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Mamadou Diop Decroix accuse : «La Cena maquille les forfaitures du pouvoir»

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Mamadou Diop Decroix accuse : «La Cena maquille les forfaitures du pouvoir»

Mamadou Diop Decroix, qui n’a pas sa langue dans sa poche, s’attaque à la Commission électorale nationale indépendante (Cena) dirigée par Doudou Ndir. Sur Iradio, l’ancien camarade de Landing Savané n’a pas été tendre contre la Cena.

«La Cena consomme de l’argent public pour ne rien faire. Elle est là pour maquiller les forfaitures du pouvoir en place. Lorsque l’administration du ministère de l’Intérieur ne respecte pas le code électoral, la loi dit que c’est la Cena qui doit faire injonction pour faire respecter l’ordre, mais au lieu de cela, que fait la Cena ? Elle sort un communiqué fumiste pour dire « non en fait, il faut attendre les 15 derniers jours…C’est un communiqué fumiste », peste Decroix.

L’homme politique farouchement opposé au régime de Macky Sall dit faire preuve de calme quand il parle de la Cena. «Je suis mesuré, mais je trouve que mes mots ne peuvent pas exprimer ce qui est en train de se faire du point de vue de la violation de la loi et du point de vue de ce que cela peut entraîner dans un futur proche. Cette Cena est dangereuse», déduit Mamadou Diop Decroix.

IGFM



WIIRI WIIRI - SAISON 2 - Episode 57 - 09 Novembre 2018

La présidence reconnaît la gravité de l'état de santé d'Ali Bongo

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La présidence reconnaît la gravité de l'état de santé d'Ali Bongo

La présidence gabonaise a reconnu dimanche implicitement la gravité de l'état de santé du président Ali Bongo Ondimba, hospitalisé à Ryad en affirmant qu'"il est en phase de recouvrement de la plénitude de ses facultés physiques".

Depuis son hospitalisation le 24 octobre à Ryad, l'état de santé du président Bongo "s'est sensiblement amélioré", a déclaré Ike Ngouini, ajoutant qu'il est "en phase de recouvrement de la plénitude de ses facultés physiques".

Le 28 octobre, quatre jours après son hospitalisation en Arabie saoudite, le porte-parole de la présidence, Ike Ngouoni, affirmait que le chef de l'Etat avait eu "un malaise" dû à une "fatigue sévère" en raison d'une très forte activité ces dernier mois.

 

Le précédent Omar Bongo

Selon le cadre d'une multinationale présente au Gabon, localement "les affaires n'ont pas stoppé, mais mes dirigeants à l'international doivent avoir un oeil sur le déroulement des événements".

Les Gabonais ont en mémoire le black-out autour de la maladie du père d'Ali, le président Omar Bongo auquel il a succédé et qui, en 2009, gravement malade, avait été transféré à Barcelone.

Sa mort, annoncée publiquement le 8 juin 2009, avait été révélée la veille par un hebdomadaire français, mais démentie par le Premier ministre d'alors, Jean Eyeghe Ndong.

Ali Bongo est toujours officiellement attendu à Paris le 11 novembre à l'occasion du centenaire de la fin de la première guerre mondiale, selon une source diplomatique française.

Une possible vacance du pouvoir du président de la République doit être constatée par la Cour constitutionnelle, saisie par le gouvernement ou des bureaux du Parlement (Sénat et Assemblée nationale), selon la constitution gabonaise.

Le président du Sénat assure alors l'intérim jusqu'à l'organisation d'une élection présidentielle dans un délai maximum de 45 jours.

Mais en attendant, "personne ne sait ce qui se passe vraiment", selon un proche de la famille Bongo. "C'est comme dans un avion avant le crash", ajoute un militant du Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir.

Un pouvoir aujourd'hui divisé autour de deux clans, selon un observateur politique.

"Un 'clan des durs' rassemble plusieurs généraux et conseilleurs autour de Frédéric Bongo, le frère du président et chef des services de renseignements. Il s'oppose au clan rassemblant le directeur de cabinet Brice Laccruche, la première dame et des membres du Mouvement des amis d'Ali Bongo Ondimba (Mogabo)", affirme-t-il.

Sans jamais citer le nom du président Bongo, l'opposant Jean Ping, candidat malheureux à la présidentielle de 2016 qui se proclame toujours "président élu", est sorti samedi de plusieurs mois de silence pour appeler au "rassemblement".

VOA avec AFP

V


Violences conjugales : Marie Madeleine Diallo se prononce

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Violences conjugales : Marie Madeleine Diallo se prononce
Un homme brûlé vif par son épouse aux Maristes. Une femme charcutée à la machette par sa co-épouse à Thiaroye. Une autre ébouillantée par sa rivale à Kaffrine… : les actes de violence occupent l'actualité ces derniers jours.

Ils ont suscité l'émoi chez les populations. La comédienne Marie-Madeleine Diallo est dans le lot des hommes et femmes choqués par ces drames en série. Dans un entretien avec L'Observateur repris pas Seneweb, elle s'est dit "estomaquée de savoir qu'on pouvait arriver à ces extrêmes-là. Cela est tout simplement regrettable".

Si elle comprend le mobile supposé de ces actes ("Quand on aime quelqu'un, on est forcément jaloux"), l'artiste saint-louisienne estime que leurs auteurs doivent "savoir se maîtriser". Elle ajoute : "En islam, on a donné la possibilité aux hommes d'épouser jusqu'à quatre femmes, donc quand cela se présente, il faut savoir l'accepter."

La communication constitue un bon moyen de surmonter ces épreuves, selon Marie Madeleine Diallo. Qui explique : "Il faut communiquer, car c'est de la discussion que jaillit la lumière. On peut tout régler en jouant carte sur table. Quand la communication fait défaut dans un couple ou dans une famille, c'est la porte ouverte à l'échec. On se pourrit la vie pour rien."

Tunisie : Plusieurs blessés après la victoire de l'Espérance de Tunis en Ligue des champions

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Au moins quatre personnes ont été blessées lorsqu'un conducteur ivre a heurté une foule célébrant la victoire de l'Espérance de Tunis en Ligue des Champions d'Afrique, a indiqué le ministère de l'Intérieur ce samedi.
Tunisie : Plusieurs blessés après la victoire de l'Espérance de Tunis en Ligue des champions
Les Tunisiens sont sortis par milliers dans les rues pour fêter l'incroyable remontée de l'Espérance de Tunis en finale de Ligue des champions face au géant égyptien d'Al Ahly, battu 3-0 au stade de Radès, faisant vrombir les voitures et klaxonnant toute la soirée. À Nabeul, dans l'est du pays, une voiture a foncé dans la foule qui fêtait la victoire tard vendredi, blessant quatre personnes, a indiqué le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Sofiène Zaag.

«Le chauffeur, qui a été arrêté, était en état d'ivresse avancé, et recherché après avoir été condamné à la prison pour consommation de drogue», a-t-il ajouté, précisant que trois personnes avaient été légèrement blessées, tandis qu'une fillette était dans un état plus grave.

Il n'y a néanmoins pas eu de heurts aux alentours du stade, qui était quasiment comble, avec plus de 50 000 spectateurs, une première depuis la révolution de 2011, selon la Sûreté nationale. «Tout le monde a été à la hauteur, le public et les forces de sécurité», s'est félicité Sofiène Zaag.

Plus de 6 000 policiers avaient été mobilisés pour cette finale qui s'annonçait initialement tendue, après des différends lors des précédents matches. Drones, hélicoptères, brigade canine, police montée et pour la première fois des portiques de détection des métaux avaient été déployés autour du stade et dans le centre de Tunis.

L’Equipe

Ballon d'Or : Luka Modric serait en tête des votes à mi-dépouillement

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Un ancien journaliste de France Football a révélé que Luka Modric devançait Raphaël Varane pour le Ballon d'Or après le dépouillement de la moitié des votes.
Ballon d'Or : Luka Modric serait en tête des votes à mi-dépouillement
Le futur ballon d'Or qui succédera à Cristiano Ronaldo pourrait évoluer au Real Madrid. Mais il ne s'agira peut-être pas de Raphaël Varane, champion du monde avec les Bleus et vainqueur de la Ligue des champions mais plutôt de Lucas Modric, son coéquipier en club. Xavier Barret, ancien journaliste de L'Équipe et France Football pendant plus de vingt ans, a révélé qu'à mi-dépouillement, le capitaine de la sélection croate, finaliste du Mondial, devançait le défenseur central.

«D'après les informations que j'avais, après dépouillement d'une partie des votes mais pas de tous les votes, les positions étaient 1. Modric, 2. Varane et 3. Mbappé. Griezmann n'est pas dans le trio de tête mais c'est un point partiel. Il y avait encore des votes à venir et on sait que certains jurés peuvent être influencés par les performances. On sait que Mbappé a été plutôt efficace en marquant des buts importants», a déclaré vendredi le chroniqueur pour Radio France Internationale dans l'émission de Café des Sports. Xavier Barret a aussi confirmé cette indiscrétion lors d'une autre émission, sur Canal+ sport.
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Les 193 journalistes appelés à se prononcer pour le Ballon d'Or 2018 avaient jusqu'à vendredi soir pour se prononcer. Chaque votant établissait un top 3 parmi 30 joueurs présélectionnés en attribuant 5, 3 et 1 points aux hommes du trio de tête par ordre de priorité du classement. Cette tendance en faveur de Luka Modric n'est toutefois pas définitive. Les années où le scrutin est particulièrement serré, les journalistes attendent en général les derniers jours pour faire leur choix et les performances en Ligue des champions peuvent s'avérer décisives. Le grand vainqueur sera désigné le 3 décembre 2018 vers 20h00.

Football.fr

Ligue 1: AS Pikine vs Jaraaf ce dimanche, le premier grand choc de la saison ?

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Ligue 1: AS Pikine vs Jaraaf ce dimanche, le premier grand choc de la saison ?
L’AS Pikine et le Jaraaf de Dakar se retrouvent pour le compte de la deuxième journée de Ligue 1. Les pikinois vont accueillir le club de la Médina au stade Alassane Djigo de Pikine ce soir.

Un match plein d’enjeu entre deux équipes qui ont des ambitions cette saison en Ligue 1. Le promu AS Pikine veut retrouver sa place au sein de l’élite et gagner des trophées.
Jaraaf, champion du Sénégal l’année dernière, veut maintenir son titre. Les vert-blanc qui iront en ligue des champions africaine cette saison ont toujours leur mot à dire.

Le choc de ce soir est certainement le premier grand choc de la saison. Deux clubs populaires qui représentent chacun Pikine et Médina, des quartiers réputés par leur capacité de mobilisation avec des supporteurs exigeants.

Cette rencontre a toujours été un choc dans ce championnat. Le match aura lieu ce dimanche au stade Alassane Djigo de Pikine.

Lagarde (FMI): "Trump a raison sur bien des points"

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Christine Lagarde, présidente du Fonds monétaire international (FMI), a déclaré dans une interview accordée au journal économique français "Les Echos", qu'elle s'inquiétait de l'évolution politique dans le monde.
Lagarde (FMI):
50 nuances de brun'
En 2017, le nombre de régimes démocratiques dans le monde a diminué pour la première fois. Lagarde trouve alarmante la percée des régimes populistes et autoritaires. 

Elle a évoqué une déclaration de Nathalie Loiseau, ministre française des Affaires européennes. Cette dernière a récemment dit que l'on était "en train de jouer 50 nuances de brun ", en faisant référence à l'Europe. 

Lagarde est moins inquiète pour l'économie mondiale, même si elle voit des problèmes structurels en ce qui concerne l'endettement mondial. Il représente aujourd'hui 220 % du PIB mondial, soit 60 % de plus qu'il y a 10 ans et un total de 182 000 milliards de dollars. En outre, 40 % des pays pauvres se trouvent dans une situation préoccupante en termes d’endettement.

Le monde n'a jamais été meilleur qu'aujourd'hui
Lagarde souligne  que le monde n’a jamais été mieux loti qu’aujourd’hui : l’extrême pauvreté  recule, les gens vivent plus longtemps  et en meilleure santé, la mortalité infantile diminue et le nombre de démocraties dans le monde a nettement augmenté jusqu’en 2017. Néanmoins, le populisme est en augmentation et l'on constate la mise en place de régimes autoritaires, de gauche  comme de droite.

Effondrement de la classe moyenne et inégalités croissantes
Selon la Française, c'est à l’effondrement de la classe moyenne  et l’inégalité croissante des revenus, en particulier en Chine et aux États-Unis, mais aussi maintenant en Allemagne, qu'il faut attribuer cette tendance. 

Ces phénomènes entraînent à leur tour l'acceptation de théories simplistes et populistes, l'inquiétude suscitée par la mondialisation et la technologie, ainsi que la colère envers les élites qui ne sont pas punies pour les erreurs qui ont été commises. 

Lagarde pense que les élites savaient quelles mesures devaient être prises après la crise financière de 2008 : la régulation du secteur financier, la relance des économies, le refus du protectionnisme et le renforcement de la coopération. 

Mais encore aujourd'hui, ces mesures n'ont été que trop peu mises en oeuvre.  La réglementation financière est à nouveau assouplie dans certains pays, soit-disant pour la simplifier.
Selon Lagarde, le populisme ne peut être stoppé qu'en soumettant la mondialisation à d'autres règles, en s'attaquant au problème du climat et en intégrant de manière consciente les minorités.

Donald Trump a raison sur plusieurs points
"Sur plusieurs points, Donald Trump a raison ", a déclaré la Française, "et il a de solides arguments dans sa confrontation avec Pékin ". "Espérons que sa méthode repose sur une stratégie gagnant-gagnant permettant aux négociations d'avancer, la concurrence doit être "fair" ('respectueuse des droits') dans tous les domaines et je me réjouis que les autorités chinoises aient récemment annoncé leur volonté d'aborder tous les sujets !"

Lorsqu'on lui demande si l'effondrement de la zone euro est un scénario crédible, elle répond négativement. Selon la plus haute responsable du FMI, les Italiens tiennent à l'euro. 

Cependant, selon elle, le gouvernement italien sera contraint de tenir compte des réactions des marchés financiers, même s'il ne serait pas souhaitable de constater que la survie d'un régime politique dépend totalement de ces dernières.





Express Busness
 


Prince Charles très fainéant: ces détails fous qu’il exige de son personnel

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Il a beau n’être « que » prince pour l’instant, Charles se prend déjà pour le roi. En témoignent ses curieuses exigences au personnel dédié à la famille royale.
Prince Charles très fainéant: ces détails fous qu’il exige de son personnel
L’été dernier, le prince Philip, mari de la reine Elizabeth II et père du prince Charles, prenait sa retraite à 96 ans. S’il honore encore de sa présence quelques événements royaux, il n’a plus d’obligations et peut pleinement profiter de sa nouvelle liberté.

Ce que semble de plus en plus vouloir faire son épouse, la reine Elizabeth. À 92 ans, elle envisage enfin de lâcher du lest et de passer le flambeau à son fils, le prince Charles, duc de Cornouailles.
 
Si elle ne compte toutefois pas laisser son trône avant les trois prochaines années, son fils, lui, semble déjà y avoir trouvé sa place.
 
Comme vous le révèle Voici dans le numéro en kiosque ce vendredi 9 novembre, le prince Charles, « paresseux et conscient de son rang », a des petites exigences que personne n’aurait osé soupçonner, même dans son intimité.

Du haut de ses 69 ans – il célèbrera ses 70 printemps le 14 novembre prochain, le prince ne touche littéralement plus terre comme l’a indiqué son majordome Burrell : « Une fois, il m’a fait appeler et m’a dit : “Oh Paul, pouvez-vous ramasser cette lettre de la reine qui est tombée dans la corbeille juste à mes pieds ?” ».
 
Le prince Charles, roi du caprice

Un peu fainéant sur les bords, le Charles ? Non, beaucoup. Quand vient l’heure du brossage de dents, il ne lève pas le petit doigt non plus puisque c’est un laquais qui se charge de déposer « la juste quantité de dentifrice » sur la brosse.

Et hors de question de faire couler son bain tout seul – il faudrait qu’il se baisse et comme dit plus haut, Charles ne le fait pas -. C’est pourquoi les petites mains du palais doivent s’assurer que la température de l’eau soit « constante », – tiède pour le peuple -, « pour éviter tout risque de fluxion ou de brûlure  ». 
 
Le mari de Camilla Parker-Bowles serait-il un peu hypocondriaque sur les bords ? Il faut croire. Toujours selon votre magazine préféré, Charles emporte sa lunette – et non ses lunettes, vous ne rêvez pas – partout avec lui. Enfin, c’est un valet qui s’en charge évidemment. Ainsi, dès qu’une envie pressante lui prend, le prince Charles fait installer son précieux objet sur les toilettes pour ne pas poser ses fesses n’importe où. Royal.
 
Quant à ses petites affaires, le grand-père de George, Charlotte et Louis  ne les accepte que sur des cintres. Le personnel repasse soigneusement chacune des tenues qu’il porte – soit cinq par jour – jusqu’aux lacets de ses chaussures « afin qu’ils ne s’entortillent pas ». Le pyjama n’y échappe pas non plus. Pour le pipi et les dents, c’est ok. Reste plus qu’à être sûr que bébé Charles soit bordé avant de plonger dans les bras de Morphée.
 
 
 
 
Voici.fr

VIDEO - Maison-Blanche: Le staff de Donald Trump diffuse une vidéo truquée pour justifier l’expulsion d’un journaliste

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ETATS-UNIS Mercredi, lors de la conférence de presse de Donald Trump, le ton est monté entre le président américain et Jim Acosta, la star de CNN...
https://www.leral.net/video/
 

La fin justifie (tous) les moyens pour la Maison-Blanche. Après la passe d’armes entre Donald Trump et le journaliste star de CNN, Jim Acosta, ce mercredi, le staff du président américain a justifié l’expulsion du journaliste… avec une vidéo truquée.

Ce mercredi, lors de la conférence de presse de Donald Trump, après les résultats des élections de mi-mandat, le ton est monté entre le président américain et Jim Acosta, le journaliste phare de CNN.

Alors que ce dernier lui demandait des précisions sur la caravane de migrants, Donald Trump s’est emporté, qualifiant le journaliste de « personne horrible et malpolie ». Une employée de la Maison Blanche a alors tenté de retirer le micro des mains de Jim Acosta, qui a repoussé doucement sa main, avant de dire « Excusez-moi Madame ».

Les images accélérées et les excuses supprimées

« CNN devrait avoir honte de vous employer. Vous êtes une personne horrible et malpolie, vous ne devriez pas travailler pour CNN. La manière dont vous traitez Sarah Huckabee (la press secretary de la Maison-Blanche) est horrible », a rétorqué le président américain.

Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée là. Quelques minutes plus tard, les équipes du président ont retiré l’accréditation au journaliste de CNN. Et pour justifier cette décision, Sarah Sanders, la porte-parole de la Maison-Blanche a expliqué, vidéo à l'appui, que le journaliste avait eu un « comportement inapproprié » avec la jeune femme.

Sarah Sanders
We stand by our decision to revoke this individual’s hard pass. We will not tolerate the inappropriate behavior clearly documented in this video.

Seul hic, la vidéo diffusée par les équipes de Donald Trump a été truquée. Selon le magazine américain, Newsweek, les images de « l’altercation » entre l’employée du staff présidentiel et le journaliste, ont été accélérées pour donner une impression de violence.

De plus, Newsweek ajoute que, dans la version diffusée par la Maison-Blanche, les excuses de Jim Acosta ont été effacées.

Newsweek
The White House press secretary has shared seemingly doctored footage from the editor of a conspiracy site to justify revoking CNN's Jim Acosta's press pass https://bit.ly/2RHUH7x


Centenaire de l'Armistice de 1918 : un 11-Novembre hors norme

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Centenaire de l'Armistice de 1918 : un 11-Novembre hors norme

Pour le centenaire de l'Armistice, la cérémonie du 11-Novembre à Paris s'annonce hors norme dimanche avec la présence de près de 70 chefs d’État et de gouvernement, dont Poutine et Trump. Un "Forum sur la paix" suivra dans l'après-midi.

 
 

Donald Trump, Vladimir Poutine, Angela Merkel, Justin Trudeau, Recep Tayyip Erdogan, Muhammadu Buhari, Alexis Tsipras... Cent ans après la fin de la Grande Guerre,  près de 70 chefs d'État et de gouvernement doivent participer dimanche 11 novembre à Paris aux commémorations de l'armistice de la guerre de 14-18 et à un forum international sur la paix organisé par Emmanuel Macron.

L'emblématique Arc de Triomphe parisien, en haut de l'avenue des Champs-Élysées, sera l'écrin d'une cérémonie hors norme dimanche matin. La capitale française sera, pour l'occasion, placée sous haute sécurité avec près de 10 000 membres des forces de l'ordre mobilisées. Une manifestation d'opposants à Donald Trump est prévue à la mi-journée place de la République, dans l'est parisien.

Tous les chefs d'État et de gouvernement seront accueillis dimanche matin au Palais de l'Élysée par Emmanuel Macron, pour qui cette journée marquera le point d'orgue des commémorations du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale, qui a fait 18 millions de morts.

 

"Forum de Paris sur la paix"... sans Trump

Au-delà du cérémonial, du recueillement et du décorum, le président français a voulu ancrer cette journée dans le présent. "Il s'agit de faire résonner le 11 novembre 1918 avec le 11 novembre 2018", fait-on valoir dans son entourage, exprimant une volonté "de faire de ces commémorations un moment du présent, pas uniquement du passé".

Emmanuel Macron a donc organisé un forum international pour défendre le multilatéralisme, ce socle idéologique qui encadre les relations internationales depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et est sévèrement mis à mal par certains chefs d'État, dont le président américain Donald Trump.

Ce "Forum de Paris sur la paix" s'ouvrira dimanche après-midi à la grande halle de la Villette. Il regroupera des prises de parole, des ateliers de réflexion auxquels participeront des chefs d'État défenseurs de l'ordre multilatéral. Donald Trump en revanche se tiendra à l'écart de cette réunion où ses positions politiques et diplomatiques, bâties sur le rapport de force, la pression, le bilatéralisme, voire l'unilatéralisme, risquent fort d'être battues en brèche. Il ira se recueillir au cimetière américain de Suresnes, près de Paris.

Emmanuel Macron, Angela Merkel, Justin Trudeau, qui tous se heurtent régulièrement à Donald Trump dans les enceintes internationales comme le G7 ou le G20 participeront au forum où il sera question de gouvernance mondiale, de paix, de coopération, de liberté d'expression. La chancelière allemande prononcera le discours d'ouverture avec Emmanuel Macron et le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Elle devrait souligner l'importance du multilatéralisme pour la paix et de la coopération dans les organisations internationales.

Avec AFP


Insolite : 6 règles de football que vous ne connaissez probablement pas

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Le football regorge de lois de jeu permettant le bon déroulement d'un match, cependant bon nombre d'entre elles demeurent inconnues pour les passionnés du ballon rond. Asséner un coup à un adversaire est-il répréhensible ? Peut-on obtenir une aide extérieure lors d'un match ? Un but de la main peut-il être validé ?
Insolite : 6 règles de football que vous ne connaissez probablement pas
Voici quelques règles inimaginables, aussi déroutantes qu'instructives.

6. Expulsé avant même de s'échauffer

Les textes sont formels, un arbitre peut brandir un carton rouge et exclure un joueur avant un match, à compter du moment où "l'homme en noir" a inspecté le terrain.

On se rappelle que lors de la saison dernière, Patrice Evra, auteur d'un coup de pied sur un supporter, avait écopé d'un carton rouge peu avant un match de Ligue Europa à Guimaraes.

Une situation qui doit rappeler aux joueurs que l'arbitrage et les mesures disciplinaires qui en découlent, prennent effet avant, pendant, et après le match.


Insolite : 6 règles de football que vous ne connaissez probablement pas
5. But de la main en pleine lucarne ?

Oui, c'est possible ! Aucun des joueurs de champs ne peut réaliser un but avec ses mains, mais le dernier rempart que représente un gardien de but peut théoriquement faire trembler les filets via une relance à la main.

Bien entendu, une telle réalisation relève du quasi impossible tant la distance entre une surface de réparation et l'autre est conséquente.




Insolite : 6 règles de football que vous ne connaissez probablement pas
4. Frappe, mais pas trop fort

Cette règle devrait ravir les joueurs possédant le "fighting spirit" tout en les frustrant.

En effet, une des lois du jeu tolère les coups, mais à condition que la force utilisée n'ait été négligeable.

Vous l'aurez compris, ou pas... Rentrer en contact avec la tête ou le visage d'un adversaire n'est pas répréhensible tant que cela est réalisé de façon "négligeable". Une certaine idée du toucher.

Reste maintenant pour les joueurs comme Suarez de s'adapter à cette règle et ainsi transformer certains de ses vilains gestes en caresses.


Insolite : 6 règles de football que vous ne connaissez probablement pas
3. Balle entre (vingt) deux

Très souvent, lors d'une rencontre entre deux équipes nous assistons à l'entre deux, une scène devenue banale mais qui pourrait virer à l'insolite.

Lorsque l'arbitre met la balle en jeu, deux joueurs peuvent s'affronter, mais le nombre de joueurs pouvant prétendre au ballon est illimité.

Un détail important donc, qui pourrait donner des situations cocasses s'apparentant à un far west hollywoodien.


Insolite : 6 règles de football que vous ne connaissez probablement pas
3. Balle entre (vingt) deux

Très souvent, lors d'une rencontre entre deux équipes nous assistons à l'entre deux, une scène devenue banale mais qui pourrait virer à l'insolite.

Lorsque l'arbitre met la balle en jeu, deux joueurs peuvent s'affronter, mais le nombre de joueurs pouvant prétendre au ballon est illimité.

Un détail important donc, qui pourrait donner des situations cocasses s'apparentant à un far west hollywoodien.


Insolite : 6 règles de football que vous ne connaissez probablement pas
2. CSC sur six mètres ou sur corner ?

Il s'agit certainement de la règle la plus absurde de ce grand cru.

"Un coup de pied de but frappé directement dans ses propres buts donne lieu à un corner pour les adversaires."

Lors d'un coup de pied de but - le nom juridique alloué à un renvoi aux six mètres - tirer dans sa propre cage ne coûte qu'un corner.

Les instances arbitrales ont tenu à formaliser cette règle pour les "cas de vent fort". Nos amis marseillais sont prévenus en cas de Mistral.


Insolite : 6 règles de football que vous ne connaissez probablement pas
1. Le foot ne se joue pas forcément à 22

Et pas forcément avec des humains... Voici ce que le texte nous stipule :

"Si quelque chose / quelqu'un (autre qu'un joueur) touche le ballon alors qu'il entre dans le but, l'arbitre peut accorder le but si le fait que le ballon ait été touché n'a aucune influence sur les défenseurs."

En somme, le fait que "quelque chose" soit sur la pelouse n'empêche pas la partie de se dérouler et encore moins qu'un but soit inscrit. La définition de ce "quelque chose" n'existe pas, place à votre imagination.





90min

Le Barça surpris à domicile par le Bétis, une première depuis 2016

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Le Betis Séville a gâché le retour à la compétition de Lionel Messi en s'imposant 4-3 au Camp Nou dans le cadre de la 12e journée du championnat d’Espagne. Barcelone concède sa deuxième défaite de la saison.
Le Barça surpris à domicile par le Bétis, une première depuis 2016
Le doublé de Lionel Messi n'a pas suffi ! Malgré son capitaine, de retour de blessure, le leader Barcelone a concédé une défaite surprise face au Betis Séville (4-3) dimanche pour la 12e journée du Championnat d'Espagne, la première à domicile en Liga depuis 2016. Cela faisait 42 matches que le Barça ne perdait plus en championnat au Camp Nou. Mais cette série a pris fin face à la maîtrise et l'opportunisme du Betis, 15e au classement avant le match et vainqueur sur des buts de Junior (20e), Joaquin (34e), Giovani Lo Celso (72e) et Sergio Canales (83e).

Messi (68e sur penalty) et Arturo Vidal (79e) ont réduit le score en vain, alors qu'Ivan Rakitic a été logiquement exclu pour un deuxième carton jaune (82e). Après cette deuxième défaite de la saison, le FC Barcelone (1er, 24 pts) laisse ses poursuivants se rapprocher au classement, à l'image de l'Atlético Madrid (2e, 23 pts) et du Deportivo Alavés (3e, 23 pts), vainqueur 2-1 de Huesca dimanche à la mi-journée. Le Real Madrid (6e, 17 pts) peut pour sa part en profiter pour réduire son retard sur la tête en cas de succès en soirée sur le terrain du Celta Vigo (20h45/19h45 GMT).

Coupés en deux

Depuis un revers contre Alavés en septembre 2016 (2-1), le Barça était maître chez lui en Liga. A l'évidence, ce revers intervient au moment le plus improbable, alors que les Catalans récupéraient ce week-end leur maître à jouer, Lionel Messi, indisponible depuis trois semaines en raison d'une fracture à un bras. Mais après avoir esquivé tous les écueils sans Messi, écrasant le Real Madrid 5-1 dans le clasico fin octobre avant de sceller mardi leur qualification pour les huitièmes de Ligue des champions, les Barcelonais ont fini par trébucher contre toute attente.

Cela promet un choc au sommet après la trêve internationale puisque le Barça se déplacera chez l'un de ses rivaux directs, l'Atlético, le 24 novembre. Et l'entraîneur Ernesto Valverde pourra sans doute regretter les problèmes d'indiscipline d'Ousmane Dembélé, qui l'ont conduit à écarter l'ailier français du groupe dimanche pour un match où sa vitesse et ses dribbles ont grandement manqué. Est-ce le retour de Messi qui a réduit l'implication collective des autres joueurs ? Ou bien de mauvais choix de Valverde qui avait titularisé Malcom, transparent en première période ? Toujours est-il que les Barcelonais ont semblé coupés en deux, subissant les déferlantes en contre-attaque du Betis.

Dembélé en tribune

Dès la 20e minute, l'Hispano-Dominicain Junior a pris l'espace, repiqué dans l'axe et expédié le ballon au ras du poteau pour l'ouverture du score. Puis, après une parade splendide de Marc-André ter Stegen devant l'ancien Barcelonais Cristian Tello (30e), ce dernier a servi le vétéran Joaquin Sanchez, auteur d'une subtile déviation (34e). Et le score aurait pu être plus lourd pour le Barça vu le nombre d'occasions du Bétis (6e, 23e, 40e), comme ce tir à angle fermé de Tello (64e). La réaction barcelonaise a été timide, entre slalom infructueux de Messi (12e) et reprise de Clément Lenglet à bout portant sauvée par le gardien sévillan (25e).

A la pause, Valverde n'avait pas beaucoup de choix pour modifier la dynamique du match, Dembélé étant en tribune, donc il a lancé le milieu Arturo Vidal, puis l'attaquant Munir et le jeune Carles Alena. Le Barça a cru revenir deux fois dans le match lorsque Messi a transformé un penalty obtenu par Jordi Alba (68e) pour recoller à 1-2, puis lorsque Vidal, très bon, a poussé au fond l'offrande de Munir (79e) pour revenir à 2-3. Mais Lo Celso (72e) et Canales (83e) ont à chaque fois douché l'optimisme du Camp Nou, d'autant que Rakitic a laissé ses partenaires à dix (82e). Et pour ne rien arranger, le Croate manquera le rendez-vous contre l'Atlético, qui s'annonce déjà crucial pour conquérir cette Liga si imprévisible.






Sport24

Premier League : Liverpool de Sadio Mané ne tremble pas face à Fulham

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Face à la lanterne rouge du championnat, Liverpool s'est imposé sans problème (2-0) et s'empare provisoirement de la tête.
Premier League : Liverpool de Sadio Mané ne tremble pas face à Fulham
La marche était (beaucoup) trop haute pour Fulham, lanterne rouge de Premier League, qui affrontait les Reds dans leur antre ce samedi. Les Cottagers n'ont pas démérité à Anfield, obtenant même plusieurs belles occasions en première période, mais ils ont buté sur Alisson (29e, 43e) et Sessegnon a manqué d'adresse (24e, 34e). Surtout, ils n'avaient pas les armes défensives pour résister aux hommes de Jurgen Klopp, qui avait aligné son trio vedette (Salah, Firmino, Mané).

Le film du match
Bousculé, Liverpool a pris les commandes sur ce qu'il sait le mieux faire, une contre-attaque éclair. Après un but refusé à Mitrovic pour un hors-jeu peu évident, Alisson a transmis le ballon à Alexander-Arnold qui a immédiatement lancé Mohamed Salah, parti dans le dos de la défense pour crucifier Sergio Rico (41e). En deux passes, les Reds avaient assommé Fulham.

En seconde mi-temps, les Cottagers ont été dépassés, ne se créant plus aucune occasion franche. Liverpool a rapidement scellé son succès grâce à Xherdan Shaqiri, qui a déposé proprement sa volée du pied gauche au fond des filets à la réception d'un centre délicieux de Robertson (53e).

Les Reds auraient pu s'imposer plus largement si Robertson (62e) et Salah (90e) avaient converti leurs occasions, mais ils assurent l'essentiel en prenant provisoirement la tête du classement, en attendant le derby de Manchester et le match de Chelsea cette après-midi.






L’Equipe

Mbita Ndiaye : « Mbaye Guèye est le meilleur lutteur de tous les temps »

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Rencontré à son domicile à Yarakh, l’ancien champion de Fass, Mbita Ndiaye, s’est ouvert à "SunuLamb" pour les besoins d’un entretien. L’ancienne gloire est ainsi revenue sur l’actualité de la lutte.
Mbita Ndiaye : « Mbaye Guèye est le meilleur lutteur de tous les temps »
Mbita Ndiaye, l’ancienne gloire de l’écurie de Fass, n’a pas pu assister aux concertations sur la lutte. Mais l’ancien champion reste quand même alerté de la situation de notre sport national. Pour Lui, il n’y a pas de problème comme on le dirait.

« Personnellement, je pense que la lutte n’a pas de problème majeur parce qu’il n’existe pas de discipline sans sanction. Les lutteurs qui sont en phase avec le règlement, ne seront jamais sanctionnés. Et je vous dis que la lutte a connu un vrai essor, un développement notoire, donc laissons les dirigeants continuer leur job pour la bonne marche des choses. Je suis d’accord qu’on revoit les sanctions pécuniaires à la baisse mais pas les supprimer sinon ce sera le bordel dans l’arène ».

Concernant l’idée de la mise en place d’un nouveau bureau du CNG élargi, l’ancienne gloire pense avoir une meilleure solution: « Il est vrai que le CNG a quelque peu oublié les anciennes gloires et cela est dû au fait que nous n’avons pas de représentants dignes de ce nom dans cette instance. Je pense même que les anciens lutteurs peuvent être formés pour devenir des arbitres et plein d’autres choses, mais que cela soit possible il faut qu’on ait d’abord de bons représentants au CNG ».

Mbita Ndiaye qui considère que Mbaye Guèye l’ancien Tigre de Fass est le meilleur lutteur de tous les temps, pense qu’il n’y a pas de vrais champions, de sa trempe ni de celle de Mbaye Guèye à Fass.


Karaté – Championnats du monde 2018: Le Sénégal perd la finale de bronze face à l’Italie et finit 5e mondial

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Karaté – Championnats du monde 2018: Le Sénégal perd la finale de bronze face à l’Italie et finit 5e mondial
Après avoir sorti les champions d’Europe 2016 (Portugal), l’équipe nationale du Sénégal de karaté qui disputait ce dimanche, sa première finale (de bronze) en compétition internationale, a perdu face à l’Italie, informe Wiwsport. Les Lions auront fini 5e mondiale, à l’issue de ce tournoi.

L’équipe nationale du Sénégal disputait pour la première fois, une finale en compétition internationale, ce dimanche à Madrid. Le Sénégal jouait la finale de la médaille de bronze face à l’Italie. Un adversaire de taille, que les Lions n’auront pas réussi à dompter.

Les poulains de Fodé Ndao, n’ont pas démérité, vu les belles performances qu’ils ont réussi durant ce tournoi : 3 victoires (Arménie 3-0, Jordanie 3-0 et Portugal 2-1), contre 2 défaites.

Au terme de cette campagne, l’équipe nationale de karaté du Sénégal est classée 5e mondiale.

Wade – Sonko : la rencontre finalement prévue à Dakar

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En tournée américaine, à la rencontre des Sénégalais et des militants de Pastef de la diaspora, Ousmane Sonko a apporté des éclaircissements quant à sa future rencontre avec Abdoulaye Wade. « Je pense pas qu’il soit possible maintenant de nous voir au Qatar. Car après discussion, nous avons choisi de nous voir ailleurs, peut-être même à son retour à Dakar », affirme Ousmane Sonko.
Wade – Sonko : la rencontre finalement prévue à Dakar

Ce dernier fait également un témoignage sur sa relation avec le pape du Sopi : « Je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’a eu à faire en tant que président…Mais sur un aspect, je considère qu’il a été le meilleur des quatre… c’est son patriotisme », témoigne-t-il.

Le leader du Pastef précise toutefois que son désir de rencontrer Abdoulaye Wade ne correspond nullement aux spéculations faites sur une possible alliance entre les deux hommes.  « Le fait de dire que je vais rendre visite, à Me Abdoulaye ne signifie pas qu’on compte nouer une alliance entre nos deux partis. Nous avons des contacts avec Abdoulaye Wade comme nous en avons avec d’autres membres de l’opposition », fait-il remarquer lors de son meeting à New York.







Senenews


VIDEO - « Balla Gaye 2 va terrasser Modou Lô en moins de 3 minutes…

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Evénement marquant du début de l'année 2019, le combat Modou Lô / Balla Gaye 2 n'en finit pas de susciter commentaires et avis tranchés de la part des inconditionnels, des spécialistes mais également des staffs des deux lutteurs. Sur le plateau de la RFM, Lamine Samba accueille ce dimanche 11 novembre 2018, Ngouda Guèye, porte-parole de l'écurie Rock Energy et El hadj Alioune Diaw dit Grand Diaw, qui occupe les mêmes fonctions au sein de l'écurie Balla Gaye. Reportage.


Macky Sall : « Mon épouse est une charmante sénégalaise, que j’ai connue à … »

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Le nouveau président du Sénégal est un lyrique pour ne pas un romantique. Et il suffit d’un coup d’œil sur l’entretien qu’il a accordé à RFI pour s’en rendre compte. A le lire jeter des fleurs sur son épouse, on se croirait dans un de ces poèmes du poète Victor Hugo. Présentant son épouse, le président Macky Sall dit « Mon épouse est une charmante sénégalaise que j’ai connue à Diourbel (région au centre du Sénégal, NDLR), pendant une de mes tournées d’exploration. Je lui ai dit d’ailleurs « je n’ai pas trouvé du pétrole mais je t’ai trouvé ! », je pouvais me consoler de cette découverte. Oui elle est sénégalaise, Marième Faye ! Je lui dis Marième Sall maintenant. Le Faye je l’ai mis entre parenthèses ». Comme quoi Macky Sall est un romantique comme on n’en trouve plus au Sénégal.
Macky Sall : « Mon épouse est une charmante sénégalaise, que j’ai connue à … »

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Accueil chaleureux de son excellence Macky SALL par les sénégalais de la France

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Accueil chaleureux de son excellence Macky SALL par les sénégalais de la France
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