Le Premier ministre a rappelé la vieille légende qui veut que pour une élection, «qui gagne les Parcelles Assainies, gagne Dakar». «Tant que Moussa Sy est à ses côtés, avec le ministre d’État Mbaye Ndiaye et le ministre Amadou Ba, le Président Macky Sall peut dormir tranquillement parce qu’il va facilement gagner Dakar, de la même manière qu’il va gagner dans tout le Sénégal», a-t-il dit.
Les Echos
↧
↧
OCCUPATION ANARCHIQUE DE LA VOIE PUBLIQUE: Quand les ronds-points deviennent des centres commerciaux
La quasi-totalité des ronds-points de la banlieue dakaroise sont transformés en de véritables centres commerciaux à ciel ouvert. Depuis quelque temps, des commerçants ont pris d’assaut ces lieux qui ne sont pas destinés à la vente. Seulement, ils brandissent comme thèse l’inaccessibilité des marchés due à un coût élevé des cantines. Et pourtant, cette situation n’est pas sans risque pour eux. Du coté de la population,l’on souhaite tout simplement le déguerpissement de ces vendeurs.

Presque tous les ronds-points de la capitale sont devenus aujourd’hui des marchés. Une anarchie totale règne dans ces lieux. A la tombée de la nuit, des vendeurs prennent la direction de ces sites, chacun veut occuper une place confortable et accessible pour les visiteurs.
Au niveau de la banlieue, le rond-point « station Tally bou mag » est le lieu de prédilection de presque tous les marchands ambulants. 20 heures passées,nous rencontrons Ibrahima Sène, un jeune âgé d’une trentaine d’années. Il se précipite pour étaler sa marchandise. Il y expose tous les jours des chaussures. Selon lui, cela est dû à un manqued’espace au niveau de la banlieue.
« Les marchés sont très occupés. Quand tu exposes tes marchandises, tu es vite déguerpi, c’estla principale raison qui nous pousse à venir occuper ces ronds-points. Nous ne pouvons même pas accéder au marché Hlm, car le coût des cantines est très élevé. Nous savons bel et bien qu’il y a des risques, car des véhicules peuvent déraper à tout moment. Nous savons aussi que nous dérangeons les élèves et les automobilistes mais nous n’avons pas d’autres solutions »,dit-il, fataliste.
Au niveau du rond-point « Case bi » des Parcelles Assainies, une foule immense vous accueille. Difficile alors de se frayer un chemin. Ici, des commerçants ont fini d’étaler leurs produits par terre. Le décor est visible même de loin.
Et les voitures sont obligées de ralentir. Trouver un interlocuteur devient difficile car les commerçants ne sont intéressés que par la quête de clients. Finalement, nous croisons un jeune vendeur. Préférant se prononcer sous le couvert de l’anonymat, il demande à l’Etat du Sénégal de leur trouver un site de recasement pour qu’ils puissent libérer les ronds-points.
«Nous voulons que le gouvernement construise des centres commerciaux moins coûteux pour nous qui sommes de petits commerçants. Vous imaginez, quand on nous demande 300 mille francs Cfa pour occuper une cantine au marché Sandaga ou autre, alors que la valeur de nos marchandises ne dépasse même pas 100 mille. Donc, l’Etat doit vraiment nous aider dans ce domaine, en construisant des centres commerciaux au niveau de la banlieue. Il y en a à Guinaw Rails mais ce n’est pas du tout suffisant », constate-t-il.
Du côté de la population, on souhaite tout simplement que les autorités prennent leurs responsabilités face à ce phénomène qui commence à prendre des proportions inquiétantes. « Cela commence à gagner du terrain et ce n’est pas joli à voir. Mais ça peut aussi causer des désagréments à tout moment car la majeure partie des ronds-points se trouve près des écoles et cela est source d’embouteillages monstre. L’Etat doit essayer au moins de barrer la route à ces commerçants »,déclare Madame Ndiaye.
Massiré Sarr (Correspondant en banlieue) Liberation
Au niveau de la banlieue, le rond-point « station Tally bou mag » est le lieu de prédilection de presque tous les marchands ambulants. 20 heures passées,nous rencontrons Ibrahima Sène, un jeune âgé d’une trentaine d’années. Il se précipite pour étaler sa marchandise. Il y expose tous les jours des chaussures. Selon lui, cela est dû à un manqued’espace au niveau de la banlieue.
« Les marchés sont très occupés. Quand tu exposes tes marchandises, tu es vite déguerpi, c’estla principale raison qui nous pousse à venir occuper ces ronds-points. Nous ne pouvons même pas accéder au marché Hlm, car le coût des cantines est très élevé. Nous savons bel et bien qu’il y a des risques, car des véhicules peuvent déraper à tout moment. Nous savons aussi que nous dérangeons les élèves et les automobilistes mais nous n’avons pas d’autres solutions »,dit-il, fataliste.
Au niveau du rond-point « Case bi » des Parcelles Assainies, une foule immense vous accueille. Difficile alors de se frayer un chemin. Ici, des commerçants ont fini d’étaler leurs produits par terre. Le décor est visible même de loin.
Et les voitures sont obligées de ralentir. Trouver un interlocuteur devient difficile car les commerçants ne sont intéressés que par la quête de clients. Finalement, nous croisons un jeune vendeur. Préférant se prononcer sous le couvert de l’anonymat, il demande à l’Etat du Sénégal de leur trouver un site de recasement pour qu’ils puissent libérer les ronds-points.
«Nous voulons que le gouvernement construise des centres commerciaux moins coûteux pour nous qui sommes de petits commerçants. Vous imaginez, quand on nous demande 300 mille francs Cfa pour occuper une cantine au marché Sandaga ou autre, alors que la valeur de nos marchandises ne dépasse même pas 100 mille. Donc, l’Etat doit vraiment nous aider dans ce domaine, en construisant des centres commerciaux au niveau de la banlieue. Il y en a à Guinaw Rails mais ce n’est pas du tout suffisant », constate-t-il.
Du côté de la population, on souhaite tout simplement que les autorités prennent leurs responsabilités face à ce phénomène qui commence à prendre des proportions inquiétantes. « Cela commence à gagner du terrain et ce n’est pas joli à voir. Mais ça peut aussi causer des désagréments à tout moment car la majeure partie des ronds-points se trouve près des écoles et cela est source d’embouteillages monstre. L’Etat doit essayer au moins de barrer la route à ces commerçants »,déclare Madame Ndiaye.
Massiré Sarr (Correspondant en banlieue) Liberation
↧
Make-up by Ndèya: La reine du maquillage étale son savoir-faire
Vous voulez vous faire belle, c'est chez Make up by Ndèya, un adresse à retenir: Sicap Liberté 4, près de l’école de formation Ipg. Tel:771785325 / 772000448






↧
Affaire Total, scandale Petrotim, bradage des ressources du pays, éthique en politique…: Thierno Alassane Sall crache du feu sur Macky Sall et déballe

L’affaire Total n’a été qu’un écran de fumée, mais la véritable raison du divorce entre Thierno Alassane Sall et Macky Sall est à chercher dans l’affaire Petrotim. L’ancien ministre de l’Energie l’a révélé dans cet entretien accordé à «Les Echos».
Entretien au cours duquel il est revenu largement sur les deux affaires, avec les positions prises par le chef de l’Etat sur le sujet. Déplorant la gestion actuelle du pays, l’ancien apériste affirme qu’on est loin des idéaux de départ, comme «dekkal ngor», «patrie avant le partie». Pis, il note que si le régime de Wade commettait des dérives à un rythme "artisanal", celui de Macky Sall en commet à un rythme "industriel".
Selon lancien collaborateur de Macky Sall, «nous avons cru à ces grands idéaux de rupture, de démocratie, de «dekkal ngor», de renouveau de notre pays... Malheureusement, à la pratique, dès le premier temps, on s’est aperçu de la realpolitik version sénégalaise et africaine, qui consiste au tripatouillage de la Constitution, en la patrimonialisation de l’Etat et du service public par quelques individus, en des pratiques inavouables, juste pour se maintenir au pouvoir, sans aucune honte, sans aucune forme de dignité et de personnalité».
Poursuivant, Thierno Alassane Sall révèle que, "Total a été classée 5e par rapport à Bp, Kosmos et d’autres. Et son offre était de loin moins intéressante et constitue même un recul par rapport à des contrats qui ont été signés avant les découvertes de pétrole».
«L’affaire Timis est un scandale. Non seulement, il n’aurait pas dû bénéficier du contrat, mais, qu’on le laisse partir en ramassant une timbale importante, c’est encore plus scandaleux. L’Assemble nationale ou le procureur doivent s’en saisir. C’est une question de défense des intérêts du Sénégal, en toute circonstance et à tout moment. On doit se bagarrer», dénonce l'ancien ministre de l’Energie. Qui ajoute qu'«au moment de concevoir le projet de porter Macky Sall au pouvoir, j’ai apporté ma contribution. Contrairement à ceux qui étaient sous d’autres cieux, alors qu’ils étaient les plus proches amis de Macky Sall»;
En conclusion, le leader de la République des Valeurs souligne que «notre système étatique fait croire que le chef de l’Etat a des pouvoirs quasi-divins et que personne ne doit lui désobéir, ne doit lui porter la réplique ou ne doit être en désaccord avec lui».
Les Echos
Entretien au cours duquel il est revenu largement sur les deux affaires, avec les positions prises par le chef de l’Etat sur le sujet. Déplorant la gestion actuelle du pays, l’ancien apériste affirme qu’on est loin des idéaux de départ, comme «dekkal ngor», «patrie avant le partie». Pis, il note que si le régime de Wade commettait des dérives à un rythme "artisanal", celui de Macky Sall en commet à un rythme "industriel".
Selon lancien collaborateur de Macky Sall, «nous avons cru à ces grands idéaux de rupture, de démocratie, de «dekkal ngor», de renouveau de notre pays... Malheureusement, à la pratique, dès le premier temps, on s’est aperçu de la realpolitik version sénégalaise et africaine, qui consiste au tripatouillage de la Constitution, en la patrimonialisation de l’Etat et du service public par quelques individus, en des pratiques inavouables, juste pour se maintenir au pouvoir, sans aucune honte, sans aucune forme de dignité et de personnalité».
Poursuivant, Thierno Alassane Sall révèle que, "Total a été classée 5e par rapport à Bp, Kosmos et d’autres. Et son offre était de loin moins intéressante et constitue même un recul par rapport à des contrats qui ont été signés avant les découvertes de pétrole».
«L’affaire Timis est un scandale. Non seulement, il n’aurait pas dû bénéficier du contrat, mais, qu’on le laisse partir en ramassant une timbale importante, c’est encore plus scandaleux. L’Assemble nationale ou le procureur doivent s’en saisir. C’est une question de défense des intérêts du Sénégal, en toute circonstance et à tout moment. On doit se bagarrer», dénonce l'ancien ministre de l’Energie. Qui ajoute qu'«au moment de concevoir le projet de porter Macky Sall au pouvoir, j’ai apporté ma contribution. Contrairement à ceux qui étaient sous d’autres cieux, alors qu’ils étaient les plus proches amis de Macky Sall»;
En conclusion, le leader de la République des Valeurs souligne que «notre système étatique fait croire que le chef de l’Etat a des pouvoirs quasi-divins et que personne ne doit lui désobéir, ne doit lui porter la réplique ou ne doit être en désaccord avec lui».
Les Echos
↧
Teuss du lundi 12 novembre 2018 avec Ahmed Aïdara en intégralité
↧
↧
561 IMAGES: 2es Editions des African Leadership Awards, le Président Mbagnick Diop du MEDS a réussi le pari de l'organisation au Méridien Etoile de Paris.
Dans un cadre paradisiaque en plein cœur de Paris, le président Mbagnick Diop vient de réussir le pari de l'organisation des Africain leadership Awards. Présidé par le ministre des Affaires étrangères, M. Sidiki Kaba représentant de SEM, le président de la République du Sénégal Macky Sall, en présence des maire des 7 arrondissements de Paris et différentes autorités et chefs d'entreprise africains, la soirée de Gala la plus prestigieuse d'Afrique en terre française, s'est tenue au Méridien Étoile de Paris pour une remise de distinctions aux entrepreneurs les plus performants d'Afrique. Au menu, un diner somptueux, avec la prestation différents artistes venus de différents horizons qui ont assuré le spectacle comme G. Martins, Idrissa Diop, Pape Diouf et pour clôturer en beauté, le roi du mbalakh, Youssou Ndour. Ce dernier a rendu un vibrant hommage à Habib Faye avant de chauffer la salle. Rendez- vous le 02 novembre 2019 pour la 3e édition, inchallah.

↧
Vidéo : Macky Sall magnifie l'exemplarité et la discipline des forces armées sénégalaises
Le jeudi 10 novembre 2016 a été célébrée la 13ème édition de la journée nationale des Forces armées. La symbolique a été respectée au camp Dial Diop où un hommage a été rendu aux différentes forces de défense et de sécurité. Thème de cette année : "La constitution des forces armées dans la protection de l'environnement". Trois promotions de corps d'armée ont été baptisées à l'occasion, des officiers invités à mesurer les responsabilités qui s'attachent à leur État.
↧
Le Pôle Alternatif Citoyen (PACT) qui regroupe les mouvements « Guédiawaye la bokk », « Vision Guédiawaye », va tenir une conférence de presse, ce mercredi

PACT : Selon nos capteurs, le Pôle Alternatif Citoyen (PACT) qui regroupe les mouvements « Guédiawaye la bokk » « Vision Guédiawaye », la Société civile, les acteurs culturels et sportifs de ladite localité, va tenir mercredi prochain, à partir de 17 heures, une conférence de presse.
A en croire nos machines, Ahmed Aïdara, l’homme de « TEUSS et compagnie» vont faire une importante déclaration sur diverses questions dont le littoral, le cimetière et les filaos. Ça promet !
VoxPop
A en croire nos machines, Ahmed Aïdara, l’homme de « TEUSS et compagnie» vont faire une importante déclaration sur diverses questions dont le littoral, le cimetière et les filaos. Ça promet !
VoxPop
↧
Idrissa Seck en tournée nationale, depuis samedi

Idrissa Seck a entamé, depuis samedi, la troisième et dernière phase de la caravane « Proximité Orange ». Il s’est notamment rendu au mausolée de Mame Diarra Bousso à Porokhane, avant d’investir la région de Kaolack.
A Porokhane, partout où il est passé, le président de « Rewmi » a eu droit à un accueil chaleureux. A Keur Madiabel, il s’est rendu Chez Serigne Cheikh Ibra Mbacké, représentant du Khalife général des Mourides dans cette localité.
Vox Populi
A Porokhane, partout où il est passé, le président de « Rewmi » a eu droit à un accueil chaleureux. A Keur Madiabel, il s’est rendu Chez Serigne Cheikh Ibra Mbacké, représentant du Khalife général des Mourides dans cette localité.
Vox Populi
↧
↧
Sen Santé reçoit le Professeur Madame Aïssatou Maguette Wane, Ophtalmologiste
↧
Vidéo : Les jeunes de Madické Niang veulent barrer la route à Macky Sall à Touba
Les jeunes de Madické Niang ont promis de barrer la route à Macky Sall à Touba et de ne ménager aucun effort pour hisser leur candidat à la magistrature de suprême en février 2019.
↧
Vidéo: « J’ai peur que Sonko ne dépense son argent pour rien », Souleymane Faye explique
« Aucun président ne vient au pouvoir pour faire un mandat. C’est logique qu’il (Macky Sall) se batte avec ceux qui veulent l’empêcher d’avoir un deuxième mandat. Il est un Président jeune et il répond aux coups de ses adversaires. Je n’ai rien contre Ousmane Sonko mais j’ai peur qu’il ne dépense son argent pour rien. Je ne sais pas ce qu’il veut, mais les deux mandats (de Macky Sall, Ndlr), personne n’y peut rien. Il (Ousmane Sonko, Ndlr)a une bonne promotion et peut devenir quelque chose après les deux mandats. Aussi, au cours du deuxième mandat, on peut le nommer à un poste et il va se calmer… »
↧