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'Education - At Tarbiyah

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Oustaz Mor Kebe
'Education - At Tarbiyah

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RUMEURS SUR LE DEPART DU PM : Son conseiller en communication dément

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Depuis un an, le bruit court que Souleymane Ndéné Ndiaye est sur siège éjectable et qu’il peut être débarqué à tout moment. Son conseiller en communication dément et invite les gens à laisser travailler le PM.
RUMEURS SUR LE DEPART DU PM : Son conseiller en communication dément
Une rumeur qui reste un an sans être confirmée ou infirmée n’est plus une rumeur, mais une tergiversation pour déstabiliser la personne visée. Cette rumeur sur le limogeage imminent du PM trouve ses sources chez les libéraux, dont certains tapis dans l’ombre, travaillent discrètement pour son départ. Dans les commentaires, c’est Ousmane Ngom qui est pressenti pour être le futur Premier ministre. Selon les langues pendues, puisque le chef de l’Etat lui a ôté l’organisation des élections, il va le récompenser en lui confiant la primature. Pour mettre un terme à cette rumeur qui n’a que trop duré, la rédaction de leral.net a joint ce dimanche 7 août 2011, Doudou Sarr Niang, conseiller en communication du Premier ministre. Le chargé de communication a dégagé en touche tout ce qui se dit sur le compte du PM et nous a confié ces mots que nous publions in extenso : « Qu’est-ce que je peux dire à propos d’une rumeur vieille de plus d’une année ? Depuis le 1er mai 2009, le PM est placé sur siège éjectable, c'est-à-dire au lendemain de sa nomination. On disait de lui qu’il sera le PM le plus éphémère de l’histoire. Par la grâce de Dieu, il est toujours là. Ce que je peux dire, c’est que les rêves vont se dissiper avec le temps. Souleymane Ndéné Ndiaye fait son job et donne satisfaction à Wade. Il maintient le rythme de l’activité gouvernementale et la tonalité d’une pré-campagne qui donne des résultats. Aujourd’hui, ce n’est pas une rumeur aux allures de serpent de mer qui déviera le PM de sa trajectoire. Les termes de référence de sa mission sont clairs : réélire Wade en 2012 sur la base de son bilan et son projet de société. Le reste n’est qu’élucubrations médiatiques. Savez-vous pourquoi les gens en veulent au PM ? C’est parce qu’il ne cherche rien pour lui, mais tout pour Wade. C’est une exception dans le Pds. Il n’a jamais manœuvré pour être promu par Wade. C’est son engagement, sa compétence, son dynamisme et sa loyauté qui ont toujours prévalu à sa promotion politique. A chaque fois que le Président a eu besoin de lui, il a été présent. Entre 98 et 2000, il a parcouru le Saloum avec sa Golf pour contenir les tentacules du Ps qui avaient fini par avoir le député du Pds de Guinguinéo, Ndongo Dieng, et ce dernier avait fini par transhumer au Ps. En 2000, le Président lui avait proposé d’être ambassadeur à Paris ou de rester à ses côtés, il a fait le choix du cœur et de la raison. Il faut laisser Souleymane Ndéné Ndiaye travailler, ‘‘c’est le PM de Abdoulaye Wade’’. Ces rumeurs ne peuvent pas effriter sa loyauté à Wade ».
Pape Matar NDIAYE : leral.net

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"Personne n'a forcé Waly Seck à se marier avec moi, c'est lui qui m'a couru derrière...Je ne l'ai pas abandonné au Radisson"

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Dans un entretien exclusif accordé à facedakar.com, le mannequin Sokhna Aidara dit tout. Elle confirme avoir divorcé d'avec Waly Seck et précise n'avoir jamais été en Gambie. L'entretien a été réalisé dimanche à 16H 20 GMT au téléphone.
Facedakar : Sokhna, depuis quelque temps beaucoup de rumeurs ont circulé sur votre mariage, puis votre divorce. Qu'en est-il exactement ?
Oui, je ne suis plus avec Waly Seck, nous avons divorcé. Mais je tiens à préciser d'emblée que nous avons passé notre lune de miel ensemble et sans problème.

facedakar : Justement, il a été rapporté que vous avez lâché Waly en pleine lune de miel ?
C'est totalement faux. Je suis allée avec Waly au Radisson. Nous avons été ensemble. Nous avons quitté le Radisson ensemble. Des témoins nous ont vu ensemble. Il y a du reste un des meilleurs amis de Waly qui travaille dans cet hôtel, c'est impossible que je le laisse là bas pour partir avec un autre homme.
Mon éducation et mon honorabilité de femme ne me permet pas de faire une chose si vilaine. J"ai été totalement fidèle à Waly durant notre lune miel. Je ne l'ai pas quitté pour un autre homme.

facedakar : Donc, vous n'avez pas été en Gambie ?
Jamais de la vie. Je le jure sur le saint Coran et sur mes parents, je n'ai jamais été en Gambie avec un quelconque homme. Je n'ose pas faire une chose pareille.

facedakar : Waly soutient qu'on lui a forcé la main dans ce mariage ?
Ce n'est pas exact. C'est Waly Seck qui m'a supplié pour ce mariage. Je n'ai jamais été demandeur. C'est lui qui a tout voulu. Ni sa mère, ni son père ne l'ont forcé... Il a décidé tout seul de ce mariage et a demandé ma main sans la moindre pression. C'est lui qui me courait derrière et non le contraire...

facedakar : Donc quelles sont les causes du divorce ?
Non, je ne peux pas rentrer dans les détails. Je m'en arrête là. C'est une affaire qui nous concerne lui et moi. Je ne m'étalerai pas dessus.

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Diourbel : Gawane et Baba Garage privées d’électricité et d’eau depuis mercredi

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Diourbel : Gawane et Baba Garage privées d’électricité et d’eau depuis mercredi
Les populations de Gawane et Baba Garage vivent un véritable calvaire. En effet, depuis mercredi, ces deux localités de Diourbel sont privées d’électricité et d’eau. Selon la radio Sud Fm, les poteaux électriques qui transportaient le courant ont été endommagés par la tornade qui s’est abattue dans la zone. Et le seul forage, qui alimentait la zone, est connecté au réseau électrique de la société nationale d’électricité.

Papa Mamadou Diéry Diallo pressafrik.com

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PRESIDENTIELLE 2012 : Lamine Ba nie avoir demandé à Wade de se retirer

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Ce week end, la presse a largement relayé un scoop sur Lamine Ba qui aurait demandé à Me Wade de se retirer en 2012. L’information a été démentie par le ministre honoris causa qui donne ses impressions ici.
PRESIDENTIELLE 2012 : Lamine Ba nie avoir demandé à Wade de se retirer
« Je ne voudrais pas qu’on pense que je me dédis, je ne me dédis jamais. Mais je tiens quand même à préciser que ces propos ne peuvent pas venir de moi. Je crois que la candidature de Wade relève de sa volonté, de sa validation par le congrès de son parti et du Conseil constitutionnel. Je ne peux pas dire que le Président Wade doit retirer sa candidature. Je ne l’ai pas dit et je ne le dirai jamais parce que ce n’est pas ma prérogative. Malheureusement, un journal a titré cela. Je tiens donc à préciser à l’endroit de l’opinion, très sincèrement, que ces propos ne sont pas de moi et que je ne saurais les tenir. Je ne crains rien du tout, mais je ne peux pas endosser des propos qu’on me prête et que je n’ai pas tenus. Je le répète, si la candidature de Wade doit être retirée, cela relèvera de trois facteurs : de lui-même, du Conseil constitutionnel ou du congrès de son parti. Ce n’est pas à moi de dire si le Président Wade doit retirer sa candidature ou pas. Je ne l’ai pas dit et je ne le dirai jamais, ça ne me regarde pas ». Tels sont les propos que Lamine Ba nous a tenus pour se démarquer radicalement de cette information qu’on lui a attribuée. Nous reviendrons sur lui dans le cadre d’un entretien où nous ferons le tour d’horizon de plusieurs points touchant son compagnonnage avec Me Wade, ses ambitions politiques aux Parcelles Assainies, les étudiants haïtiens qu’il a ramenés au Sénégal etc.
Pape Matar NDIAYE : leral.net

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Le pédé Babacar Ndiaye révèle : "Au Sénégal, il y a beaucoup d'homosexuels dans le gouvernement..." (VIDEO)

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Dans un entretien accordé au people-times.com, l'homosexuel sénégalais Babacar Ndiaye lance un message aux gouvernements pour leur demander la fin de la persécution des homosexuels en Afrique. Et Babacar de révéler parlant du Sénégal : "Il y a des membres du gouvernement qui sont gays". Le même Babacar a soutenu auparavant que des sénégalais hauts placés sont mariés et entretiennent des relations homosexuels....
Le pédé Babacar Ndiaye révèle :






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Dernier rapport de la Cour des Comptes : Les réponses de l’Apix

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« De 2000 à 2010, l’APIX a fait l’objet d’une trentaine de missions d’audit et de contrôle. A chaque fois, des mesures ont été prises à l’interne, pour exploiter les recommandations pertinentes issues de ces missions, pour l’amélioration en continu des performances et de la transparence au sein de la structure », précise d’embée le chargé de la communication de l’agence qui embraye sur les réponses de la structure des grands travaux et des investissements au Sénégal relativement au dernier rapport de la Cour des Comptes.
Dernier rapport de la Cour des Comptes : Les réponses de l’Apix
La dérogation au Code des Marchés publics

Pendant la période concernée par le présent contrôle (2004-2007), l’APIX n’a bénéficié d’aucune dérogation : tous ses marchés ont respecté les procédures édictées par l’ancien Code des Marchés publics. Il en a ainsi été de 2000, année de création de l’Agence, à 2007.

Il se trouve que, face aux difficultés et pesanteurs rencontrées par l’APIX dans sa recherche constante de la performance, de la réactivité et de l’efficacité dans la transparence, dans le domaine de la Promotion de l’Investissement privé (Marketing, Communication et Gestion de zones économiques) avec un environnement de haute compétition permanente, tant au niveau national qu’international, les autorités, en accord avec les partenaires au développement, ont voulu cette évolution institutionnelle majeure de la structure, afin de lui donner les moyens juridiques de réaliser les objectifs qui lui sont assignés et qui sont conformes à ses ambitions.

Ainsi, à compter de 2008, un dispositif législatif et réglementaire a été mis en place, pour ce qui concerne exclusivement le secteur du marketing et de la communication, pour permettre à l’APIX de faire face à une concurrence internationale féroce entre pays aspirant aux mêmes sources d’investissements directs étrangers et d’avoir une réactivité appropriée pour se procurer plus d’attractivité afin de recruter des compétences correspondant à des profils spécifiques.

Cette dérogation, voulue donc par les autorités, a été posée par la loi créant la Société APIX-sa qui prévoit des règles de mise en œuvre fixées par un décret et mises en application en référence à un Manuel de Procédures approuvé par le Conseil d’Administration de APIX-sa et mis en application sous son contrôle.

Il convient d’insister sur le fait que cette dérogation ne concerne pas toutes les autres activités de l’APIX, en particulier, la mise en œuvre des Grands Travaux (aussi bien en phase études qu’en phase travaux).

La détermination du salaire et des avantages du Directeur général

De la date de sa nomination, en juillet 2000, à décembre 2000, le Directeur Général de l’APIX n’a pas eu de contrat et n’a perçu aucune rémunération. Au point que la Banque Mondiale s’est engagée à prendre en charge son salaire, à condition que son Ministre de tutelle, le Ministre de l’Economie et des Finances, signe un contrat avec l’intéressée. Une lettre du Président de la République a été sollicitée par le Ministre de l’Economie et des Finances lui-même, d’une part, pour conforter sa position dans le règlement du problème de salaire du Directeur général, mais aussi, pour être sûr que les autorités sont bien informées de cette solution, afin d’éviter tout double emploi, par la suite ; en fait, ce courrier devait simplement venir compléter le dossier lié au contrat du Directeur général.

Concernant une prime de performance prévue par le contrat et dont les modalités de mise en œuvre devaient être précisées par les Autorités, il faut souligner qu’elle n’a jamais été perçue par le Directeur général, dans la mesure où elle n’a jamais été formalisée. Cela nécessite au préalable une définition de son assiette et de la méthodologie de sa détermination. Cette question est en cours d’étude par le Conseil d’Administration de APIX-sa, dans le cadre de la finalisation du nouveau manuel de procédures et la définition des nouveaux indicateurs de performance.

Mais déjà, chaque fois que cela s’est justifié, une prime exceptionnelle de résultats a été attribuée, en fin d’année, au personnel de l’APIX, en fonction des résultats spécifiques de l’Agence. Le Directeur général n’a jamais perçu cette prime.

Pour ce qui concerne le logement de fonction du Directeur général, son contrat prévoit bien l’octroi d’un logement meublé (article 3bis de l’avenant) confirmé par le Conseil d’Administration. En plus, depuis 2007, il a été élevé au rang de Ministre.

Marché pour la définition et la réalisation d’une stratégie de communication globale et innovante dans le cadre du lancement et de la mise en œuvre des Grands Travaux

Le dossier complet concernant le marché signé avec le Cabinet CODE AFRICA n’a pas été restitué à l’APIX depuis qu’il été mis entre les mains des auditeurs pour les besoins du présent contrôle.

Cependant, il convient de dire que le Cabinet CODE AFRICA a eu à intervenir dans le cadre d’une mission de définition et de réalisation d’une stratégie de communication globale et innovante pour la mise en œuvre des Grands Travaux en général, du Projet d’Autoroute à péage Dakar–Diamniadio en particulier.

Cette stratégie était déclinée en plusieurs axes et un ensemble d’actions de communication véhiculées en plusieurs supports et réalisées par des spécialistes sous-traitants, coordonnés par le Cabinet qui agissait ainsi comme Agence de Communication, gérant un budget annuel exécuté sur 12 mois, en plusieurs phases. Il faut noter que, dans ce domaine, les compétences, même internationales, sont limitées en nombre.

D’ailleurs, un appel d’offres international antérieur, portant uniquement sur la production d’un film institutionnel sur la promotion du Sénégal, avait été lancé et avait abouti, au bout de six mois, à l’enregistrement de deux offres ( !) d’entreprises … étrangères ; celle qui a finalement été retenue a mis autant de temps, avec des séjours multiples dans le pays, pour maîtriser l’environnement et la sensibilité des sénégalais. Cela, pour dire que CODE AFRICA a été choisi sur la base de ses compétences en communication institutionnelle, de son expertise internationale, en plus de sa connaissance de l’environnement sociologique sénégalais.

Dans l’exécution de sa mission, le Cabinet a eu à effectuer des tâches qui peuvent se résumer comme suit :

· conception d’une stratégie de communication globale et de concepts pour permettre, d’une part, une meilleure compréhension et l’appropriation des Grands Travaux par les populations et fédérer celles-ci pour atténuer l’effet des désagréments liés aux travaux de construction (déviations, immobilité urbaine) et, d’autre part, l’accompagnement des travaux de construction de l’autoroute à péage ;

· organisation et production des supports de l’événement de communication spécifique à la démolition du Pont de Colobane ;

· mise en place d’un concept mobilisateur et d’un slogan pour la phase 2 de la campagne : « Amina et Aziz », « Mon Futur, c’est aujourd’hui » ;

· conception de supports de communication adaptés aux thèmes et slogans de la phase 2 de la campagne : affiches, insertions de presse, « les anges, c’est nous » ;

· conception et réalisation, toujours dans le cadre de la phase 2 de la campagne, de deux films : (1) l’un devait être projeté lors de l’évènement parisien destiné à la présentation du Livre du Président de la République et portait sur un des aspects de cet évènement (le volet économique de l’action du Chef de l’Etat au Sénégal) et (2) un autre, en chinois et en français, réalisé pour les besoins de la visite officielle du Président de la République en Chine ;

· proposition d’un concept créatif pour la phase 3 de la campagne « A chaque étape, un progrès » « jeune fille jouant à la marelle » ;

· déclinaison en affichage du concept créatif proposé pour la phase 3 de la campagne ;

· proposition d’une stratégie de levée de fonds (jugée incomplète et à revoir).


Dans le cadre de l’exécution de cette mission, CODE AFRICA a eu à contracter avec une vingtaine de prestataires (entreprises, cabinets et organes de presse de la place) et à utiliser leurs services. C’est sur le point relatif à la levée de fonds qu’un différend avec l’APIX est apparu lorsque le Cabinet a été incapable de livrer l’ensemble des services complémentaires qu’il a sous-traités et qu’il devait financer en organisant cette levée de fonds par sponsoring. Le conflit est né de la non exécution de cette partie du contrat qui a alors été résilié, sans que le Cabinet ait perçu le règlement de ces prestations qu’il réclamait à l’APIX.

Conclusion

Nous voudrions noter, au plan général, que le présent contrôle a eu lieu à un moment important dans l’évolution de la jeune structure qu’est l’APIX qui s’est inscrite, dès le départ, dans la voie d’une institution publique moderne, tournée vers l’avenir et la performance, par la recherche constante de la qualité, la régularité et la transparence dans le travail, aussi bien pour ses propres agents que pour les usagers toujours en quête de service en amélioration constante.

Depuis l’entrée en vigueur du nouveau Code des Marchés publics, le dispositif mis en place permet de continuer dans le même sens, voire de renforcer le système de contrôle au sein de l’APIX :

· nouveau Conseil d’Administration tirant ses pouvoirs de l’OHADA ;

· mise en place d’une Cellule de Passation de marchés avec trois cadres spécialistes de haut niveau ;

· recrutement d’un Contrôleur de Gestion ;

· recrutement d’un 2ème Auditeur interne.

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Les rats ça ne démissionne pas ( Par Marvel )

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« La classe politique demande la démission du président Wade ». « L’opposition significative demande la démission du ministre Ousmane Ngom ». « Les maires de Benno demandent la démission de Aliou Sow ». « Les sénégalais demandent la démission du Ministre de l’Energie Samuel Sarr ou Karim Wade ». « Les membres de la société civile demandent la dissolution de l’assemblée nationale ». « La démission du procureur Ousmane Diagne réclamée ». « La démission de Babacar Diagne exigée ». Etc……..
Les rats ça ne démissionne pas ( Par Marvel )
Voilà ce que l’on entend régulièrement depuis l’alternance en 2000 à la suite des pires trahisons, bourdes, scandales, crimes, vols, humiliations, forfaitures, discrédits, à la suite des plus gros flagrants délits de vol / mensonge / fraude / faux, et j’en passe, des actes à la suite desquels les auteurs n’ont jamais affiché la moindre gêne, le moindre regret, à plus forte raison le désir de démissionner de la fonction occupée et ternie par cet acte



L’explication d’un tel comportement aussi généralisé est simple, les rats ça ne démissionne pas. Les rats peuvent être définis comme : « Ces petits mammifères rongeurs très nuisibles, vivant à l'état sauvage ou domestique. Par leur grande voracité et leur grande fécondité, les rats causent des dégâts importants aux cultures et à tous les stocks alimentaires, et privent l'homme d'une grande quantité de vivres ». Changeons quelques mots comme « stocks alimentaires » par « deniers publics » et l’on se retrouve au cœur du régime wadien. Ceci explique donc cela puisqu’aucun d’entre vous n’a certainement jamais vu un rat sortir de chez lui, l’air gêné car conscient d’être indésirable dans les entrailles des murs de la maison. Un rat ça ne démissionne pas, sinon cela se saurait



Nous avons tous constaté que depuis qu’il s’est débarrassé de ses premiers collaborateurs au début de l’alternance en 2000, Wade a redéfini les principaux critères de recrutement de ses proches collaborateurs, ministres, directeurs de cabinet, directeurs généraux, députés, conseillers, etc…. Ils doivent être animés d’une parfaite indifférence à l’indignité, au ridicule, au déshonneur, à la morale, à la foi, à la fidélité. Pour trouver ce type de profil, Wade a su puiser avant tout dans les poubelles des autres partis, dans les caniveaux, ……., bref il va chercher tout ce que le Sénégal compte de plus vil et de plus médiocre, ceci afin de ne pas être indisposé lui-même dans les pratiques avec lesquelles il compte diriger le pays



Tous ceux qui font montre d’un soupçon d’hésitation à voler, mentir, trahir, tuer, violer, sont automatiquement chassés ou éloignés de sa cour, lui le maître en toutes ces matières. Ses tous premiers collaborateurs au début de l’alternance l’ont très vite appris à leur dépends, ce sont les Mactar Diop, Penda Mbow, Amath Dansokho, Eva Marie Cole Seck, Moustapha Niasse, Amamdou Moctar Sylla, Abdoulaye Bathily, etc…..



Sachant tout cela, quelle plus grande perte de temps que de demander à un Cheikh Tidiane Sy de démissionner, lorsque l’on n’ignore pas son passé de conseiller de dictateur, mouillé dans les affaires les plus sordides, lorsque l’on voit toutes les vilénies dont sont capables ses deux fils Arona et Pape Ousmane SY. Mauvais sang ne saurait mentir. Ce n’est donc pas pour une affaire de faux coup d’état, ou pour toutes les parodies de justice qu’il a commanditées, ou les bavures policières meurtrières qu’il couvre régulièrement, que Cheikh Tidiane va envisager un seul instant démissionner.



Comment peut-on demander à un Ousmane Ngom de démissionner lorsque l’on sait toute la boue qu’il a dû avaler afin de conserver son fauteuil sous Diouf. Et après la défaite de Diouf, comment, lors d’une audience au palais, il n’a pas hésité à ramper de sa chaise aux pieds du nouveau locataire de ce palais en le suppliant de le pardonner et de le faire revenir à ses côtés afin qu’il continue à « apprendre tout ce qu’il ne faut pas faire »



Comment peut-on attendre naïvement d’un ver de terre comme Aliou Sow qu’il démissionne ? Laquelle de ses vestes, lequel de ses pantalons, lequel de ses sous-vêtements ce mal éduqué n’a-t-il pas retourné au moins une dizaine de fois pour rester le boy de service des Wade. Il affirmait lui-même lors d’une interview : « Même si Maître Wade me veut comme boy, j’accepterai sans hésitation ». Pour se contenter d’un tel ver-de-terre comme mari, l’on ne peut qu’être adepte des raccourcis illégaux pour s’enrichir



Est-ce réaliste de demander au fameux cartouchard (13 ans pour une licence) Souleymane Ndene Ndiaye de démissionner alors que lui-même ne se considère pas sérieusement comme un premier ministre ? Les bourdes qui sortent régulièrement de sa bouche ne doivent étonner personne. Lui ne s’en rend pas compte, même si l’on passait une journée à lui expliquer qu’avouer sur la place publique que son patron corrompt ses souteneurs à coups de 30 millions par mois ne fait pas gagner des points à ce patron, ni à lui Souleymane qui affirme fièrement avoir été le convoyeur de cet argent volé.



Ce qui est sûr, c’est que si les rats ça démissionnait, les chimpanzés seraient capables d’en faire autant. C’est ce que doivent ignorer tous ceux qui n’avaient de cesse de demander la démission de Farba alors ministre de l’agriculture, ou ministre des transports aériens, ou ministre de la solidarité nationale. Il ne faut pas s’y tromper. Ce n’est pas parce ça porte un costume, que ça remue les lèvres, que c’est forcément un être humain. Il suffit de fréquenter les cirques pour s’en convaincre.



Comment certains ont pu imaginer que Djibo Ka ait déjà eu un seul instant l’intention de démissionner de son fauteuil pour soi-disant marquer son désaccord au fameux projet de Ticket présidentiel de Wade ? Djibo, l’homme du 14 Mars comme le surnomme notre cher Mody Niang, se serait-il subitement plus le maître de la tortuosité et de la traitrise ? Même lorsqu’il avait été pris au cœur du scandale de la plus grosse prise de trafic de cocaïne maquillée sous une activité d’élevage de crevettes, une activité que Djibo a couverte sciemment de sa signature, la démission n’avait jamais effleuré ce reptile. Ce n’est donc pas pour une banale affaire de ticket qu’il y pensera. Il l’a d’ailleurs réaffirmé avec tellement d’insistance au journaliste qui lui demandait si la rumeur de démission était vraie. Réponse indignée de Djibo : « je n’ai jamais pensé démissionner, jamais jamais jamais». Ceux qui attendent naïvement de la part de Djibo un sursaut de dignité sont donc avertis.



N’est-ce pas utopique de demander à des plaisantins de la trempe de Serigne Mbacké Ndiaye de démissionner alors que lui-même ne réalise toujours pas qu’il soit en train de faire autre chose au palais que de lustrer les chaussures de ses occupants ?



En résumé, le mot « démission » ne sera jamais prononcé de la bouche des collaborateurs que Wade s’est choisis, jamais. Même lorsque par démagogie ou par caprice passager Wade décide de limoger tel ou tel collaborateur à coups de pieds au derrière, celui-là préfèrera encaisser les coups de pied jusqu’au dernier os de son postérieur.



Les rats ça ne démissionne donc pas, et ça ne démissionnera jamais. C’est la nature qui est ainsi faite. Quant au maître des rats et à ses progénitures, l’espérer d’eux est tout simplement stupide. Comme disait encore notre cher Mody Niang, le plus infime des scandales qui a éclaboussé directement Abdoulaye Wade est infiniment plus grave que le Watergate qui a vu la démission du président Richard Nixon en 1974. Et comme « mauvais sang ne saurait mentir », demander à Karim de démissionner des postes offerts par papa, des postes marqués tous par des génocides économiques et des échecs sans commune mesure, est une utopie. Quant à Sindjeli, il faut déjà pouvoir la rencontrer ailleurs que dans les déserts de rallyes pour pouvoir lui demander de démissionner de son poste de conseillère du président.



Mais une chose est certaine. Les méthodes qui marchent avec les rats sont connues, c’est entre autres s’armer d’un gros bâton ou d’une pierre et chasser le ou les rats. Le 23 Juin et le 27 Juin 2011 a encore prouvé l’efficacité de cette méthode.



MARVEL

marvel@hotmail.fr

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Sénégal Airlines à arrêt ?

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Lancée en janvier dernier, la nouvelle compagnie aérienne nationale Sénégal Airlines vit turbulence depuis jeudi dernier. Elle s’est presque retrouvée sans flotte : ses deux avions Airbus 320 sont en panne. Pourtant, son "père fondateur" ,Karim Wade vient de lui confier le convoyage des pèlerins à la Mecque.
Sénégal Airlines à arrêt ?
Catastrophe à Sénégal Airlines ! Les deux avions Airbus A 320 de la nouvelle compagnie aérienne Sénégalaise sont tous les deux, à en croire le quotidien l'Observateur à l’arrêt depuis la semaine dernière. L’un baptisé « kaymor » est bloqué dans la boue de l’aéroport de Bamako (mali) depuis plus d’un mois. L’autre dénommé « Gandiol » est stationné dans la salle de réparation de la compagnie aérienne depuis jeudi dernier et jusqu’à hier soir l’avion était encore cloué au sol Dakarois. Selon le journal L’observateur, des sources aéroportuaires renseignent que l’appareil ne peut pas reprendre les airs pour un problème de pièce défectueuse liée à la climatisation de l’airbus.

Moussfa

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La position de l'Islam par rapport à la musique

"Fatali" avec Dr. Mouhammad Ahmad Lo , en DIRECT de Louga.

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Dr. Mouhammad Ahmad Lo

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Conférence de Ibrahima Sakho ( RTA)

Le quotidien Rewmi devient le Pays

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LERAL.NET - Depuis quelques temps, le journal Rewmi n’est plus dans les kiosques. Son propriétaire Mbagnick Diop 'souche' ne peut plus assurer le coût financier du journal car certains bailleurs qui le finançaient à l’image du fils du résident de la République sont allés investir ailleurs mais toujours dans le pays.
Le quotidien Rewmi devient le Pays

Selon nos radars, l’arrêt de parution du journal Rewmi est dû à la création du tout nouveau quotidien Le Pays dont le fils du président est cité comme actionnaire principal et pourtant ce dernier à toujours soutenu Souche mais la grande interrogation reste à savoir si le petit président n’ est satisfait du travail de ce journal ou n’y trouve pas son compte. En tout cas rien n’est encore clair dans la cause du « divorce » entre Karim et Souche.

A suivre...

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PRESIDENTIELLE 2012: Général Kara entend y participer

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Serigne Modou Kara a décidé de s’impliquer activement dans l’élection présidentielle. Pour en donner l’avant-gout, il a entrepris une tournée dans les profondeurs du pays pour exposer son projet de société.
PRESIDENTIELLE 2012: Général Kara entend y participer
Cheikh Ahmadou Kara Mbacké a démarré son programme de pré-campagne en initiant une série de visites dans les régions. Après sa conférence de presse à Kaolack, le leader du Pvd s’est rendu au Bambouk (Kounguel) où il a manifesté son intention de participer aux élections de 2012. Il a laissé entendre qu’il compte rompre avec l’ancienne manière de faire de la politique et faire une politique saine et de vérité. Auparavant, Général Kara a accordé des audiences aux notables et association de la localité ; audiences suivies d’une conférence sur le ramadan. Après l’étape de Kounguel, le cortège s’est ébranlé à Niani (Koumpentoum) où le marabout a d’abord animé une conférence sur le même thème avant de recevoir les notables et dignitaires de la place. Le leader du Pvd s’est ensuite rendu successivement au Boundou (Tambacounda) pour un séjour de 48 heures puis à Kédougou pour une conférence publique prévue demain, jeudi 11 août. Le marabout entend poursuivre ses tournées en établissant un agenda de visites qui le mènera certainement à faire le tour du pays.

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Malaise entre Touba et le Pouvoir: Me Wade s’en prend à ses «militants nouveau-nés»

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Me Abdoulaye Wade serait en colère contre ses alliés. Le Chef de l’Etat, actuellement en voyage au Tchad, aurait été informé du malaise qui s’est installé dans l’entourage proche du Khalife Général des mourides, Cheikh Sidy Makhtar Mbacké après le passage de la Cap 21 dimanche passé à Touba. Ce qu’il n’a pas apprécié. Irrité par ce qui s’est passé, Me Wade a fait comprendre à ses collaborateurs que «le Sénégal a besoin de tout actuellement, sauf qu’on allume des foyers de tension. Ce qui ferait d’ailleurs le jeu de ceux qui n’ont pour programme que d’embraser le pays».
Malaise entre Touba et le Pouvoir: Me Wade s’en prend à ses «militants nouveau-nés»
Selon le journal l’Observateur, il leur a fait savoir que pour rien au monde, il n’acceptera que le capital-estime dont il bénéficie à Touba soit sapé par ces militants nouveau-nés dont il a encore souvenance des festivités de leur adhésion au PDS. Pour Me Wade, il ne faut pas avoir la langue trop pendue. Le zèle sert rarement ceux qui en font usage». C’est à ceux demander, dit-il, s’ils n’agissent pas à dessein en commettant certaines choses que je me refuse à qualifier par décence.

Papa Mamadou Diéry Diallo pressafrik.com

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Un nouveau code de construction pour démolir les bâtiments en mauvais état

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L’inspection générale des bâtiments est un nouveau service logé au ministère de l’habitat, de la construction et de l’hydraulique. Il a mis la main sur 40 chantiers en cours de construction à Dakar. Cet ordre d’arrêter ou de démolir tous les bâtiments qui ne respectent pas les normes de la construction, en vue d’assurer la sécurité publique, vient de la directrice de l’inspection générale des bâtiments, Socé Diop Dione.
Un nouveau code de construction pour démolir les bâtiments en mauvais état
«L’inspection générale des bâtiments vient de démarrer sa mission qui consiste à arrêter les bâtiments hors norme en cours de construction», a déclaré,dans les colonnes de;"Sud quotidien" Mme Dione avant de renseigner qu’ «il y a des constructeurs qui n’ont pas les documents nécessaires pour construire, notamment l’autorisation et le permis de construire». La directrice qui affirme avoir descendu sur le terrain pour constater les dégâts causés par ces bâtiments en mauvais état, fait savoir que dans les chantiers, il y a des maçons qui ne savent même pas lire les plans, en soulignant ainsi un problème d’application.

Mamadou Sakhir Ndiaye pressafrik.com

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DIVORCES DE STARS : La saison des désamours

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Depuis quelques mois, les couples volent en éclats au Sénégal. Et pas n’importe quels couples : Il s’agit de ceux des stars évoluant la plupart dans le milieu musical. Est-ce un phénomène de mode, une fatalité ou seulement des caprices de stars ? Le fait est que cela commence à bien se sentir. D’autant que pour ce qui est des quelques couples qui ont retenu notre attention, aussi bien leur mariage que leur divorce a été très médiatisé.
DIVORCES DE STARS : La saison des désamours
«Bakh yaye» et «Kheweul» divorcent deux ans après
Marié en 2009, «Kheweul» et «Bakh yaye», entendez par là Fatou Guéwel Diouf et Mapenda Seck, qui formait un couple que tout le monde enviait du fait de leur complicité, de leur entente et de leur bonheur, a déçu plus d’un à l’annonce de leur divorce. Cette séparation qui est intervenue il y déjà des mois, plus précisément depuis le 14 février dernier, n’a été confirmée que cette semaine par les intéressés. Et c’est Mapenda Seck qui vend la mèche dans un journal de la place. Selon lui, son ex-«Kheweul» lui a envoyé son grand-frère le jour de la fête des amoureux (la Saint Valentin) pour demander le divorce. Un acte qui ne correspond pas du tout au jour choisi. Au contraire, ce jour consacre les personnes qui sont amoureuses, mais aussi les amitiés solides, et contribue à raffermir les liens, à rendre plus solides les couples qui renouvellent leur amour par des cadeaux, entre autres. À l’origine de leur discorde plusieurs choses, dont une affaire de mouton pour la Tabaski de l’année dernière, une histoire de voiture ou encore de fille que courtisait le mari. De fait, rien de très clair au fond.

«Couple bi» se sépare
Le second couple divorcé cette année est celui des chanteurs Abraham Pipo Diop et Ngoné Ndiaye Guéweul, après un mariage qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive, du fait de la différence de taille entre les deux stars. La femme étant aussi grande, avec des formes généreuses que l’homme est petit et frêle. Et c’est suite à ces commentaires qu’ils ont sorti la chanson «Couple bi» pour dire que, quelle que soit l’allure du mari, il reste le maître de la maison et que la femme lui voue respect et dévotion. La rupture viendrait d’une banale affaire de dispute qui avait opposé Ngoné Ndiaye Guéweul et Ndiolé Tall, sur le plateau de Tfm, il y a quelques mois. L’interprétation qu’en avait faite le mari, Pipo Diop, n’avait pas été du goût de la femme qui a demandé le divorce. Cette séparation fait suite à deux ans et demi de mariage.

Bouba et Vivi, deux mariages, deux divorces, un record
Entre Bouba Ndour et Viviane Chidid Ndour, c’est le grand amour, afin c’était. Puisqu’ils viennent à nouveau de se séparer après s’être remariés le 3 octobre dernier suite à une séparation qui datait de 2007. Le jeu du «Je t’aime, moi non plus» semble beaucoup plaire à la chanteuse et à son manager de désormais ex-mari. Car moins d’un an après avoir recollé les morceaux, le couple qui a deux enfants (une fille et un garçon) a cassé de nouveau. Les raisons du divorce, toujours la rumeur, c’est que les fréquentations de Madame ne feraient pas plaisir à Monsieur. Et la rumeur parle de l’amitié et de la trop grande proximité entre Viviane et Oumou Provocation qui serait la goutte de trop pour Bouba.

Waly et Sokhna, le mariage éclair
Le 12 juillet dernier était célébré le mariage le plus éphémère qu’a connu le monde du showbiz sénégalais. Ce mariage, c’est entre le jeune chanteur Waly Seck et la mannequin Sokhna Aïdara. Cette union n’a en effet duré que quelques jours. Mais personne jusque-là ne peut dire exactement ce qui s’est passé. Le fait est qu’il y a eu beaucoup de suspicions autour du couple. Et chacun y va depuis de son commentaire, aussi bien sur le mariage que sur le divorce. Si d’aucuns disaient que c’est la femme de Thione Seck, père de Waly, qui a arrangé le coup à l’insu de son fils, d’autres parlent d’une grossesse de la fille. Les motifs du divorce sont tous aussi invraisemblables. Selon certains Sokhna Aïdara avait un riche copain gambien qui est venu tout chambouler. Mais elle a démenti cela. D’ailleurs, avec l’histoire de ces deux-là, on se croirait au cinéma, dans un vrai film américain. Le seul fait constat - mais qui a aussi était démenti par la suite par les deux tourteaux (ce qui est quand même curieux) - étant que le divorce a bel et bien eu lieu. Waly Seck en personne l’a confirmé à Facedakar. «Oui, je peux vous confirmer que je ne suis plus marié à Sokhna Aïdara. Nous avons effectivement divorcé». Après lui, c’était autour de la sa dulcinée de dire la même chose à propos de ce divorce. Mais quelques jours après, les deux sont revenus pour dire et affirmer être toujours ensemble. Du «wax waxeet» donc…


Demba Dia sur le point de perdre sa première mannequin
Mariée depuis le début des années 2000, la mannequin Khadija Sy, première épouse du musicien et politicien des Parcelles assainies, Demba Dia, aurait introduit depuis des jours déjà une demande de divorce au Tribunal départemental de Dakar. Ce qui a poussé l’initiatrice du défilé «Boundou» à agir de la sorte, c’est le manque de liberté. Son «rockeur» de mari l’interdirait de sortie, même dans le cadre de son travail, alors qu’elle est styliste. Une autre raison revient souvent dans cette discorde, le fait qu’en 2008, «Rock Mbalax» avait sévèrement battu sa styliste d’épouse pour l’empêcher, à l’époque, d’aller au Burkina Faso dans le cadre d’un contrat au Salon international de l’artisanat de Ouagadougou. Le couple a deux enfants aujourd’hui.
Oumou Sidya DRAME le populaire

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AISSATOU NATHALIE DIA, MISS SENEGAL 1992 : «Feu le juge Kéba Mbaye, c’est mon mentor»

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Son joli minois a fait les beaux jours de la Sotiba Sympafric. La grande entreprise de tissu au Sénégal avait pour l’habitude d’exploiter les plus beaux faciès du pays et Nathalie Dia en faisait partie intégrante. La petite fille que le Sénégal entier découvrira en 1992 comme devant le représenter mondialement est presque surprise par son statut. Mais, dignement, elle va assurer la tâche et devoir également faire face à un chemin parsemé d’embûches. Heureusement, le caractère de Miss Sénégal prendra le dessus et sa personnalité en sortira victorieuse. Retrouvée aux abords d’une banque, elle accepte de jouer le jeu devenu favori de certains lecteurs du samedi : « … Le tutoiement… ». Entretien
AISSATOU NATHALIE DIA, MISS SENEGAL 1992 : «Feu le juge Kéba Mbaye, c’est mon mentor»
Qui es-tu, Nathalie?
Que veux-tu que je te dise. Je suis très mal placée pour parler de moi. La personne au singulier… Disons que je suis une Sénégalaise. Je suis tout ce qu’il y a de plus simple et naturel.

Et si j’insiste, pour savoir plus sur toi ?
Je te dirais que j’approche de la quarantaine, je suis mère de deux enfants, je suis employée de banque, j’ai un Master en marketing et communication, que je m’intéresse de plus en plus à la communication politique et que je suis engagée dans la défense de l’intérêt commun ; je lutte pour un retour aux valeurs et vertus cardinales qu’on peut résumer par le «jom», le «fulë» et le «fayda» (dignité, conviction et respect de soi).

Pourquoi ce désir et/ou cette volonté d’être si engagée ?
C’est venu petit à petit, sans que je ne puisse la contrôler. Et partant du fait que je fais partie de l’histoire culturelle du Sénégal, je ne pouvais rester indifférente à tout ce qui se passait autour de moi. Je pense qu’en tant que femme et mère, je me dois de m’impliquer dans les affaires publiques de mon pays.

Que veux-tu dire précisément en parlant de valeurs ?
Écoute : le Sénégal est à la croisée des chemins. Le Sénégal a 50 ans, il est mature par l’âge, mais beaucoup de choses restent à faire. Je constate une perte drastique des valeurs et vertus que j’ai citées plus haut. Et je pense qu’un changement des mentalités est nécessaire, impératif, pour amorcer un essor économique dans notre pays. Un développement ne se fait pas sur 10, 20 ans. Il se fait sur des générations.

En parlant de générations, que penses-tu de celles actuelles ?
C’est un fort potentiel qui a été laissé en rade. Cette génération-là, disons celle actuelle, a été laissée à elle-même. Elle doit faire le Sénégal de demain. Je crois que si on avait aidé cette génération à s’autogérer, à aller au bout de ses projets -, et chaque jeune pris individuellement a un projet - on ne peut pas tous les réaliser - mais si pour la plupart, on les avait aidés, je pense qu’on aurait pu éviter énormément de situations désagréables. Cette génération est une manne inestimable pour le devenir du Sénégal.

Nath, comme t’appellent tes proches, tu as le sens profond de l’engagement citoyen. Cela t’est venu comment et quand ?
C’est depuis toujours. Mais, le déclic est arrivé l’année dernière, lorsque j’ai suivi une formation en leadership pour le développement durable et l’environnement à Dakar, par le biais de Lead Afrique Francophone, qui est une organisation à but non lucratif créée à la suite de la conférence de Rio sur l’environnement. Avec la finalité de faire émerger une masse critique de dirigeants avisés, entreprenants et capables d’exercer une influence sur les politiques et les stratégies des institutions auxquelles ils appartiennent. Cet apprentissage se fait par le biais du mentorship qui fait appel à une nouvelle approche de la transmission et du partage des savoirs. Lead Afrique Francophone s’appuie sur un groupe de mentors dont les membres sont des personnalités éminentes bénéficiant d’une crédibilité au sein de la communauté internationale. Je suis donc fière d’être l’héritière de feu le juge Kéba Mbaye qui est mon mentor. J’ai la tâche d’aller au–delà de ses principes. Et comme il m’est impossible de le faire, parce que c’était un homme exceptionnel, je me dois au quotidien d’être logique et de me maintenir à un niveau on ne peut plus raisonnable.

Quel est le rapport de cette formation de Lead Afrique Francophone avec le juge Kéba Mbaye ?
C’est un exemple parmi tant d’autres, d’illustres africains qui ont marqué leur temps. Kéba Mbaye est pour moi une sorte de boussole qui me permet de retrouver mes repères dans la vie. Au quotidien, je me dois d’avoir un comportement irréprochable, de mettre en pratique mes principes, ses principes à lui, en tout lieu et en tout temps. Son principe directeur était l’éthique, mon principe directeur est l’éthique.

Kéba Mbaye ne devrait-il pas alors, finalement, être le mentor de tous les Sénégalais, dans le sens de l’éthique pour un développement conséquent et accompli du pays ?
Il est indubitablement le précurseur de ce concept et l’une des rares personnes à l’avoir mis en pratique.

Ce qui est bien dans cette entretien, Nath, c’est que tu campes le débat avec tes propos dans l’optique de la construction d’un citoyen modèle, irréprochable et cultivant l’excellence, ayant l’amour du travail bien fait et faisant du don de soi un sacerdoce…
T’as tout compris… Tu viens de comprendre, maintenant.

Ah bon ! Tu veux dire que je n’avais pas compris ?
(Rires aux éclats !!!) Non. Loin de là. Je sais que t’as compris. Mais, c’est là où justement que vous autres de la presse, vous avez votre partition à jouer. Car, il suffit de cibler dans votre portefeuille relationnelle des personnes capables de servir de modèles, d’exemples à la jeune génération, de les montrer au grand jour pour qu’ils servent de modèle, d’exemple de porte-à-faux…

Nath, si je te suis, tu fais partie de cette élite qu’on doit retrouver pour un Sénégal dont rêvait Senghor, qui ne se gênait pas pour corriger une virgule ou des guillemets insensés dans une phrase écrite en français ?
Absolument. Et des gens qui pensent comme moi, il y en a une pléthore.

Que faut-il alors pour que ces gens émergent et sortent de leurs coins pour aider le Sénégal ?
Ils ne sont pas difficiles à trouver, ils sont à la surface. Il suffit juste qu’il y ait un déclic pour qu’ils sortent de l’ombre, parce qu’il y a un déclic à tout, tu sais.

Comment analyses-tu la situation sociopolitique du pays en ce moment ?
(Elle soupire et respire un bon coup). Je pense qu’il est inutile de revenir sur la situation sociopolitique du pays. Vu que chacun y est allé de son «la», que l’on en a parlé en longitude, en latitude, en hauteur, en longueur, mais l’essentiel, présentement, c’est que même si on nage en plein gadoue, il est important que nous ayons l’esprit critique par rapport à l’avenir. Le passé, c’est fini. Ce qui importe, c’est de trouver les voies et moyens de sortir le Sénégal de ces ornières. Je vais me répéter, mais la répétition est pédagogique : on ne peut pas développer ce pays sans un retour aux valeurs d’antan. Une fois les hommes et femmes à la place qu’il faut, les choses vont se mettre en place d’elles-mêmes. C’est mon point de vue personnel et cela n’engage que moi.

Et comment as-tu vécu les forts moments du 19 mars, du 23 juin, du 23 juillet et toutes ces déclarations entre pouvoir et opposition, voire mouvements citoyens comme «Y’en a marre» etc. ?
Le 19 mars coïncidait avec notre cinquantenaire, un moment qui devait être consacré au partage, à des échanges d’idées sur ce qui a été fait et ce qui aurait pu être fait pour un nouveau départ. Mais, nos dirigeants ont préféré, comme à l’accoutumée, le bataclan, le folklore qui tranchait radicalement avec la situation socioéconomique du pays. C’est justement cette succession de fait qui a été à l’origine justement de l’émergence de mouvement de révolte comme «Y’en a marre», dont je faisais partie et que j’ai quitté pour des motifs personnels.

Pourtant c’est un mouvement réputé que les masses sénégalaises semblent adopter ?
Tout à fait. Je suis d’accord avec leurs principes et leur vision et l’on avait justement besoin de cette bouffée d’oxygène pour aérer et conscientiser les esprits. Ils abattent un excellent travail et l’on doit les encourager et les soutenir davantage. Même si j’ai quitté, je reste aussi active que par le passé et partout où ils auront besoin de moi, si le temps me le permet, je serai présente.

Nath, on change de sujet. Reviens sur ton histoire de Miss Sénégal.
J’étais dans le milieu de la mode déjà, mannequin à la Sotiba Sympafric et j’ai postulé par hasard. Ce n’était pas quelque chose de sérieux pour moi, parce que je me disais que je n’avais aucune chance. Et donc, j’ai été Miss Dakar le 28 décembre 1991 et deux semaines après, j’ai été sacrée Miss Sénégal 1992. Du jour au lendemain, je me suis retrouvé propulsée dans le monde des adultes, un monde assez cruel pour une toute petite jeune fille.

Raconte-moi, développe, dis-moi comment c’était, ces moments.
J’aimerais avant cela éclaircir une chose : être Miss Sénégal, ce n’est pas être la plus belle fille du Sénégal, mais c’est représenter un échantillon de la beauté sénégalaise. Alors, toutes les miss qui se croient les plus belles se trompent complètement, parce que Miss Sénégal «n’est pas la plus belle fille du Sénégal», j’insiste. C’est important. Beaucoup de jeunes filles se gourent en se mettant sur un piédestal qui n’est pas et elles déchantent rapidement, tellement elles se prennent au sérieux. Pour revenir sur les moments, je dirais que ce fut des moments assez difficiles parce que mes attentes n’ont pas été satisfaites. Je n’ai pas envie de revenir sur cela, c’est du passé. J’en ai quand même tiré de mes blessures, des leçons de vie.

Mais, je te sens presque triste… d’un coup…
Triste ! Tu te trompes, mon cher. Je suis loin d’être triste. La tristesse n’a pas de place pour les défis à venir.

Pourtant, je lis cela dans ton regard qui se rappelle certainement des anecdotes inoubliables.
(Rires) Des anecdotes, il y en a.

Raconte…
Je te donne une seule anecdote : j’ai été foutue à la porte d’un grand hôtel à Cotonou parce que j’avais refusé les avances d’un homme qui pensait qu’avec l’argent tout pouvait s’acheter, même moi. Alors que j’étais Miss Sénégal. La deuxième personnalité culturelle du pays, après la première dame. Je suis partie représenter mon pays à des concours internationaux sans un sous de l’État. Plus grave, il m’est arrivé de vendre des bouteilles à la boutique du coin parce que j’étais dans la dèche. Aujourd’hui, je ne regrette rien. Ces expériences ont fait de moi une femme accomplie. Ce sont des faits qui marquent profondément.

Nathalie, t’as les larmes aux yeux… ?
Non.

Sûre ?
Certaine.

Quand on parle d'une demoiselle, tu la vois comment ?
Je la vois sûre d'elle et croquant la vie à belles dents !!! À cet âge, on est inconscient des vrais choses de la vie et c'est une période qu'il faut vivre autant que faire se peut, avant de passer à une étape supérieure, l'étape des responsabilités.

Que représente la personnalité chez une dame ?
Certains diront son caractère, sa classe, son port altier etc. Mais, pour moi, la vraie personnalité d'une femme se trouve dans l'aptitude et la capacité à braver au quotidien les défis de la vie ! Ce combat qu'elle livre par elle-même et pour elle-même, forge, affine et modèle sa vision de la vie et des choses que seuls les autres peuvent percevoir!

Et toi, toi Nath ?
C’est-à-dire ?

Parle-moi de toi, de ta vie de famille, ton vécu en tant que femme mariée ou pas…
Pa Assane, tu veux que je te parle de ma vie privée ?

Oui. Si tu peux. Curieux suis-je.
Ma vie privée, elle est privée.

Tu gères comment ton homme ?
N’insiste pas.

C’est juste pour que tu donnes la leçon aux jeunes filles d’aujourd’hui.
Chaque femme a son jardin secret, qui n’est pas forcément le même un peu partout.

Tu peux être beaucoup plus explicite ?
Pa Assane, le marché des trucs et astuces féminins est tellement vaste que chacune de nous y trouve son compte. Donc, n’insiste pas…

Je lâche prise.
Tant mieux.

C’est fini.
Déjà ?

Oui.
Merci alors.
Pa Assane SECK le populaire

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Adja Diallo, mannequin : « Ibou Diop : le père de mon enfant, Fadiga : un ami qui est devenu mon petit ami »

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LERAL.NET - Pour la première fois, le mannequin Adja Diallo parle du père de son enfant. Son histoire d’amour avec le joueur Khalilou Fadiga n’a été en reste.
Adja Diallo, mannequin : « Ibou Diop : le père de mon enfant, Fadiga : un ami qui est devenu mon petit ami »
Dans une interview accordée à Weekend Magazine, Adja Diallo revient sur son idylle avec l’ex beau fils du président Abdou Diouf. Ibou Diop, puisque c’est de lui qu’il s’agit a filé le parfait amour avec le mannequin pendant cinq bonnes années. Pour Adja Diallo, ce dernier était comme un père pour elle. « Il a été mon père. Je suis venue à Dakar en 2003, j’étais adolescente et lui a été là pour me montrer le chemin. Il m’a appris à faire face à la vie », se souvient-elle. Adja Diallo renchérit qu’elle ne pourra pas oublier le père de son enfant. Ce, même si elle se marie avec un autre. « Il sera toujours présent dans ma vie », prévient-elle. De son fils à qui on attribue une malformation, la Thiéssoise dit qu’il se porte comme un charme. « Non, mon fils se porte très bien d’ailleurs, il a la même coupe de cheveux que moi. Il n’a pas de malformation. Il va à l’école et va bientôt fêter ses 5 ans », informe-t-elle.

Apres avoir rompu les amarres avec Ibrahima Diop, elle fait la connaissance du footballeur Khalilou Fadiga. Elle raconte : « je sortais d’une relation de 5 ans (avec Ibou Diop). Une relation qui m’a bouffé l’air. J’avais besoin d’une personne et lui a été là pour m’aider. D’abord comme un ami, il m’a aidée à recentrer ma vie. Puis on a été ensemble pendant quelques temps ». Toutefois, elle décrit le temps qu’elle a fait avec l’ancien gaucher magique de l’équipe nationale comme un « bel épisode » de sa vie.

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Les féministes voilées : La république à l’épreuve

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Depuis quelques années, le phénomène du voile suscite un certain nombre d’interrogations. Les femmes voilées se manifestent de plus en plus et assument pleinement leur « voilitude ». Ainsi, à côté du féminisme classique apparaît un nouveau type de féminisme incarné par des « voilées ». Ce fait alimente toutes sortes de débats parce que justement les propos à ce sujet sont tellement diversifiés que finalement on ne maîtrise guère les tenants et les aboutissants du dit fait. Un phénomène de mode par-ci, une pratique culturelle par-là, un reflexe religieux pour d’autres brefs les arguments varient selon les origines, les tendances et les lieux.
Les féministes voilées : La république à l’épreuve
Ce qui est sûr, c’est que désormais les femmes voilées n’entendent plus qu’on parle pour elles. Elles décident de se défendre toutes seules par rapport à cette question. Leur visibilité « affichée avec fierté » dérangent jusque dans les milieux traditionnellement féministes. Mais ce qui gêne souvent, c’est que le voile renvoie parfois à un passé douloureux voire vilain. Il n’est pas tout à fait faux que certaines femmes qui portent cette « couverture » au dessus de leurs têtes sont contraintes de se soumettre à cette « obligation ». D’ailleurs, chez certains groupes sociaux, le port du voile est la seule pratique imposée à la femme ; une façon surtout de faire comprendre aux autres hommes que cette dernière est « prise ». Autrement dit, peu importe si elle prie ou respecte les préceptes religieux, l’essentiel c’est qu’elle porte le voile (signe de son appartenance à un autre). C’est surtout cette pratique culturelle qui offense et heurte la conscience du « monde libre ». Le voile traduit la mainmise de l’homme sur la femme selon la vox populi. Et il faut signaler ici que la femme a toujours été inconsidérée dans certaines sociétés notamment orientales ce, depuis l’époque antique. Elles étaient enterraient vivantes dés leurs naissances, vendues comme des objets ou tenues à des positions déshumanisantes. A travers le voile (qui précède l’obligation religieuse) la femme se voyait obligée de cacher son corps, sa « beauté », son aspect humain.

Aujourd’hui, cette période est « révolue », le port du voile obéît à d’autres motivations. Souvent, c’est pour des raisons esthétiques que des filles décident de le mettre. Parce qu’elles trouvent une amie, une proche, une star belle et charmante dans son voile qu’elles sont tentées. Pour d’autres, c’est surtout une pratique culturelle. Des femmes issues de tel ou tel univers culturel ont tendance à mettre le voile de façon quasiment naturelle. Par exemple, le port du foulard chez les personnes d’origine saharienne s’explique parfois pour des raisons autres que religieuses. En dehors de la tradition, c’est plus pour se protéger du sable et de la poussière (qui risquent de défigurer leurs visages ou de saper leurs cheveux) qu’elles se déguisent ainsi. D’ailleurs, dans ces milieux le voile concerne tout le monde : garçons et filles. Ce qui fait que même après avoir quitté leurs contrées, les hommes, pour ne citer qu’eux, continuent à garder leurs têtes sous l’œil somnolant du voile (Peut-être qu’on aura un jour l’occasion de parler de ce voile : celui des hommes).

Toutefois, s’il existe un voile qui taraude l’actualité c’est bien celui des « religieuses ». C’est au nom de la liberté et de la démocratie que des croyantes se sont soulevées pour défendre une identité (la leur) et protester contre les stigmatisations venant d’autres femmes comme elles et qui se disent féministes. Ainsi, on reproche aux adeptes du « hijab » d’être soumises et asservies alors qu’elles même pensent que les autres sont dévergondées et perverties. Notre but n’est pas de trancher entre les différents camps. Ce qui est intéressant, c’est que l’espace publique et démocratique permet cette opposition et cette lutte désormais ouverte. Chaque tendance prêche pour sa paroisse. De plus en plus des jeunes religieuses assument pleinement et entièrement leur « voilitude » comme à l’époque des soixante nuitards où la sexualité des jeunes filles résonnait avec un nouveau son : la liberté.

MALAO KANTE
NICE

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