Dopé par son grand rassemblement de dimanche dernier, Mora Cissé revient à la charge pour «attirer l’attention du président de la République sur la léthargie» au sein de l’Alliance pour la République à Grand Yoff.

Pour Mora Cissé, opérateur économique, depuis la défaite aux élections locales de l’Apr à Grand Yoff, il n’y a pas de mesures sérieuses prises avec lucidité pour «redonner plus de tonus» à l’Apr. «Nous n’avons pas tiré les leçons de cette défaite même s’il est clair que notre objectif était de conquérir la mairie qui est entre les mains de nos opposants», explique Mora Cissé. Il renchérit que l’attitude qui devait primer c’était de faire un diagnostic sans complaisance, situer les points faibles «pour parer à toute éventualité et surtout préparer les échéances électorales à venir». Pour M. Cissé, Khalifa Sall avait réussi à infiltrer l’Apr avec des informateurs qui assistaient à leurs réunions et qui lui donnaient les moindres détails. «C’est pour vous dire qu’un travail de titan nous attend. Mais malheureusement ici et là, on ne semble pas mesurer les enjeux», laisse entendre notre interlocuteur.
Sur cette même lancée, il lance un appel à leur leader, Macky Sall. «Il doit être conscient que Grand Yoff est un vivier électoral avec plus de 100 mille électeurs, à l’image des Parcelles Assainies, et que c’est une localité qui nécessite une surveillance particulière», croit savoir Cissé. Aussi, demande-t-il au Chef de l’État de «tout faire pour que Grand Yoff choisisse ses responsables et que ceux-ci puissent jouer sérieusement leur partition, contrairement à ce qui se passe aujourd’hui».
Cet homme politique affirme mettre au cœur de sa politique les «braves femmes». «Nombre de nos responsables pensent que les positions qu’ils occupent présentement sont une fin en soi. Pire, ils ne se préoccupent pas de la situation des militants à la base. Certains utilisent des procédés rétrogrades qui sont dangereuses pour le parti». Et M. Cissé d’avertir ...
Sur cette même lancée, il lance un appel à leur leader, Macky Sall. «Il doit être conscient que Grand Yoff est un vivier électoral avec plus de 100 mille électeurs, à l’image des Parcelles Assainies, et que c’est une localité qui nécessite une surveillance particulière», croit savoir Cissé. Aussi, demande-t-il au Chef de l’État de «tout faire pour que Grand Yoff choisisse ses responsables et que ceux-ci puissent jouer sérieusement leur partition, contrairement à ce qui se passe aujourd’hui».
Cet homme politique affirme mettre au cœur de sa politique les «braves femmes». «Nombre de nos responsables pensent que les positions qu’ils occupent présentement sont une fin en soi. Pire, ils ne se préoccupent pas de la situation des militants à la base. Certains utilisent des procédés rétrogrades qui sont dangereuses pour le parti». Et M. Cissé d’avertir ...