Quantcast
Channel: Leral.net - Sénégal
Viewing all 117369 articles
Browse latest View live

Le groupe AGORA fustige le comportement des adultes face aux élèves

$
0
0
Le Groupe AGORA pour l’Education aux Droits de l’Enfant et à la Paix (GRA-REDEP), structure œuvrant pour la promotion des droits de l’enfant notamment ceux de l’éducation a constaté au cours de sa réunion mensuelle que malgré les efforts de l’Etat et de tous les acteurs de l’éducation, l’enfant est rarement considéré comme un acteur du territoire, tout comme il est rarement un acteur de son éducation.
Le groupe AGORA fustige le comportement des adultes face aux élèves
Certains adultes ne sont pas encore prêts à considérer les jeunes élèves comme des personnes ayant les mêmes droits, la même dignité qu’eux-mêmes et la capacité à exercer des libertés publiques et surtout un réel droit d’aller régulièrement à l’école et d’y recevoir un enseignement de qualité.

Par ailleurs le groupe est revenu sur les crises qui bouleversent l’école sénégalaise. En effet, considérant que depuis plus de deux mois, le secteur de l’éducation vit une crise profonde, ponctuée par des grèves tant du côté des enseignants que des enseignés, et que le bras de fer qui oppose les autorités et les enseignants créant une absence de dialogue entre les différents protagonistes n’est pas de nature à apaiser la tension, et que la crise qui perdure est en train de dénier aux enfants leurs droits à l’éducation , le GRA-REDEP estime que la résolution de ce blocage du système éducatif passe nécessairement par la concertation.

Par conséquent, il invite les acteurs impliqués dans cette crise à s’asseoir autour d’une table pour trouver une issue heureuse à cette lancinante question. Sous ce rapport, il en appelle au patriotisme et au sens du sacrifice de tout un chacun pour que l’année scolaire 2010/2011 ne soit pas hypothéquée. Pour un secteur qui englobe 40% du budget, une telle situation ne saurait prospérer. Il est temps d’éradiquer ce mal endémique. Il y va de la crédibilité, voire de l’avenir de l’école sénégalaise.

Marième FAYE pressafrik.com

DAME DIENG LERAL.NET

Le Sénégal rompt ses relations avec l’Iran... Et la Gambie dans tout ça ?

$
0
0
Le Sénégal a rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran. Cela fait suite à l’affaire des armes sophistiquées utilisées par le Mfdc contre l’armée nationale sénégalaise. C’est là une déclaration du gouvernement du Sénégal lue à la Rts par le journaliste Daha Bâ, à minuit. Quid de la Gambie qui serait la pourvoyeuse d’armes au Mfdc ?
Le Sénégal rompt ses relations avec l’Iran... Et la Gambie dans tout ça ?
Selon le communiqué lu par notre confrère : « Les rebelles disposent d’armes sophistiquée et lors d’une audience accordée le 19 janvier dernier, au ministre iranien des Affaires étrangère, des aveux ont été faits ».

L’Iran, par la voix de son ministre des Affaires étrangères avait également reconnu que son pays a fourni « d’importants lots d’armes à la Gambie ».

En effet, notre pays, après avoir constaté que les armes sophistiquées qui ont été tirées par des membres du Mfdc contre les soldats sénégalais en Casamance proviennent de l’Iran, après avoir été vendues à la Gambie, le Sénégal a décidé de rompre à partir de ce 22 février 2011 ses relations diplomatiques avec l’Iran".

Pour rappel, les relations entre le Sénégal et l’Iran tendues suite à l’affaire des armes en direction de Kanilaï en Gambie saisies par le Nigeria avait poussé notre pays à rappeler son ambassadeur au pays d’Ahmadinejad. En son temps, le ministre d’Etat, ministres des Affaires étrangères, Me Madické Niang qui avait fait face à la presse en indiquant que pour le moment a indiqué que le Sénégal n’excluait rien, pour se raviser après. D’ailleurs, la presse avait alors estimé que cet incident diplomatique avait été monnayé au point que le Sénégal disait avoir passé l’éponge sur ce différend.

Aujourd’hui, le divorce avec l’Iran est consommé.

Mais qu’en est-il de nos relations avec la Gambie qui serait le fournisseur d’armes au Mfdc ? Notre pays aurait-il peur de la Gambie ? Qui a peur de Yaya Jammeh ? Pourquoi ?

Ferloo

DAME DIENG LERAL.NET

Fesman 2010 : Des hôtesses Stewart réclament 18 millions de Francs Cfa aux organisateurs

$
0
0
Deux mois après avoir baissé ses rideaux, le Fesman continue à trainer des casseroles. En effet, après l’artiste malienne Assetou Gologo et Seynabou Touré qui réclamaient leur dû après services rendus pour la bonne tenue du 3e Fesman tenu à Dakar du 10 au 31 décembre 2010, c’est au tour des hôtesses Stewart de crier le ras le bol.
Fesman 2010 : Des hôtesses Stewart réclament 18 millions de Francs Cfa aux organisateurs
Deux mois après le Festival mondial des arts nègres, 3e du genre, des hôtesses Stewart qui ont servi à accueillir les invités dans les différents sites de l’événement courent derrière leur pécule. Selon leur porte parole, Mariama Thiam qui s’est confiée à nos confrères de Walftv, leur recrutement s’est fait dans les règles de l’art. « Notre responsable les a emmenés à notre école. On nous a fait passer l’entretien », soutient-elle. Et de poursuivre : « mais depuis lors, on nous valse d’une personne à une autre ».

Au nombre de 40, ces hôtesses devaient être rémunérées à hauteur de 450 000 francs Cfa par tête. Mais depuis la fin du Fesman III, elles ne savent plus à quel saint se vouer. C’est ce qui explique leur sortie dans la presse. Et elles ne comptent pas s’arrêter là. « S’ils ne réagissent pas, on leur servira une plainte », martèle Mariama Thiam. Qui a tenu à rappeler les conditions difficiles dans lesquelles elles ont fait leur part du contrat.

AKC

DAME DIENG LERAL.NET

Mariages précoces dans le Fouladou : Pour éviter la honte provoquée par les grossesses précoces

$
0
0
Dans la région de Kolda, une jeune fille qui contracte une grossesse hors mariage représente une honte sociale pour sa famille. C’est pourquoi les parents préfèrent donner en mariage leurs filles avant même l’âge de la maturité que de s’attirer le regard inquisiteur du voisinage. C’est l’une des causes de l’ampleur prise par le phénomène des mariages précoces.
Mariages précoces dans le Fouladou : Pour éviter la honte provoquée par les grossesses précoces
Mariages précoces dans le Fouladou : Pour éviter la honte provoquée par les grossesses précoces
Ce sont les grossesses précoces qui favorisent les mariages précoces dans le Fouladou’, explique le coordonnateur du centre de conseil adolescents de Kolda Babacar Sy. Selon lui, le Fouladou est une région où la culture prédominante est de garder la virginité jusqu’au mariage. Malheureusement, la plupart des parents constatent que beaucoup des filles tombent enceinte avant même le mariage. Les grossesses précoces en milieu scolaire et communautaire sont légion. Cette honte sociale qui s’abat sur les familles, pousse les parents à donner en mariage les jeunes filles avant la maturité. D’où les nombreux cas de mariages précoces.

Au niveau du Centre conseil adolescents de Kolda, les responsables se livrent régulièrement à des activités de sensibilisation et d’appui conseil pour aider les jeunes filles de la région à avoir une santé sexuelle responsable. Autrement, qu’elles ne puissent pas tomber enceintes avant le mariage. Mais aussi qu’elles ne puissent pas être données en mariage avant l’âge de la maturité.

Devant un parterre d’élèves constitués en majorité de filles d’une classe de Terminale du Groupe scolaire Gandal Excellence de Kolda, Babacar Sy se livre à une séance de stratégie avancée en santé de la reproduction et Vih/Sida. Racontant une anecdote vécue dans un village situé dans la localité de Salikégné, une jeune fille confirme le crédit que les parents accordent à la virginité de leur fille avant le mariage. L’élève nous informe que le père de la jeune fille tombée enceinte avait du mal à se rendre à la mosquée, tellement il avait honte.

C’est en plein exercice d’Eps que ces élèves du Groupe scolaire Gandal Excellence ont reçu une caravane de journalistes s’étant rendus dans le Fouladou pour s’imprégner des questions de mariages précoces. Après leur séance d’éducation physique, ils seront sensibilisés sur les activités du centre conseil adolescents. La démarche consiste à faire en sorte que ces jeunes puissent fréquenter les structures sanitaires et les centres adolescents. Ce qui leur permettra de disposer d’un paquet d’informations nécessaires pour éviter les grossesses précoces, les infections sexuellement transmissibles. Ils pourront même porter le message en étant des ambassadeurs au niveau de leurs pairs, pour éviter à toute jeune fille du Fouladou un tel drame.

Face aux us et coutumes dans la région, un travail de longue haleine qui nécessite beaucoup d’engagement et de moyens est en perspective. Déjà, au niveau de Kolda, un consortium a été mis en place. Il comprend le Centre conseil adolescents, la Scolarisation des filles, l’Inspection médicale des écoles, l’hôpital régional, l’Asbef ainsi que d’autres acteurs. Il s’agit de mener des activités afin de permettre à ces jeunes d’avoir la bonne information. Une fois bien informés par rapport à la santé de la reproduction, ils pourront opérer à de bons choix consistant à éviter les grossesses précoces, les mariages précoces, les Ist et le Vih Sida.

Toutefois, Babacar Sy informe que, quand une affaire éclate, les concernés préfèrent recourir à des arrangements familiaux. Ils sont nombreux d’ailleurs, étouffant ainsi des situations qui mériteraient une attention particulière. D’autant que le centre conseil adolescents ‘est souvent perçu comme étant un organe qui divulgue des informations secrètes et qui amène certaines personnes en justice’, regrette son coordonnateur, précisant que la structure se limite à référer les cas.

Issa NIANG
Walf


DAME DIENG LERAL.NET

Gagnsiri abuse l’ex de sa fille et s’ouvre les portes du Camp pénal

$
0
0
Les férus de l’émission Waxtaanou Njaboot sur la chaîne d’information Canal Infos News risque d’être sevrés de leur chouchou. Pour cause, l’animatrice de cette émission, Gagnsiri Gueye en l’occurrence croupit depuis hier au camp pénal où elle est sous mandat de dépôt pour escroquerie.
Gagnsiri abuse l’ex de sa fille et s’ouvre les portes du Camp pénal
La bonne dame est poursuivie par l’ex-époux de sa fille qui lui réclame 2.6 millions de francs. Amadou Niang, puisque c’est de lui qu’il s’agit est un émigré sénégalais au Canada. Selon Walf Grand-Place, ce dernier qui a été marié à l’unique fille de l’animatrice s’est attaché les services de cette dernière pour l’achat d’un terrain situé à Mbour et appartenant à un médecin. Qui est l’ami de Gagnsiri.

Les deux partis sont tombés d’accord sur la somme de 8 millions que l’ex-beau fils de l’animatrice doit payer par tranche. Ainsi Amadou Niang enverra 2 millions 600 mille au médecin par l’intermédiaire de Gange. Qui quelques mois après la transaction, apprend à son beau-fils que le médecin sursoit à la vente de son terrain. Quoi de plus normal pour Niang que de réclamer la somme qu’il a déjà versée ? Il s’en est ouvert à Gagnsiri qui lui fera savoir que son ami ne lui a restitué que 400 000 francs.

Investigation faite ; l’émigré découvre que le médecin avait remis la totalité de la somme à Gagnsiri. « Lorsque j’ai demandé à Gagnsiri, elle a avoué avoir reçu l’argent. Seulement, elle ne comptait pas me remettre un seul sou étant donné que c’est moi qui l’ai offert à sa fille », explique Niang. Qui s’inscrit en faux contre la soutenance de Gagnsiri avant de déposer une plainte. A cet effet, deux avocats ont été constitués pour défendre ses intérêts. L’animatrice qui a été déférée au parquet depuis hier devra être édifiée sur son demain au tribunal des flagrants délits de Dakar.

Abdou K. Cissé

DAME DIENG LERAL.NET

Fatick-Kaolack : Bara Tall disposé à refaire le tronçon

$
0
0
Les travailleurs de Jean Lefebvre Sénégal (Jls) ne veulent pas se présenter en victimes expiatoires du gouvernement. Ils ont prévu un certain nombre d’actions, dont l’occupation des locaux du groupe le 8 mars, jour de leur vente, et une marche le 16 du même mois. Tout cela pour protester contre ‘la liquidation programmée de Jls
Fatick-Kaolack : Bara Tall disposé à refaire le tronçon
Fatick-Kaolack : Bara Tall disposé à refaire le tronçon
Marche avec la Csa le 16 mars, occupation par les travailleurs et leurs familles des locaux du siège de l’entreprise le 8 mars, jour prévu pour leur mise en vente, campagne d’affichage à travers la ville pour sensibiliser l’opinion nationale et internationale sur ‘le sort’ que leur ‘réserve le gouvernement’, c’est le plan d’action des travailleurs de Jean Lefebvre Sénégal (Jls). Ces travailleurs, affiliés à la Csa, qui étaient en conférence de presse hier, au siège de leur entreprise, agitent le slogan : ‘Nous sommes déjà morts, nous ne mourons plus’. Ils accusent le gouvernement de vouloir fermer leur entreprise pour des raisons politiques. ’Nous, les trois mille travailleurs de Jls, avons fini de comprendre que l’Etat du Sénégal a voulu simplement nous endormir en parlant de négociations avec Jls depuis le 14 juillet 2010, mais que son objectif ultime reste la mise à mort irréversible de notre précieux outil de travail’, déclare Mamadou Ngom, le secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs du Btp - section Jls.

‘Sinon, comment comprendre que la route Kaolack-Tambacounda, réalisée par des groupes étrangers, ait commencé à se dégrader avant même la fin des travaux et on essaye de camoufler cela en disant que la faute incombe aux surcharges des camions maliens ; alors que dans le cas du tronçon Fatick-Kaolack, qui est emprunté par les mêmes camions et dont les dégradations ne sont apparues qu’un an après, on traîne Jls en justice’, poursuit Mamadou Ngom. Notre interlocuteur donne aussi l’exemple du ‘pont Emile Badiane de Ziguinchor, dont les travaux qui avaient été commencés ont été arrêtés pour complément d’études’.

En plus, les travailleurs, qui parlent ‘de liquidation programmée’ de Jls, renseignent que la direction de l’entreprise, pour préserver son outil de travail, est disposé à ‘brader’ les biens qui lui sont propres, pour honorer sa dette à l’égard des banques. Mais, là aussi, l’Etat du Sénégal a poussé ‘l’acharnement’ jusqu’à refuser d’autoriser cette transaction, regrettent les travailleurs. ‘C’est à croire que le gouvernement du Sénégal se moque des trois mille pères de familles qui ont perdu leur travail, des trente mille fils du pays qui ne mangent plus à leur faim et de nos familles qui sont en train de se disloquer’, renchérit Mamadou Ngom.

Secrétaire général de la Csa, Mamadou Diouf affirme que cette bataille n’est plus l’affaire des seuls agents de Jls, mais de tous les travailleurs sénégalais. ‘Le combat doit être national et international. Il n’est plus question que le gouvernement fasse ce qu’il veut. La solidarité internationale va jouer. Néanmoins, nous devons d’abord nous appuyer sur la solidarité nationale, car pratiquement tous les secteurs connaissent des difficultés’, dit-il. De son côté, Malick Ndiaye, qui était venu prêter main forte à ces travailleurs, les appelle à faire la jonction avec les enseignants du supérieur qui sont en grève.

TRONÇON FATICK – KAOLACK : Jls est disposé à le refaire

A en croire les travailleurs de Jean Lefebvre Sénégal, Bara Tall, le patron du groupe Jls, est disposé à refaire le tronçon Fatick - Kaolack délabré, et qui fait l’objet de la brouille entre son entreprise et le gouvernement. ‘En tout état de cause, Jls est prêt, aujourd’hui, à refaire le tronçon Fatick - Kaolack avec le montant prévu par l’expert et selon le dimensionnement remis aux autorités du ministère des Infrastructures’, affirme le secrétaire général du Syndicat autonome des travailleurs du Btp - section Jls. Ngom souligne que la balle est désormais dans le camp du gouvernement, s’il veut manifester un minimum d’égard vis-à-vis des usagers de ce tronçon.

Charles Gaiky DIENE
Walf

DAME DIENG LERAL.NET

Saint-Louis : onze pêcheurs portés disparus après le chavirement de deux pirogues

$
0
0
Onze pêcheurs ont été portés disparus, suite au chavirement de deux pirogues qui se sont heurtées mardi à Saint-Louis au canal de délestage.
Saint-Louis : onze pêcheurs portés disparus après le chavirement de deux pirogues
Onze pêcheurs ont été portés disparus, suite au chavirement de deux pirogues qui se sont heurtées mardi à Saint-Louis au canal de délestage, a appris l’APS de source sûre.

Les deux navires avaient à bord respectivement 5 et 6 pêcheurs, précise la même source, qui ajoute que es recherches ont été déclenchées pour retrouver les pêcheurs ainsi que leur embarcation.

Le canal est prisé par les pêcheurs qui, en l’empruntant, gagnent du temps pour débarquer leur poisson. Mais il est à l’origine de plusieurs accidents.

APS

DAME DIENG LERAL.NET

M. B, meneuse de jeu des Amazones : Un ballon rond à la place du…cœur

$
0
0
M. B., 18 ans est une footballeuse qui a de beaux jours devant elle. Ce, malgré les réticence de ses proches.
M. B, meneuse de jeu des Amazones : Un ballon rond à la place du…cœur
Sa féminité est mise à nu par ses tresses et sa poitrine un peu avancée. Sinon rien de la physionomie de cette petite taille ne renvoie à l’appartenance de Mariama B. à la gent féminine. La meneuse de jeu des Amazones de Grand-Yoff doit cette transformation à son amour pour le football. Et ce, depuis le bas âge. « C’est à l’age de 10 ans que j’ai compris que je suis faite pour le foot », se justifie la fille de sa mère. Pourtant cette dernière s’érige en barrière contre la volonté de sa fille qui rêve de grands jours dans le foot. Elle ne faiblit pas. Et ne raconte pas de fables.

De son mètre 50 qu’elle déplace sur ses 60 kilos sur l'aire de jeu, la fille de Grand-Yoff bénéficie de la confiance de son coach. Qui ne tarit pas d’éloges à son endroit. Samba Traoré : « elle fait partie de mes meilleurs éléments ». Une de ses coéquipière renchérit: «Elle est très généreuse et précises sur le terrain ».

Son ballon de foot qui subit la hardiesse de ses pieds magiques, M. B raconte le jour de sa vie. «en 2009 alors que je venais à peine d’intégrer l’équipe, le coach a placé en moi une confiance au point de me titulariser. C’est le jour de ma vie », se remémore la Marie. Mais comme il n’y a jamais deux sans trois, il faut aussi reconnaître que le bonheur est toujours poursuivi par le malheur qui finit par le rattraper. Et Marie ne dérogera pas à cette règle. Son modus operandi qui consistait à sécher les cours pour assister aux entraînements de son équipe tombe dans l’oreille de sa maman. Qui entre dans une furie indescriptible. « Elle ne m’a pas raté ce jour-là. Elle a proféré des injures de tout genre à mon encontre », force-t-elle le sourire qui cache mal sa gêne à revenir sur cet épisode sombre de sa vie de joueuse.

Comme pour effacer cela de sa petite tête, elle se met à jongler son ballon qui quitte ses pieds pour atterrir sur ses genoux avant qu’un amorti de la poitrine ne fasse monter la balle à la tête…M. est dans tous ses états. Et rappelle le doué hollandais Edgar Davids de Crystal Palace. Coïncidence pour coïncidence, le milieu offensif des Amazones révèle : « c’est mon idole ». « Je l’aime pour la hargne qu’il met dans son jeu », renchérit-elle. Non sans déclarer sa flamme pour une joueuse des Sirènes de Grand-Yoff. « Du coté des femmes, c’est Absa des Sirènes qui est mon idole », soutient Marie. Et de poursuivre : « c’est mon portrait craché ». Mais le sommeil de cette élève en classe de 2nd au Lycée de Thiaroye est hanté par un seul souci : « convaincre ses proches qu’elle a été moulée avec un…ballon. Pour ne pas dire que des restes de balles circulent dans ses veines. Eh oui, c’est la conviction… d’Edgar Bamba.

Abdou K. Cissé

DAME DIENG LERAL.NET

Libye : De la révolution au lynchage ethnique

$
0
0
Les rumeurs qui circulent depuis quelques temps faisant état du fait que le guide de la Jamahiriya recrute des mercenaires noirs pour mâter son peuple, ouvre une nouvelle page dans la crise libyenne : celle du nettoyage ethnique. Si tant est que Kadhafi a eu recours à une telle stratégie, il apparaît clair que certaines tribus y voient l’occasion rêvée de procéder à un sale job : celui d’éradiquer le sang noir hors des frontières de leurs pays.
Libye : De la révolution au lynchage ethnique


Depuis le début du soulèvement, les médias (et particulièrement Internet) montrent des images atroces où des « arabes noirs » sont torturés et tués comme des bêtes de somme. L’étiquette mercenaire a donc, selon toute vraisemblance, servie d’alibi aux tortionnaires. Et si le silence continue de régner sur cette affaire, on va à coup sûr vers l’inimaginable c'est-à-dire la disparition pure et simple du peuple noir libyen.

C’est un secret de polichinelle que de dire aujourd’hui que les peuples qui subissent le mépris et l’esclavage au sein de leurs propres nations se sont les nègres en terre arabe. L’islam, en dépit de son enseignement humaniste et sur l’égalité des hommes, n’a pas étouffé ce cancer du racisme entre les musulmans. Il suffit de revisiter les recherches faites dans ce sens par un certain nombre d’intellectuels pour s’en rendre compte. Les travaux de Tidiane N’diaye et de Joseph Kessel montrent bien la complexité de ce problème. N’en déplaisent à certains, il y’a toujours eu et depuis belle lurette une liquidation systématique de la catégorie noire dans le monde arabe. Ce n’est pas pour rien que la dite catégorie est devenue presque invisible actuellement dans ces sociétés alors que des millions d’africains ont été déportés durant la première traite négrière perpétrée par les maures. Selon T. N’diaye, c’est par l’application d’une castration à échelle massive qu’ils ont parvenu à effacer les « traces noirs » dans leurs pays. Et ceci est tout à fait logique car la traite atlantique concerne moins d’individus par rapport à la première et pourtant on voit une forte présence noire sur les terres occidentales.

Actuellement, l’infime minoritaire noire parmi les populations en Irak, en Tunisie, en Libye entre autre vit sous le mépris et l’indifférence totale. Pie, on s’amuse encore à les appeler « Kakhlouches » (un terme méprisant faisant allusion à leur origine nègre) sous l’œil coupable des droit-de- l’hommistes dans ces pays. C’est pourquoi, il est plus que nécessaire d’attirer notre attention sur ce qui se passe en Libye en ce moment, faute de quoi, on risque d’assister à une politique d’extermination pure et dure d’une catégorie sociale à l’instar de ce que le Fureur appelait la « solution finale en Allemagne ».

Malao Kanté, Doctorant en philosophie Nice.

DAME DIENG LERAL.NET

Scandale sexuel à L'Ambassade d'Italie: Un diplomate aurait drogué et sodomisé un vigile

$
0
0
Une Affaire de mœurs secoue l’ambassade d’Italie à Dakar. En effet, un diplomate italien serait, à en croire l’Observateur dans de beaux draps pour avoir drogué avant de sodomiser un vigile Togolais. Ce dernier a tout simplement déposé une plainte à la Dic malgré les menaces et intimidations du diplomate.
Scandale sexuel à L'Ambassade d'Italie: Un diplomate aurait drogué et sodomisé un vigile
C’est au mois de janvier que les deux « amis » ont fait connaissance dans un restaurant où le plaignant officie comme vigile. Le diplomate italien invite sa proie chez lui aux Maristes. Le vigile qui était loin de douter de la composition du jus « Presséa » que lui a servi son diplomate d’ami, en fait une seule gorgée. Et d’entrer dans un sommeil profond. Moment choisi pour le diplomate d’accomplir sa besogne. Selon le vigile, le gus l’a dévêtu avant de le sodomiser. S’il est convaincu des assauts du diplomate c’est parce qu’à son réveil il a vu du sperme sur ses fesses et du sang qui coulait provenant de son postérieur. Il s’en ouvre à son bourreau qui tente d’acheter son silence. « Quand je l’ai interpellé sur ce qu’il venait de me faire, il m’a dit que je devais garder le silence. Car il le fait avec des sénégalais et que je ne suis qu’un étranger. Il m’a révélé avoir remis 4 millions de francs Cfa à un sénégalais qui voulait le dénoncer », dit le vigile aux enquêteurs de la Division des investigations criminels.

Et le Togolais de laisser entendre que c’est le même procédé que le diplomate a voulu dérouler avec lui. « Dès qu’il a été informé que j’ai saisi la Dic, il m’a proposé 10 millions. Ce que j’ai refusé », ajoute le vigile. Qui a peur pour sa vie d’autant que son bourreau « vient chaque jour au restaurant avec deux hommes pour me menacer de mort. » le diplomate n’a pas souhaité se prononcer. Les limiers de la Dic ont décidé de transmettre le dossier au Parquet vu « la personnalité du mis en cause».

DAME DIENG LERAL.NET

Les populations d’Oudoucar veulent le développement du village natal de la mère de Wade

$
0
0
C’est parce que Wade aura fait du village natal de sa mère un point focal du développement du Fouladou que les populations se réveillant dans cette contrée ont décidé de ne plus croiser les bras.
Les populations d’Oudoucar veulent le développement du village natal de la mère de Wade
C’est le combat que veut mener l’association pour le développement de Oudoucar (communauté rurale située dans l’arrondissement de Diendé, département de Sédhiou) dirigée par la très dévouée Coumba Camara Ndiaye. Qui, avec les autres membres de Sitoo-Kotoo initient des activités à but lucratif afin de trouver une ambulance au centre de santé qui a été installé à Oudocar. A cet effet, « une soirée sera organisée au mois de mars et les recettes contribueront avec l’appui des ressortissants du village natal d’Aida Dabo, mère du président Wade en Espagne pour acheter une ambulance pour le centre de santé », soutient Boubacar Ndiaye. Le secrétaire général de l’association pour le développement de Oudoucar qui salue le dévouement du président Wade à l’endroit de leur localité révèle que « beaucoup de projets ont été initiés par le chef de l’Etat dans notre village qu’il a érigé en chef lieu de communauté rurale ». « Il n’a ménagé aucun effort pour faire de notre contrée une oasis », poursuit Ndiaye qui ajoute qu’un projet agro-pastoral d’un montant de 500 millions a été monté. Cette volonté débordante du président les pousse à sortir de leur gond et à le seconder dans ses efforts de faire de Oudoucar une communauté rurale émergente.

DAME DIENG LERAL.NET

Côte d'Ivoire : Les ex-rebelles pro-Ouattara prennent deux villes de l'ouest

$
0
0
Les ex-rebelles ivoiriens alliés à Alassane Ouattara, qui tiennent le nord du pays, ont pris vendredi deux localités de l'ouest sous contrôle du président sortant Laurent Gbagbo, tandis que les violences ont gagné Yamoussoukro, la capitale politique, après Abidjan.
Côte d'Ivoire : Les ex-rebelles pro-Ouattara prennent deux villes de l'ouest
Déchiré depuis la présidentielle du 28 novembre entre Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, reconnu chef d'Etat par la communauté internationale, le pays s'enfonce depuis une semaine dans la violence.

Au lendemain de combats à Zouan-Hounien entre éléments de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) et Forces de défense et de sécurité (FDS) fidèles à M. Gbagbo, les FN occupaient vendredi "toute la ville", a témoigné un habitant.

Un responsable des FDS dans la zone a confirmé la prise de cette ville proche de la frontière libérienne par le camp adverse, mais évoqué un "repli tactique".

Toutes les unités FDS prépositionnées sur l'ancienne ligne de front coupant d'ouest en est le pays depuis les affrontements de 2002-2003 sont "en état d'alerte", a-t-il ajouté.

En allant un peu plus au sud, les FN ont également pris vendredi la petite localité de Bin Houyé, ont rapporté des habitants. Plus au sud, dans la même zone, des combats ont fait rage durant la journée à l'entrée de la grande ville de Toulépleu, selon des témoins.

Les combats dans l'ouest mais aussi à Abidjan ont poussé en 24 heures quelque 5.000 Ivoiriens à fuir au Liberia, a indiqué le Haut commissariat de l'ONU pour les réfugiés. Ce mouvement de population porte à près de 45.000 le nombre de réfugiés au Liberia.

A Yamoussoukro (centre), capitale politique et ville symbole, des échanges de tirs durant la nuit ont fait plusieurs blessés dans le quartier pro-Ouattara de Dioulabougou, ont rapporté des habitants, faisant état de coups de feu et de tirs "à l'arme lourde".

A Abidjan, le quartier d'Abobo (nord), favorable à M. Ouattara, ressemblait de plus en plus à une zone de guerre après trois jours d'affrontements, au lance-roquettes notamment, entre les FDS et des insurgés.

"Il y a des cadavres partout", a raconté un retraité, épouvanté.

Des blindés s'étaient déployés mais des habitants faisaient état d'une accalmie relative vendredi.

Des milliers de familles terrorisées fuyaient cependant Abobo. Baluchons sur la tête ou à l'épaule, les habitants marchaient le long d'une grande voie longeant le zoo de la ville, en direction du sud.

"On ne peut pas rester là dedans! Les enfants pleurent", a confié une mère.

Le gouvernement Gbagbo a accusé les "rebelles" FN d'avoir "infiltré" Abobo et d'autres quartiers populaires, avec la complicité de la mission de l'ONU dans le pays, l'Onuci.

Charles Blé Goudé, ministre et chef des "patriotes" pro-Gbagbo, a appelé les jeunes à s'organiser en "comités d'autodéfense" pour empêcher "par tous les moyens" l'Onuci de circuler.

"Aujourd'hui ce ne sont pas les rebelles qui nous font la guerre, c'est l'Onuci qui nous la fait", a-t-il lancé devant quelque 3.000 personnes réunies dans le quartier de Yopougon (ouest), bastion de son champion.

Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a "fermement déploré" ces menaces et exigé leur "cessation immédiate".

A Yopougon aussi, des affrontements ont éclaté dans la matinée. Des jeunes pro-Ouattara ont incendié un bus et les "patriotes" ont répliqué en brûlant plusieurs mini-cars ("gbakas"), un mode de transport collectif réputé contrôlé par le camp adverse, selon plusieurs témoins. Des échauffourées ont continué durant la journée.

DAME DIENG LERAL.NET

Trois Sénégalais parmi les 20 meilleurs blogeurs du concours Mondoblog

$
0
0
Dakar, 25 fév (APS) - Le journaliste blogeur sénégalais Basile Niane a été sélectionné en même temps que deux autres de ses compatriotes parmi les 20 meilleurs blogueurs du concours "Mondoblog" organisé par Radio France Internationale (RFI), a appris l’APS de source sûre.
Trois Sénégalais parmi les 20 meilleurs blogeurs du concours Mondoblog
Au total 100 blogeurs francophones étaient en compétition. Le jury, constitué de journalistes et blogueurs professionnels, a finalement retenu 20 candidats dont trois Sénégalais.

Il s’agit de Basile Niane, Arouna Bâ et Ahmed Dia, deux étudiants inscrits respectivement à l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar et à l’université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis.

Selon RFI, les 20 meilleurs blogueurs désignés seront récompensés par une semaine de formation à Dakar ou Yaoundé. Ils bénéficieront également d’une dotation en matériel (appareil photo numérique ou caméra vidéo numérique).

Le Concours RFI Mondoblog, une initiative de "la radio mondiale", s’est déroulé en partenariat avec l’Ecole supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication (ESSTIC) de Yaoundé et le Centre d’études des sciences et techniques de l’information(CESTI) de l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar.

BK/AD

DAME DIENG LERAL.NET

VIDEO / Cheikh Ndiaye, de la troupe Soleil Levant dit tout : "Ma relation avec Touly. Sanekh et moi, le courant passe toujours"

$
0
0
Dans une interview accordé au site thiesinfo.com de Oumar Sèye, le comédien Cheikh Ndiaye, de la troupe Soleil explique tout. Pour lui, il n'y aucun nuage entre lui et Sanekh malgré les informations distillées dans la presse. Dans cet entretien, il est également revenu sur sa relation avec Touly désormais mariée et qui vit en France.
VIDEO / Cheikh Ndiaye, de la troupe Soleil Levant dit tout :

DAME DIENG LERAL.NET

COOPÉRATION SÉCURITAIRE ETATS-UNIS / SENEGAL : 24 officiers spécialisés formés aux techniques de négociation pour la libération d’otages

$
0
0
L’Ambassade des Etats-Unis à Dakar, en partenariat avec les Ministères sénégalais de l’Intérieur et des Forces Armées, a organisé du 7 au 18 février 2011, à l’Ecole Nationale de Police à Dakar, une session de formation sur les techniques de négociation pour la libération d’otages. La formation de deux semaines a regroupé 24 officiers de la police et de la gendarmerie spécialisés dans la prise en charge des incidents terroristes impliquant des otages.
COOPÉRATION SÉCURITAIRE ETATS-UNIS / SENEGAL : 24 officiers spécialisés formés aux techniques de négociation pour la libération d’otages
L’objectif de la session était de former les participants à mener efficacement des négociations pour résoudre les situations de prise d’otage sans perte de vie.
Les participants se sont familiarisés avec les bases de la négociation, de la communication et de la psychologie des négociations. Le cours a également examiné les différentes méthodes de négociation avec des terroristes en utilisant des études de cas pour démontrer que chaque situation de prise d'otage et de crise est unique.

À l'issue de cette session de formation et à travers des exercices pratiques les participants ont démontré diverses compétences:

- mener des négociations pour la libération d’otages en utilisant les méthodes les plus récentes disponibles ;
- utiliser des systèmes d'écoute téléphonique ;
- identifier les différentes caractéristiques des preneurs d'otages et des terroristes présumés, et les bonnes techniques d'entrevue ;
- traiter avec des personnes en situation de crise.
Le Programme d’assistance anti-terrorisme du Département d’Etat américain fournit des sessions de formation aux agents chargés de la sécurité civile et de l’application de la loi sur les procédures policières relatives au terrorisme.

Depuis sa création en 1983, le programme a formé et assisté plus de 48 000 officiers chargés de la sécurité et de l'application de la loi de 141 pays. Ces officiers formés ont pour première responsabilité de lutter contre les cellules et réseaux terroristes internationales dans leur pays. Ces officiers ont également la responsabilité de réagir et d’atténuer l'impact des attaques terroristes dans leur pays.
Au Sénégal, le programme fournit des formations et de l'équipement depuis 1985. L'objectif du programme est de renforcer les capacités de la police et de la gendarmerie à détecter, dissuader et combattre le terrorisme. En 2011, le programme prévoit d’assurer une formation et de fournir un équipement d'une valeur de plus de 1 500 000 de dollars.
L’Ambassade des Etats-Unis à Dakar, en partenariat avec les Ministères sénégalais de l’Intérieur et des Forces Armées, a organisé du 7 au 18 février 2011, à l’Ecole Nationale de Police à Dakar, une session de formation sur les techniques de négociation pour la libération d’otages. La formation de deux semaines a regroupé 24 officiers de la police et de la gendarmerie spécialisés dans la prise en charge des incidents terroristes impliquant des otages.

depechediplomatique

DAME DIENG LERAL.NET

L'argent des immigrés: le scandale

$
0
0
L'historien et politiste Olivier Le Cour Grandmaison dénonce les prélèvements mirifiques opérées par les banques sur l'argent envoyé par les immigrés à leurs familles restées au pays.
L'argent des immigrés: le scandale
Ils ont en moyenne des revenus largement inférieurs aux nationaux des pays dans lesquels ils vivent, ils occupent les emplois les moins qualifiés et les moins bien rémunérés. Ils sont victimes de discriminations à l'embauche, de la précarité et de licenciements qui les frappent plus souvent qu'à leur tour; et pourtant, ils s'obligent à des sacrifices financiers significatifs pour envoyer chaque mois de l'argent à leur famille demeurée au pays. Pauvreté, privations, épreuve douloureuse de l'exil, et pour les sans-papiers la peur constante de l'arrestation et de l'expulsion. Telle est la situation de beaucoup d'immigrés qui vivent en France; elle n'est une douce terre d'accueil que dans les discours ronflants mais fallacieux des membres du gouvernement et de la majorité qui le soutient.

En 2010, les sommes ainsi transférées se sont élevées, au niveau international, à 325 milliards de dollars selon une étude de la Banque mondiale, laquelle constatait aussi que ces montants sont trois fois supérieurs à l'aide publique consentie par les Etats qui, pour les plus riches d'entre eux, ne consacrent que 0,30% de leur revenu national brut à l'aide au développement. Voilà qui en dit long sur la générosité prétendue des principaux bailleurs de fonds et sur le développement solidaire tant vanté par certains ministres de la République qui, en cette matière comme en beaucoup d'autres, se paient à bon compte avec la fausse monnaie de leurs déclarations convenues.

En France, ces transferts atteignent 8 milliards d'euros en 2010, soit une progression de 10% par an depuis 2002. Leurs destinations principales sont les pays du Maghreb et de l'Afrique subsaharienne. Toutes origines confondues, ces sommes représentent 6,6% du PIB du Maroc, 7 % au Togo, 9,1% au Sénégal, entre 11 et 12,5% au Mali et 20% aux Comores. Concrètement, cela signifie que de dizaines voire des centaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants, sans doute parfois aussi les habitants de villages, voire de quartiers entiers de certaines villes, dépendent très largement de cet argent pour vivre, manger, se loger et, dans le meilleur des cas, étudier. Une manne indispensable donc qui n'a, en l'espèce, rien de céleste puisqu'elle est le fruit du dur labeur de ceux qui ont été contraints à l'exil. A preuve, selon certaines sources, ces transferts de fond représentent plus de 50% des revenus des bénéficiaires au Maroc, au Sénégal et aux Comores, et 2/3 au Mali cependant que près de 80% des sommes ainsi perçues sont affectées à la consommation courante. Comme le note Claire Naiditch, en conclusion de sa thèse d'économie soutenue à l'université de Paris I en 2009, l'argent ainsi envoyé à un «effet positif de court terme sur les revenus des ménages et les indices de pauvreté».

Reste que les immigré(e)s qui travaillent dans les conditions que l'on sait, en prélevant sur leur maigre salaire des sommes substantielles doivent payer, en France notamment, des commissions particulièrement élevées: 15 % en moyenne pour 140 euros envoyés. Toujours selon la Banque mondiale, les tarifs pratiqués dans ce pays sont parmi les plus élevés au monde. Deux opérateurs financiers principaux dominent ce marché international particulièrement lucratif: Western Union et Money Gram qui réalisent environ 65% des opérations et s'enrichissent en touchant chaque jour des commissions très importantes. D'après une étude réalisée par des chercheurs américains, des commissions de 12,5% représentent entre 10 et 15 milliards de dollars par an; au lieu de parvenir à leurs destinataires dans les pays du Sud, ces derniers finissent en partie dans les caisses des sociétés spécialisées en transfert d'argent.

Ce scandale financier et humain est parfaitement connu puisque des experts de la Banque mondiale ont établi de leur côté qu'une baisse de 5% seulement du coût de ces transactions permettrait d'augmenter de 3,5 milliards de dollars par an les sommes envoyées par les immigrés à leur famille et à leurs proches. Lors de la réunion du G8, qui s'est tenu en juillet 2009 à l'Aquila en Italie, les chefs d'Etat et de gouvernement, avaient promis d'agir et de réduire de 50% les coûts réels des transferts à l'horizon 2013. Quelle hâte! Les immigrés concernés seront sans doute particulièrement touchés par tant de prévention à leur endroit. Qu'a fait le ministre français, Eric Besson alors en charge de l'Immigration, de l'Identité nationale, de l'Intégration et du développement prétendument solidaire? Rien ou presque. Quelques négociations ici et là auxquelles s'est ajoutée la rénovation d'un tableau comparatif établi en 2007 par l'Agence française de développement permettant de prendre connaissance des tarifs pratiqués par les différentes sociétés de transferts, les banques et la Poste.

Comme on peut le lire sur le site officiel du ministère de l'Intérieur aujourd'hui en charge de l'Immigration, ce tableau «est l'illustration de l'engagement, aussi bien de l'Etat que des établissements financiers, à aboutir à une plus grande transparence et à une information claire et complète des migrants sur les modalités et coûts de ces envois d'argent». Cette prose convenue et creuse, qui mobilise quelques «éléments de langage» aujourd'hui en vogue parmi les conseillers en communication chargée de promouvoir l'action des membres du gouvernement, n'engage à rien. Plus grave, les tarifs pratiqués restent très onéreux pour les immigrés. De l'aveu même d'Eric Besson, qui a tenu une conférence de presse le 20 mai 2010 sur cette question: «les coûts des transferts de fond demeurent trop élevés, dépassant bien souvent 8 à 10 % de la somme transférée et approchant quelquefois 20%». Remarquable bilan, assurément, de celui qui se vantait de mettre en œuvre une «politique ferme mais humaine» et cherchait à redorer son misérable blason par la promotion d'actions réputées favorables aux migrants et à leur pays d'origine.

Aux responsables politiques qui disent savoir de quoi ils parlent et affirment être bien informés des réalités sur lesquelles ils prétendent agir, recommandons l'expérience simple suivante. Entrez donc dans une agence parisienne de Western Union, par exemple, et vous pourrez constater que la situation n'a pas véritablement changé. A destination de l'Afrique, les «prix du service» sont les suivants: jusqu'à 100 euros, les frais sont de 10 euros, de 100,1 à 200 euros, de 15 euros. Mais ils sont de 8 euros 50 pour un transfert inférieur à 50 euros et de 15 euros pour un transfert compris entre 50, 1 euros et 100 euros selon d'autres tarifs fournis par la Banque Postale cette fois. En effet, dans le cadre d'un partenariat sans doute lucratif établi depuis 1994 avec Western Union, et régulièrement reconduit depuis cette date, la Banque postale propose dans son réseau de plus de 6000 points de vente les prestations de cette société de transfert de fonds. Comme l'a reconnu le vice-président et directeur exécutif de Western Union en Europe, Hikmet Ersek, «la Banque postale nous aide véritablement à étendre l'offre de service (...) en France». Assurément.

Mais quelles sont les conditions financières de cet accord? Combien ces prestations rapportent-elles à la Banque postale? Comment les tarifs sont-ils établis? Impossible de le savoir. Le bilan d'activité et le bilan financier de cet établissement n'en disent rien, et l'un de nos interlocuteurs, salarié de la Banque postale joint par téléphone, a refusé de nous communiquer ces éléments d'information. La Banque postale aurait-elle des choses à cacher en la matière, elle qui communique pourtant régulièrement sur le sujet et a mobilisé il y a peu le joueur de football sénégalais, Mamadou Niang, pour promouvoir la nouvelle tarification applicables aux transferts d'argent? Mystère. Ajoutons enfin que l'Etat est actionnaire à 100% du groupe La Poste et de sa filiale la Banque postale, et que le ministre de tutelle actuel n'est autre qu'Eric Besson qui prétendait, dans le cadre de ces responsabilités passées au ministère de l'Immigration, vouloir faire baisser les tarifs de façon significative. Il n'en a rien fait dans le passé et il persévère dans cette voie lors même qu'il aurait les moyens d'agir. Admirable.

«Service» ose écrire le dirigeant de Western Union. «Service» peut-on lire aussi sur les dépliants fournis aux clients potentiels. Une ignominie bien plutôt qui prospère, dans tous les sens du terme, sur un «marché» toujours «oligopolistique» comme on le reconnait du côté du ministère des Finances cependant qu'à cause de cela les immigré(e)s et leur famille perdent chaque année des sommes très importantes en frais exorbitants.

A quand un véritable service public pour venir vraiment en aide à celles et ceux qui sont victimes de ces pratiques indignes? Il n'y a rien à espérer de ce gouvernement qui s'acharnent contre les immigrés et les sans-papiers. Que les candidates et les candidats, qui aspirent à remplacer Nicolas Sarkozy à la présidence de la République en 2012, disent ce qu'ils comptent faire pour que cesse ce scandale. Il y a urgence; la vie de centaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants, parmi les plus pauvres du monde, dépend en partie de leur réponse.

http://blogs.mediapart.fr/

DAME DIENG LERAL.NET

J’ai très mal…

$
0
0
J’ai très mal…
Il existe des traits de caractère qui rassurent, d’autres qui rendent perplexe et certains qui restent sans qualificatifs. Tout ceci résulte certainement de la nature complexe de l’homme dans une vie faite d’espoir et de foi. L’espoir fait la vie et nourrit la foi. Mais, de façon plus pragmatique c’est souvent parce qu’on a la foi qu’on espère à un meilleur avenir. Pourquoi se donnerait-on la mort si on a la foi et qu’on espère ? Le croyant doit toujours espérer, se battre et ne jamais abandonner. Le suicide est banni de toutes les religions révélées puisque le difficile est souvent le chemin du croyant. C’est dans l’abnégation que l’on atteint la pieuté.

Mais, quand cette foi, dans la vie de tous les jours, fait face à l’espoir étrillé, elle est réduite à ne plus servir à grand-chose. La mort par le feu ou l’eau dit on mène à la béatitude. Pourquoi choisir de rêver d‘ un hypothétique Paradis si dans l’Enfer on se trouve déjà ?

C’est de ce présent confus et insupportable dont voulaient s’échapper Oumar Bocoum et Ahmed Tidiane Bâ . Des milliers d’autres jeunes avaient, avant eux, préféré le suicide à leur difficile vie. Ils n’avaient pas d’avenir puisqu’ils n’avaient plus de présent. Ces jeunes ont bravé l’Océan à mains nues, rêvant enfin d’un présent et d’un avenir qu’un cupide et sénile a assombri au bénéfice de l’avenir politique de son looser de fils. Ce vieillard de presque 90 ans n’a d’espoir que pour son rejeton qui prétend n’avoir jamais perdu et qui échoue toujours là où l’échec est totalement impossible. Il nous laisse dans le noir plus de douze heures par jour, nous rationne ce que nous payons à prix fort et il ose nous demander de lui renouveler notre confiance alors qu’il lui est impossible de trouver des solutions à nos problèmes. Son rejeton, brillant ingénieur financier, le meilleur de toute l’Afrique de l’Ouest, a lui les solutions à nos problèmes qu’il a créés mais ses concitoyens sénégalais le détestent alors il préfère garder sa potion magique. Voilà une méprisante ironie.

Ils ont, sans doute, rêvé toute leur vie de jet privés et d’autres mégalomanies sans en avoir les moyens. Aujourd’hui, ils assouvissent leur désir avec des comptes en banque fournis et des villas de rêve à Saint Tropez et partout ailleurs où la vue sur mer est fascinante.

Oumar Bocoum n’était qu’un déçu de plus de l’alternance qui a dépassé le seuil de la résignation et qui a flanché. Son rêve s’est enfoui, enseveli par le vil dessein d’une famille aux mains baladeuses, sans vergognes et sans cœurs. Il a servi sa patrie. Sa patrie l’a abandonné. Il a préféré partir.

J’ai tenté de vivre dans mes pensées ce qui pourrait être une immolation. Vu de l’esprit l’acte était horrible.

J’ai eu mal en pensant à la mère de ce jeune militaire invalide et je n’ai malheureusement que des mots pour lui demander d’être très forte. Elle nous a demandé de ne pas faire comme son fils, nous lui disons que cela doit être un impératif pour chacun d’entre nous de nous battre contre ce qui a amené son fils à s’immoler. L’injustice, le mépris et l’arrogance.

J’ai eu mal face au silence coupable d’un régime qui avait fait nourrir beaucoup d’espoir à une jeunesse aujourd’hui désemparée et j’ai eu beaucoup plus mal quand je me suis rendu à l’évidence pour savoir que leurs soucis ne sont point notre bien être mais le leur.

Nous sommes laissés à nous même. Nous nous résignons et attendons le moment venu pour crier notre déception et revendiquer le pouvoir de choisir qui nous est exclusivement dévolu.

Combien de temps encore devrions-nous nous résigner et devrions nous attendre ? La situation est devenue inadmissible.

Abdou KEBE

Le déçu de l’alternance

DAME DIENG LERAL.NET

« Ali Yacine » met en garde l’Occident contre une intervention militaire en Libye

$
0
0
Khadhafi a promis de tuer des milliers de libyens si toutefois la communauté internationale décide d’intervenir pour le décharger. Cette décision du président libyen fait suite à la décision des Etats-Unis de déployer les grands moyens. Un déploiement du porte-avions USS Enterprise et du porte-hélicoptères d'assaut USS Kearsarge autour de la Libye qui pousse l’association Association pour le Développement Humain Durable « Ali Yacine » (AS) à sortir de ses gonds. L’association, dans un communiqué envoyé à la rédaction fustige la posture adoptée par l’occident dans cette crise.
« Ali Yacine » met en garde l’Occident contre une intervention militaire en Libye
Le bureau exécutif du mouvement « Ali Yacine » qui s’est réuni le dimanche 27 février de relever l’hypocrisie de l’Occident qui s’est toujours ligué avec les dictatures arabes et africaines dans le but de bénéficier des ressources et richesses de ces peuples.

Le mouvement Ali Yacine croit savoir que « Les actes génocidaires, inhumains et criminels du pouvoir du colonel Kadhafi et compagnie contre le Mouvement révolutionnaire et populaire en Libye ne doivent pas servir de prétexte à une intervention militaire étrangères des Occidentaux qui ont pour but non pas de venir en aide aux populations libyenne mais de mieux piller davantage le pétrole libyen ».

En effet, le Mouvement « Ali Yacine » met en garde l’occident contre toute intervention militaire en Libye et de juger que « que toute intervention militaire serait considérée comme une entrave à la volonté du peuple Libyen qui est en train d’achever le régime de Kadhafi et qui ne veut aucunement une ingérence étrangère occidentale hypocrite ‘’humanitaires’ soit –elle ».

Par contre, pour protéger le peuple libyen des exactions dont il fait l’objet, le Mouvement « Ali Yacine » « exige à l’ONU, la protection sérieuse des populations civiles libyennes qui subissent les attaques féroces et sauvages de l’aviation et de l’artillerie du clan khadhafienne et que des mesures soient envisagées pour protéger les civils».

Le mouvement invite les dirigeants africains et arabes à une oreille attentive aux appels de détresse de leurs peuples respectifs qui, selon l’Association pour le Développement Humain Durable « n’exigent qu’une vie décente et digne et une démocratie économique ».

DAME DIENG LERAL.NET

Pourquoi Wade hésite à nommer Aïda Mbodji vice présidente du Sénégal

$
0
0
Le Président de la République se cherche encore pour nommer pour la première fois dans l’histoire du Sénégal un vice président. Si certains hommes politiques de la trempe de Djibo Leity Ka ou d’Idrissa Seck ont monté des lobbying pour occuper ce portefeuille, il n’en demeure pas moins que le Président Wade pense plutôt à mettre en selle une femme. Selon certaines sources proches du palais, le Président Wade avait même pensé à Aminata Tall, ensuite à Marie Thérèse Dédhiou de l’ADEPME et finalement à Aïda Mbodj pour plusieurs raisons ?
Pourquoi Wade hésite à nommer Aïda Mbodji vice présidente du Sénégal
Tout comme le Président Yaya Djammeh qui a nommé Aïssatou Ndiaye Seydi à la vice présidence, le Président Wade aussi a voulu en faire autant pour promouvoir la femme. Des Hélène Johnson Shirlief, des Aïssatou Ndiaye Seydi, le Président Wade en veut encore puisqu’il veut faire plus que Senghor et Diouf. Aujourd’hui, le Président Wade est reconnu comme le défenseur de la cause féminine. Certains lobbies ont manœuvré même pour que le prix nobel de la paix lui soit attribué pour récompenser son combat pour la promotion de la femme et de la paix. Ainsi dans le souci de mettre les femmes dans les plus grandes sphères de décision, le Président Wade a pensé nommer Aïda Mbodji à la vice présidence de la République. Il avait aussi voulu lui confier la destinée des femmes du Pds attendu qu’Aminata Tall était devenue de plus en plus incontrôlable. Selon certaines sources proches du palais, Mme Aïda Mbodji avait tout le mérite et tout le profil pour occuper cette charge. Si les uns travaillent à faire capoter le projet de Wade, les autres œuvrent à ce que le secrétaire général du Pds récompense Mme Aïda Mbodji qui a été l’un des rares responsables politiques du Pds à avoir gagner sa collectivité locale. En effet, la Coalition Sopi 2009 a gagné la commune de Bambey en s’adjugeant 33 sièges (dont 23 sur la liste majoritaire) sur les 46 conseillers municipaux, suivie de ’’And Ligguèy Sénégal’’ avec 7 sièges, Nida (Nouvelle intelligence pour le développement africain) 4 sièges et ’’Bennoo Siggil Senegaal’’ 2 sièges. Vice présidente à l’Assemblée Nationale, elle a pu montrer par son pragmatisme qu’elle n’a pas d’égal dans le giron politique libéral. Bénéficiant d’une base politique et affective dans son Bambey, elle a mis sur le tapis toutes les coalitions de partis qui étaient en course pour la conquête de l’institution municipale. Seule contre les hommes, elle a pu montrer à ses détracteurs que le département de Bambey était acquis au Président Wade et qu’elle avait une base réelle. Ainsi elle mit fin à l'hégémonie des hommes sur la commune de Bambey comme première femme maire. Un proche du maire de Bambey confesse : « Aïda Mbodji est toujours au chevet des populations. Contrairement à certains responsables politiques qui ne pensent qu’à eux-mêmes, le maire de Bambey aide les gens en payant les ordonnances, les factures ; elle donne des emplois aux jeunes, finance les femmes ; elle est dans les baptêmes, dans les deuils. Si elle a pu gagner Bambey, c’est parce qu’elle écoute et aide les populations. » Très méthodique et très soignée dans sa démarche, elle a battu le record de mobilisation lorsqu’elle était ministre de la Femme en remplissant les stades Demba Diop et Léopold Sédar Senghor devant plus de 10 Chefs d’Etat africains. Pour reconquérir Diourbel, certains conseillers de Wade pensent qu’il faut la renforcer. Ainsi elle est plébiscitée à la vice présidence de la République. D’ailleurs le Président de la République ne serait pas contre cette idée et travaille à la matérialiser pour compenser l’instabilité d’Aminata Tall qui a plombé l’élan du Pds à Diourbel.

Malick Borso DIOP

DAME DIENG LERAL.NET

Samuel Eto'o ne veut pas payer…60 euros

$
0
0
Le footballeur camerounais de l’Inter de Milan n’a pas voulu honorer l’amende qui lui a été infligée par une policière.
Samuel Eto'o ne veut pas payer…60 euros
Cette dernière a appréhendé la star de foot qui a mal garé sa voiture dans la Via Monte Napoleone à Milan. Se sachant cuit, le footballeur a usé de tous les subterfuges pour ne pas payer son amende. Mais c’était sans compter avec la détermination de la policière qui fera savoir au Camerounais que « La loi est la même pour tout le monde ». Daily Miror visité par Leral.net révele qu'étant dos au mur , Eto'o a du mettre la main à la poche pour ensuite lancer à la policière un discret doigt d’honneur.

Le footballeur Camerounais gagne 11 millions d’Euros (7 milliards de francs Cfa) chaque année et figure à la quatrième place des joueurs les mieux payés au monde. Et rappelons que le footballeur a dégainé une fortune pour trouver des montres à ses coéquipiers en Equipe nationale. Ce qui fait croire à plus d’un que Samuel Eto’o pouvait s’épargner cette frasque à…60 euros.

Abdou K. Cissé

DAME DIENG LERAL.NET
Viewing all 117369 articles
Browse latest View live




Latest Images