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​Affaire Khalifa Sall: les réactions de la classe politique à l’annonce de son procès

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​Affaire Khalifa Sall: les réactions de la classe politique à l’annonce de son procès
Le maire de Dakar sera jugé en correctionnel le 14 décembre prochain. L’annonce de l’ouverture de son procès fait beaucoup de bruit au Sénégal, en particulier du côté de la classe politique.

Une première réaction était attendue dès l’annonce d’un procès dans l’affaire de la caisse d’avance de la mairie de Dakar, celle de la formation à laquelle Khalifa Sall appartient toujours, à savoir le Parti socialiste, membre de la coalition présidentielle, et parti au sein duquel le maire de Dakar est en dissidence.

« Le procès annoncé n’est pas le procès contre quelqu’un en raison de son appartenance politique. C’est un procès qui va être intenté, qui va avoir lieu concernant un maire dans l’exercice de sa mission », a déclaré Abdoulaye Wilane, porte-parole du PS.

Pour les avocats de l’Etat, partie civile dans cette affaire, un procès sera l’occasion pour Khalifa Sall de s’expliquer. Le député Toussaint Manga, du PDS, parti de l’ex-président Abdoulaye Wade, y voit plutôt une manière d’écarter un opposant.

« On ne s’attend à rien d’autre qu’à une condamnation puisque c’est programmé. Malheureusement, au Sénégal, le président Macky Sall a instrumentalisé la justice pour liquider son adversaire politique », a-t-il déclaré.

Les avocats du maire incarcéré affirment que la procédure a été volontairement accélérée pour aller vers un procès. Du côté des alliés politiques du maire, on exprime la même opinion.

« Nous sommes solidaires sur l’injustice qu’il est en train de subir aujourd’hui. Vous avez vu que la procédure a été catalysée, accélérée, une célérité jamais connue dans le traitement d’un dossier », a déclaré pour sa part, Dithié Fall, vice-président du parti Rewmi, allié de Khalifa Sall, au sein de la coalition parlementaire MTS.

Les soutiens politiques du maire de Dakar doivent encore se concerter. Ils envisagent déjà d’être présents, jeudi, au tribunal de Dakar.

RFI


Rama Yade :"L'AIBD sera un des marqueurs forts du PSE et du septennat de Macky Sall"

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Ex-Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères sous le gouvernement de Nicolas Sarkozy, Rama Yade, devenue chroniqueuse à AFRICA 24, a décrypté l'inauguration de l'Aéroport International Blaise Diagne à Diass...tout en encensant Macky Sall.

Me Elhadj Diouf : "Assane Diouf a été arrêté pour un délit inexistant. L'Etat est en train de favoriser les expéditions punitives"

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Invité de notre confrère Mamadou Ibra Kane dans l’émission grand Jury ce dimanche 10 12 2017 sur la RFM, Me ElHadj Diouf a estimé que Assane Diouf a été arrêté pour un délit inexistant et que l'Etat est en train de favoriser les expéditions punitives pour liquider des adversaires politiques.

Moussa Tine-affaire Khalifa Sall : «Il y aura une bataille institutionnelle, internationale… »

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Les partisans du maire de Dakar, Khalifa Sall, affûtent leurs armes pour le sortir de prison lors de son procès qui pointe à l’horizon, de l’avis de Moussa Tine, de l’Alliance démocratique Pencco. Ce dernier qui est l’invité de l’émission Objection de la Sud fm, a accepté de dévoiler un pan du voile sur leur ligne de défense.
Moussa Tine-affaire Khalifa Sall : «Il y aura une bataille institutionnelle, internationale… »

Et, cette défense, affirme M. Tine, sera menée sur tous les fronts, aussi bien sur le plan national qu’international, et sur tous les fronts, puisque, martèle-t-il, l’innovation de taille dans leur défense, sera la bataille institutionnelle. Et ce combat se fera en concomitance avec ceux politiques et juridiques.

C’est dans ce registre que le pro-Khalifa a révélé que le dossier de la levée de l’immunité Khalifa Sall allait revenir pendant le procès du fait que cette levée n’a pas été faite dans les règles de l’art.




pressafrik.com

Tentative d'assassinat à répétition: Qui en veut au maire libéral de Niagha ?

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Tentative d'assassinat  à répétition: Qui en veut au maire libéral de Niagha ?
Yoro Mballo, le maire libéral de la commune de Niagha, située dans le département de Goudomp (région de Sédhiou) a échappé à une nouvelle tentative d’assassinat. Dans la nuit du vendredi au samedi, des individus armés d’un fusil artisanal ont ouvert le feu sur lui, l’atteignant au niveau du sein gauche et au biceps droit.

Son conseiller Boubacar Baldé, qui l’accompagnait au moment des faits, a été également touché au niveau de la cuisse. Ils ont été évacués à l’hôpital de Kolda où les balles ont été extraites.

«Je remercie Dieu de m’avoir encore sauvé. Hier (avant-hier) vers 22 heures, j’ai quitté chez moi pour une partie de thé avec les amis à la boutique du coin. Quelques temps après, nous avons entendu une détonation. Et, mon ami Boubacar Baldé m’a dit qu’il a été touché. Alors moment où je l’aidais à se relever, j’ai reçu à mon tour une balle au sein gauche et au biceps. Nous avons été évacués au poste de santé de santé de Niagha puis à l’hôpital de Kolda », raconte à la Rfm, Boubacar Baldé, qui accuse dans la foulée ses adversaires politiques et annonce une plainte contre X.

Pour rappel, la commune de Niagha est cœur d’une rivalité politico-judiciaire entre le pouvoir et l’opposition. Aux élections municipales de 2014, Yoro Mballo du Pds avait remporté haut la main le scrutin. Mais son rival Idrissa Diallo de l’Apr avait introduit un recours pour faire annuler le vote. A la suite d’une bataille judiciaire, Yoro Mballo a été finalement rétabli dans ses droits. Mais depuis lors et bien avant, il a échappé à quatre tentatives d’assassinat.

La dernière attaque a eu lieu dans la nuit du 11 au 12 mars 2016. Ce jour-là, aux environs de 22 heures, des individus lourdement armée ont investi son domicile dans l’intention de le tuer. Fort heureusement pour lui, il était en visite chez un de ses proches. Dans leur retraite, les assaillants ont emporté une somme d’argent et d’autres biens.





Leral.net

Nécrologie : Amadou Sy, le gouverneur de Thiès en deuil

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Leral.net a appris avec tristesse le décès de Deffa Fadoum Sy, mère du gouverneur de Thiès, Amadou Sy, survenu ce dimanche 10 décembre à Thiès.
Nécrologie : Amadou Sy, le gouverneur de Thiès en deuil
C’est avec tristesse que nous apprenons le décès, survenu ce matin 10 décembre à Thiès, de Deffa Fadoum Sy, la mère de Amadou Sy, gouverneur de Thiès.

L’enterrement est prévu le lundi 11 décembre à 10 heures à Diatar (Podor). Leral.Net présente ses condoléances au gouverneur Amadou Sy et à toute sa famille et prie pour le repos de son âme à Firdaws.

Tentatives d’assassinat du maire de Niagha : L’Ams dénonce des «actes lâches, ignobles et barbares »

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Tentatives d’assassinat du maire de Niagha : L’Ams dénonce des «actes lâches, ignobles et barbares »


L’Association des maires du Sénégal (Ams) dénonce et condamne ce qu’elle qualifie " d’actes lâches, ignobles et barbares ", après la nouvelle tentative d’assassinat du maire de Niagha, commune située dans le département de Goudomp (région de Sédhiou).

« Cette situation est extrême grave et l’Ams par ma voix, condamne avec la dernière énergie, ces actes lâches, ignobles et barbares qui visent à vouloir assassiné des citoyens de surcroît des élus locaux. L’Ams ne saurait tolérer que ses membres soient victimes d’actes de barbarisme », a réagi, Mbaye Dionne, secrétaire général de l’Ams. Qui s’émeut dans la foulée, du silence des autorités.

«C’est la quatrième fois qu’on a tenté d'attenter à la vie de notre collègue Yoro Mballo depuis qu’il a été élu à la tête de cette commune de Niagha. Et jusqu’à présent, rien n’a été fait pour que de tels faits s’arrêtent », a souligné le maire de Ngoundiane. « Nous demandons aux ministres des Forces armées, de l’Intérieur et de la Sécurité publique, et de la Gouvernance locale qui sont par ailleurs des maires, de prendre des dispositions pour assurer la sécurité de leur collègue, Yoro Mballo. Nous demandons aux services compétents d’apporter toutes les diligences pour que les auteurs de ces actes soient identifiés et arrêtés », a-t-il lancé.

Yoro Mballo, maire libéral de la commune de Niagha, a échappé à une nouvelle tentative d’assassinat. Dans la nuit du vendredi au samedi, des individus armés d’un fusil artisanal ont ouvert le sur lui, l’atteignant au niveau du sein gauche et au biceps droit. Son conseiller Boubacar Baldé, qui l’accompagnait au moment des faits, a été également touché au niveau de la cuisse. Ils ont été évacués à l’hôpital de Kolda où les balles ont été extraites.





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And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

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Sonatel accompagne pour la première fois Pire dans son engagement citoyen à travers son programme «ãnd defar sunu gox» qui est déployé dans la localité. Le coup de balai s’est effectué hier samedi matin au Daral de Pire, en présence des autorités locales et religieuses.
And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen
Le groupe Sonatel, avec l’UCG, a fortement appuyé la commune de Pire en mettant à disposition des centaines d’outils de nettoiement destinés à la grande toilette de la ville.

Pendant une semaine, le nettoiement de la commune, avec balayage, désensablement, désherbage, éradication des dépôts sauvages, évacuation des déchets et mise en décharge, sera accompagné d’une grande campagne de sensibilisation et de communication sur la Santé, facteur de proximité sociale déterminant pour le bien-être des populations. Au total, cent poubelles seront positionnées dans les artères de la ville, qui seront visitées par les nombreuses séances de « set setal » de « And Defar Sunu Gox Pire 2017 ».

Par des visites de proximité, des activités sportives, des actions sociales et animations diverses, Sonatel, le Ministère de la Gouvernance locale, le PNGD, les mouvements associatifs, les autorités de la commune et les résidents, s’unissent pour lutter ensemble contre l’insalubrité et participer à l’amélioration du cadre de vie de la collectivité.
 

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen

And defar sunu gox à Pire: Sonatel renforce son engagement citoyen


Post-coïtum, us et coutumes : Après l’amour les hommes s’endorment, les femmes se réveillent...

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Post-coïtum, us et coutumes : Après l’amour les hommes s’endorment, les femmes se réveillent...
 
La réalité post-coïtale est plus complexe qu’elle n’y paraît - les hommes s’endorment, les femmes se réveillent, estime la chroniqueuse de « La Matinale » Maïa Mazaurette, qui suggère de s’intéresser aux possibilités de l’après-sexe pour bousculer la routine.

Après l’amour les hommes s’endorment… et les femmes se réveillent. Simple cliché, réalité biologique, construction sociale ? Un peu des trois.

A mille lieues des représentations faciles, certains hommes confessent leur envie de câliner, de discuter, de manger. De se connecter émotionnellement ou au contraire de déconnecter complètement. Certaines femmes confessent qu’elles jouent les belles au bois dormant, d’autres ressentent l’urgence de filer sous la douche.
Commençons donc par étouffer nos clichés sous l’oreiller : si l’endormissement était automatique, jamais personne ne ferait l’amour le matin.

Que se passe-t-il dans notre corps exactement ? Sérotonine, prolactine, diminution de l’activité du cortex préfrontal : les hommes sont soumis à un cocktail chimique qui pousse à l’endormissement. Les femmes aussi, mais de manière moins immédiate. La pop culture en a fait un motif de frustration féminine, mais hors écrans rien n’est moins sûr : voir un homme s’assoupir laisse plutôt supposer qu’il se sent en totale confiance… et en situation de totale béatitude. Preuve que le partenaire a rendu des services miraculeux et que sexuellement, en toute humilité, nous sommes au sommet de notre art.

« Quoi faire après »
Attention aussi aux généralisations hâtives : nous sommes inégaux face aux décharges hormonales, et ce moment de sérénité peut s’accompagner d’effets secondaires pas piqués des hannetons. Certains ou certaines se sentiront après l’amour vulnérables, désemparés, dégoûtants, honteux, voire déprimés (selon l’Institut de santé et d’innovation biomédicale, la prévalence de la dysphorie post-coïtale est identique selon le sexe).
La construction sociale a également un impact sur les comportements. Par exemple, comme chacun sait, les vrais bonhommes n’ont pas de sentiments. Ils sont trop occupés à chasser le mammouth. Après avoir obtenu « ce qu’ils voulaient », après avoir répondu à l’impératif consistant à répandre leur semence, on attend d’eux qu’ils se désintéressent de leur proie (je ne parle plus du mammouth).

Ce discours est encore régulièrement transmis aux garçons. Pour se conformer à cette masculinité rigide, il faut se montrer indifférent. Or quelle coupure plus absolue que le sommeil ? Quand on quitte la pièce, on peut continuer de penser à son/sa partenaire, mais quand on quitte l’état de conscience, la communication est complètement impossible. La représentation sociale se télescope avec la grosse fatigue.
Parce que cette masculinité-là commence à embêter son monde, toute une littérature parallèle s’est développée à l’attention des mammouthosceptiques, qui répond à la question du « quoi faire après ». Les experts en politesse post-coïtale recommandent à leurs lecteurs mâles de se secouer pour câliner leur partenaire. Ils suggèrent de lui susurrer des mots doux, de lui faire couler un bain ou de lui préparer un snack (steak tartare pour la 12, merci). On soulignera la double contrainte parfaite : l’homme qui s’endort est un monstre, l’homme qui ne s’endort pas n’est pas un homme, et Socrate est un chat.

Phase réfractaire
La même pression pèse sur les femmes : comment se mettre à ronfler en toute décontraction, quand la féminité est supposée veiller, prendre soin, sécuriser l’affection d’un possible père pour sa progéniture ? Nous attendons plus ou moins consciemment qu’une femme soit dans la continuation, le lien, encouragée en cela par la décharge d’ocytocine qui, effectivement, pousse à vouloir se rapprocher de l’autre.
Qu’on opte pour la nature vive ou le bouillon de culture, une chose est sûre : le script post-coïtal est bien plus complexe qu’il n’y paraît – et échappe volontiers à l’assignation de genre. Reste une question épineuse : l’endormissement n’étant ni obligatoire ni généralisable à tous les hommes… pourquoi cesse-t-on de faire l’amour ? Si nous nous accordons à trouver cette expérience supérieurement agréable, pourquoi ne pas la faire durer interminablement – pourquoi ne pas imaginer non seulement qu’on recommence mais qu’on ne s’arrête pas ?

On pourrait très raisonnablement arguer que la phase réfractaire oblige les hommes à laisser leurs organes sexuels se remettre de leurs émotions. Une telle assertion implique cependant que le rapport ait lieu jusqu’à cette jouissance-là spécifiquement – un scénario certes culturellement répandu, mais qui implique l’éjaculation comme fin de l’histoire.

Rien n’empêche pourtant les autres zones érogènes de prendre le relais. Nous pourrions passer du pénis à la prostate, d’une stimulation clitoridienne à une pénétration vaginale, nous pourrions tester tous les fantasmes du catalogue sexuel, tous les sex-toys, nous pourrions étirer massages et caresses sur plusieurs heures.

Le potentiel de désir a besoin d’être rechargé
Quoi ? Ne sommes-nous pas censés en vouloir toujours plus, comme la publicité nous y encourage, comme le cinéma le représente ? Il semble que non. Nos marathons sexuels restent exceptionnels. Le rapport-type dure de trois à treize minutes. La mise en bouche se limite le plus souvent au minimum vital : il faut environ dix minutes aux hommes comme aux femmes pour atteindre un état d’excitation suffisant (30 secondes pour les plus rapides).

Au risque de mettre les pieds dans le plat de mammouth : si on arrête de faire l’amour, c’est parce qu’on en a assez. Le plaisir a tué le désir. Nous pouvons nous gaver, mais ça n’est plus vraiment drôle… ce qui contredit l’idée romantique d’une passion sexuelle insatiable.

Nous n’arrêtons pas de faire l’amour parce qu’on n’en peut plus, mais parce qu’on ne veut plus. Justement parce que nous ne sommes pas que des corps, justement parce que nous investissons la sexualité de charges symboliques et émotionnelles, le potentiel de désir a besoin d’être rechargé. Exactement comme le potentiel de plaisir.
Terminons par la question qui fâche : de toute façon, si on continuait, on ferait quoi ? Saurions-nous varier suffisamment nos pratiques pour nous amuser encore ? Car l’énorme avantage d’une relation sexuelle rapidement interrompue et constamment recommencée, c’est que l’on peut repartir la fois suivante… de zéro.

Changer de paradigme?
Et parce qu’un minuscule quart d’heure est tout juste suffisant pour accomplir les tâches considérées comme obligatoires (câlin, pénétration, éjaculation), nous avons tendance à suivre l’exacte même feuille de route.
Au risque de transformer la sexualité en routine : les différentes études montrent que 15 % des hommes et un tiers des femmes ressentent un manque d’intérêt pour le sexe. Plus on avance en âge (et potentiellement en répétition des routines), plus le phénomène s’amplifie.
Alors peut-être pourrait-il être intéressant – au moins comme expérimentation – de se focaliser moins sur l’après-sexe immédiat (qui s’endort et pourquoi) que sur l’après-sexe en général : puisqu’il faut s’interrompre pour retricoter la distance nécessaire au désir, pourquoi ne pas changer de paradigme ? Au lieu de recommencer la fois suivante, nous pourrions continuer. Si l’on cesse de partir de zéro, nous changeons l’équation. Et bousculons l’ennui.

Source LeMonde

Souleymane Sané avec sa femme et ses enfants Leroy, Regina et Sidy

Vidéo: Esther et Khady réconciliées, la médiation de la fondation Keur Rassoul couronnée de succès

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Esther Ndiaye et Khady Ndiaye avaient malencontreusement eu une altercation durant la nuit du Maouloud, et le Gamou organisé par la Fondation Keur Rassoul (FKR) aux almadies. Une brouille à laquelle les membres de ladite Fondation ont tenu à mettre un terme en aidant les deux femmes à se retrouver autour d’une même table et de faire la paix. Une initiative couronnée de succès car ces dernières reconnaissant leurs tords et acceptant de fumer le calumet de la paix.Esther Ndiaye et Khady Ndiaye avaient malencontreusement eu une altercation durant la nuit du Maouloud, et le Gamou organisé par la Fondation Keur Rassoul (FKR) aux almadies. Une brouille à laquelle les membres de ladite Fondation ont tenu à mettre un terme en aidant les deux femmes à se retrouver autour d’une même table et de faire la paix. Une initiative couronnée de succès car ces dernières reconnaissant leurs tords et acceptant de fumer le calumet de la paix.
Vidéo: Esther et Khady réconciliées, la médiation de la fondation Keur Rassoul couronnée de succès


fkr92.com

( 04 Photos ) Miss Sénégal 2017, Ndéye Astou Sall étale sa classe, Sagnsee Gaa…

Vote du budget du ministère des Transports aériens : La paternité de l’AIBD embrouille l’Assemblée nationale

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Le nouvel aéroport international Blaise Diagne, (AIBD), récemment inauguré par le président de la République, a fortement cristallisé les débats à l’Assemblée nationale, lors du passage, samedi, de la ministre des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires. Pour Maimouna Ndoye Seck, ‘’le pari de l’AIBD étant gagné, il faut passer à autre chose’’.
Vote du budget du ministère des Transports aériens : La paternité de l’AIBD embrouille l’Assemblée nationale

Les débats qui ont précédé le vote du budget du ministère des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires, ce week-end à l’Assemblée nationale, ont largement été consacrés au nouvel aéroport international de Diass. Des débats que la plupart des députés eux-mêmes, ont qualifiés de « très bas » et « regrettables ».

Sur la question de la paternité de cette infrastructure qui diviise les députés, trois groupes de parlementaires se sont distingués dans les temps de parole. D’un côté, ceux qui attribuent à l’ancien président de la République Abdoulaye Wade la paternité de l’AIBD ; de l’autre, ceux qui estiment que cette paternité revient de droit à l’actuel Président Macky Sall et, au milieu, ceux qui prônent la continuité de l’Etat et ont tout fait pour mettre fin à ce tohu-bohu devenu insupportable, même pour les députés.

C’est l’honorable député Saidou Diouf qui a donné le ton pour sonner la fin de la recréation. « Quand j’écoute ces débats peu élevés, je ressens une gêne profonde, surtout avec la présence des cadres de l’administration qui accompagnent leurs ministères à l’Assemblée nationale. Il faudrait que l’on dépasse ces postures quoi circonscrivent nos débats sur des personnes. Le président de la République à clos ce débat. Ce qui devrait être plutôt notre préoccupation, c’est comment aider la nouvelle compagnie Air Sénégal qui doit bientôt démarrer », a-t-il lancé. Ayant souffert des interventions légères de beaucoup de ses prédécesseurs, le parlementaire de Rufisque d’ajouter : « ici, à l’Assemblée nationale, il y a une opposition tolérante, comme il y a une majorité tolérante. Il ne faudrait pas que la politique nous amène à épouser des attitudes extrêmes ».

Prenant la parole, la ministre a renvoyé ceux qui l’ont interpellée sur cette question, à son interview qu’elle avait accordée à ‘’l’Observateur’’.
« Sur ce débat, je l’ai dit et répété : je refuse d’être entraînée sur le terrain du débat politique. Ce que j’ai dit est clair et ça été écrit dans le journal ‘’l’Observateur’’. Je n’ai rien inventé. Je n’ai fait que rappeler les faits ; lesquels faits ont été confirmés par tous ceux qui ont pris la parole par la suite (jour de l’inauguration de l’AIBD) », a-t-elle conclu.






Vox populi

Ligue des champions: ce sera PSG-Real en huitièmes

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Pas gâté par le tirage au sort ce lundi, le PSG défiera le Real Madrid en huitièmes de finale de la Ligue des champions en février et mars prochains.
Ligue des champions: ce sera PSG-Real en huitièmes
Le PSG a hérité du tirage le plus délicat possible pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions. Le club de la capitale, qui avait terminé premier de sa poule, affrontera le Real Madrid, double champion d'Europe en titre.

Les autres matchs sont :
Juventus (ITA) - Tottenham (ANG)
FC Bâle (SUI) - Manchester City (ANG)
FC Porto (POR) - Liverpool (ANG)
Séville FC (ESP) - Manchester United (ANG)
Real Madrid (ESP) - Paris-SG (FRA)
Shakhtar Donetsk (UKR) - AS Rome (ITA)
Chelsea (ANG) - FC Barcelone (ESP)
Bayern Munich (ALL) - Besiktas (TUR)

Procès Khalifa Sall : les avocats du maire de Dakar peaufinent leurs stratégies, ceux de l’Etat en embuscade

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Procès Khalifa Sall : les avocats du maire de Dakar peaufinent leurs stratégies, ceux de l’Etat en embuscade
Certainement pris de vitesse par le doyen des juges Samba Sall qui a décidé contre toute attente, d’envoyer Khalifa Sall devant le tribunal correctionnel pour jugement, les avocats du maire de Dakar n’ont pas eu le temps d’harmoniser leur positions surtout à cause des recours déposés.

Du fait d’un calendrier qui souffre de l’emploi du temps des uns et des autres, les conseils de Khalifa Sal ont décidé néanmoins de se retrouver aujourd’hui pour harmoniser leurs positions sur le chemin du procès de leur client attendu ce jeudi 14 décembre.

Si la procédure est respectée normalement, indique « Le Témoin », il devrait y avoir un renvoi ferme en audience spéciale ou autre pour leur permettre de bien se constituer, mais surtout de connaître le contenu du dossier de renvoi, mais aussi de pouvoir informer et apprécier la liste des témoins dans cette affaire. Seulement; notre source redoute un coup fourré du parquet qui pousserait le tribunal à retenir l’affaire dès la comparution de Khalifa Sall et Cie.

Les conseils de Khalifa Sall vont discuter aujourd’hui de tous ces paramètres pour éviter un coup de Jarnac de la dernière minute du parquet et du tribunal. Cependant, quelle que soit la situation, les avocats du maire de Dakar déposeront sur la table du juge, une demande de liberté provisoire pour leur client.

De l’autre côté, on se prépare à toutes les éventualités. D’ailleurs, un des avocats de l’Etat, Me Yerim Thiam, s’est étonné que ses confrères qui se sont constitués pour le maire de Dakar, puissent continuer à s’arc-bouter sur les recours. « Pourquoi s’appuyer sur des recours quand on se dit innocent ? S’il y a des contestations sérieuses, c’est devant le tribunal qu’il faut les soulever.

Quand on est innocent, il faut aller devant le juge pour dire qu’on est innocent. La chambre d’accusation a déjà tranché, tous les recours ont été vidés, le reste, cela se passera au niveau du tribunal
», a souligné Me Yerim Thiam sur Rfm.


Thione Seck: "Entre Youssou Ndour et moi, c'est comme un plat de Ceebu jën. Il a mangé à droite, moi à gauche..."

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Thione Seck:
Thione Seck parle de l’argent offert par Youssou Ndour pour la mutuelle des artistes. En entretien avec Les Echos, le lead vocal du Raan Daam a bien apprécié ce gestion de son collègue du Super étoile. Seulement, il précisera que «s’il (Youssou Ndour) l’a a fait en faisant des calculs, ça n’engage que lui, mais s’il l’a fait pour aider les artistes, Dieu va le payer ».

Interpellé sur ses relations avec le roi du Mbalax, Thione de déclarer : « Les gens en parlent et continueront d’en parler, car c’est comme un plat de Ceebu jën (riz au poisson). Il a mangé à droite, moi à gauche, après il a voulu m’interdire de manger, mais j'ai dit non. C’est tout ! ». «C’est comme une rivalité entre Messi et Ronaldo ?, relance le journaliste. « Absolument ! », rétorque le père de Waly Seck.

Mbacké: 300 cas de viols sur mineurs en 7 ans (CGID)

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Mbacké: 300 cas de viols sur mineurs en 7 ans (CGID)
Le Directeur du Centre de Guidance Infantile et Familial (Cgid) a indiqué que 300 cas de viols sur mineurs ont été enregistrés à Mbacké en sept (7) ans. Serigne Mor Mbaye a fait ce triste décompte à l’occasion de la Journée internationale des droits humains dans ledit département.

A cet effet, l’Etat et les acteurs politiques sont appelés à prendre la question à bras-le-corps pour assurer le développement du pays. Car, « un pays ne peut se développer, en maltraitant ses enfants ».

Et, « certaines ressources de l’Etat doivent être mobilisées dans des cas d’abus sexuels afin d’essayer d’améliorer la qualité de l’offre de service parce que le coût d’un abus sexuel est énorme pour la population », a soutenu le Dg du CGID, en saluant l’initiative de l’Union Européenne (UE) « venue visiter le projet sur la qualité de l’offre afin de renforcer les systèmes de protection des enfants en situation vulnérabilité », dans les colonnes de « l’Observateur ».

Un régime drastique pour venir à bout du diabète de type 2

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Une perte de poids de 10 kilos permet de lutter contre le diabète de type 2 chez les patients obèses et peut même entraîner une rémission selon une étude écossaise.
Un régime drastique pour venir à bout du diabète de type 2
Pour lutter contre le diabète de type 2, rien de tel que la perte de poids. C'est ce que démontre une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Glasgow en Ecosse et publiée dans la revue scientifique The Lancet.

Les chercheurs ont étudié pendant un an les cas de 306 personnes âgées de 20 à 65 ans, dont l'indice de masse corporelle était compris entre 27 et 45, donc atteint d'obésité et obésité morbide pour ceux dont l'IMC est de 45. Les participants étaient atteints de diabète de type 2, dont certains depuis six ans.

Les scientifiques ont divisé les volontaires en deux groupes, un groupe témoin et un second groupe composé de 149 personnes qui ont suivi un programme de perte de poids. Pendant trois mois, ils ont suivi un régime strict au cours duquel ils ne consommaient qu'entre 825 et 853 calories par jour, ce qui est très bas. Puis a suivi une phase de stabilisation et réintégration progressive de certains aliments pendant deux à huit semaines. Ils n'ont en revanche pas modifié leur activité physique.

PLUS LA PERTE DE POIDS EST IMPORTANTE, PLUS LE TAUX DE RÉMISSION EST ÉLEVÉ
Dans le groupe témoin, qui a bénéficié de conseils diététiques classiques, la perte de poids moyenne était de 1 kilo. Pour le second groupe, cette moyenne s'élève à 10 kilos perdus. Résultats, 57% des participants qui avaient perdu entre 10 et 15 kilos, n'avaient plus de diabète à la fin de l'étude. Lorsque la perte de poids était supérieure à 15 kilos, ce pourcentage passe à 86%.

Cette étude montre que la masse grasse du corps est liée au diabète et qu'une rémission est possible, même si le patient a du diabète depuis plusieurs années.

Cependant, le Professeur Bruno Vergès, chef du service d'endocrinologie du CHU de Dijon et président de l'association francophone du diabète, contacté par le Figaro, apporte une nuance. "Ce n'est pas si facile que cela de suivre un régime très basses calories. D'ailleurs, dans cette étude où les volontaires étaient pourtant très motivés au départ, 17% ont abandonné le régime en cours de route", explique-t-il.




TopSante

( 08 Photos ) Viviane en toute complicité avec Drogba lors de la … Regardez les images exclusives.

Mondial 2018 : Khadim Ndiaye sort ses griffes : «Je ne crains aucun joueur, ni Lewandowski, ni aucune équipe»

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Pour sa deuxième participation à une phase finale de Coupe du monde, le Sénégal est logé dans la poule H, avec la Colombie, la Pologne et le Japon. Une poule que les gens trouvent plus ou moins abordable. Mais pour le gardien de buts des «Lions», le Sénégal doit jouer à fond ses chances.
Mondial 2018 : Khadim Ndiaye sort ses griffes : «Je ne crains aucun joueur, ni Lewandowski, ni aucune équipe»
Au Sénégal, ce tirage a suscité plusieurs réactions. Si les uns estiment que c’est à la portée des "Lions", d’autres invitent la bande à Sadio Mané, à la prudence. Mais pour Khadim Ndiaye, il ne faut pas y aller avec des calculs.

«Dieu nous a donné notre chance. Nous allons la saisir jusqu’au bout à la Coupe du monde prévue en Russie en juin prochain. On va prier pour qu’on s’en sorte déjà au premier tour. Je ne crains aucun joueur, ni Lewandovski, ni aucune équipe. Qu’elle s’appelle la Pologne, la Colombie ou le Japon, cela m’importe peu», a déclaré le portier international sénégalais, joint hier à Conakry.

De l’avis de l’ancien portier du Jaraaf de Dakar, toutes les équipes qualifiées se valent. «Si c’était une affaire de grands joueurs seulement, l’Argentine de Messi ou le Portugal de Cristiano aurait remporté la Coupe du monde. Ce seront des rencontres de combattants, de gladiateurs. Or, un gladiateur ne meurt jamais facilement au combat. Nous respectons nos adversaires du groupe, mais nous n’allons jamais baisser la garde», a fait savoir le dernier rempart des «Lions».

Titulaire indiscutable avec son club du Horoya (D1 Guinée), Khadim Ndiaye compte bien être du rendez-vous russe. Mais son objectif immédiat est d’aider son club aussi bien dans le championnat que sur la scène africaine. Après huit journées, le Horoya est leader du championnat guinéen, avec sept victoires et un match nul. «Comme d’habitude, j’ai zéro crainte. Je vais d’abord jouer tranquillement avec mon club, le Horoya. Je vais jouer beaucoup pour être compétitif en Ligue des champions africaine», explique-t-il.

Comme ses autres coéquipiers, Khadim Ndiaye espère être au mieux de sa forme pour aller à Moscou. «Je compte donner le maximum de moi-même, pour être au top à la Coupe du monde et faire en sorte que le drapeau du Sénégal soit bien dressé en Russie. Nous allons tout faire pour qu’après la Coupe du monde, nous soyons plus cotés», a-t-il indiqué.

Capitaine du Sénégal lors du mondial 2002, Aliou Cissé va conduire les «Lions» en tant qu’entraîneur. Une grande prouesse pour l’ancien "Lion". «Le Sénégal peut bien réussir sa Coupe du monde. L’entraîneur Aliou Cissé est un guerrier et il nous a inculqué ce sens du combat, cet esprit de la gagne», estime Khadim Ndiaye.

Le portier du Horoya AC n’en doute pas. Les «Lions» ont leur mot à dire au prochain Mondial. «A chaque fois que je parle, on dit que je suis fou. Moi, je ne connais que la gagne. Gagner, toujours gagner, c’est cela que je connais. Nous ne serons pas en Coupe du monde pour faire de la figuration», a-t-il rappelé.

Khadim Ndiaye s’est également exprimé sur la question des doléances des «Lions», lors de leur rencontre avec le président de la République Macky Sall, le 13 novembre dernier au lendemain de leur qualification à la Coupe du monde. «Le Sénégal a besoin de cette participation à la Coupe du monde Russie 2018. J’espère que nous en profiterons pour bâtir des infrastructures de qualité, de bons stades. Pour les passeports dont on a parlé et que les gens ont condamné, je suis tout à fait favorable à leur octroi. Moi en tout cas, ça me permettra de voyager facilement et de ne pas perdre du temps à Dakar pour obtenir un visa pour la France, par exemple », a-t-il ajouté.



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