Pastef et son président Ousmane Sonko ont réclamé plus de sécurité pour les Sénégalais à la suite des événements sanglants vécus ces derniers jours.

Après avoir condamné cette violence qui sévit dans le pays dans un contexte d'insécurité, Pastef demande en effet «une application rigoureuse de la loi,particulièrement pour toute forme de violence basée sur le genre, à la sensibilisation, en élevant chaque petit garçon dans le respect de chaque petite fille et à plus de célérité dans le traitement des dossiers judiciaires».
Selon Libération, Ousmane Sonko et Cie conseillent aussi à l'Etat «un accompagnement psychologique approprié pour les victimes et leurs familles, à l'instauration du juge des libertés et de la détention dans l’architecture judiciaire,qui a pour mission de statuer sur les remises de peines souvent accordées aux condamnés ne remplissant pas les conditions ou aux récidivistes et à la mise en place d'un système national de signalement et de dénonciation des comportements suspects des prédateurs». D’autant que selon eux, «ôter la vie d’un être humain n'est que l'expression ultime d'une hiérarchie de violences exercées quotidiennement et qui restent souvent impunis».
Pour Pastef, «apporter une réponse concrète à la demande sociale de sécurité représente, dès lors, une priorité» et «afin d'éradiquer ce fléau, une large
concertation nationale de toutes les composantes (religieux, autorités coutumières, politiques, acteurs socio-culturels, presse, société civile, experts...) pour trouver des solutions pérennes et consensuelles».
Selon Libération, Ousmane Sonko et Cie conseillent aussi à l'Etat «un accompagnement psychologique approprié pour les victimes et leurs familles, à l'instauration du juge des libertés et de la détention dans l’architecture judiciaire,qui a pour mission de statuer sur les remises de peines souvent accordées aux condamnés ne remplissant pas les conditions ou aux récidivistes et à la mise en place d'un système national de signalement et de dénonciation des comportements suspects des prédateurs». D’autant que selon eux, «ôter la vie d’un être humain n'est que l'expression ultime d'une hiérarchie de violences exercées quotidiennement et qui restent souvent impunis».
Pour Pastef, «apporter une réponse concrète à la demande sociale de sécurité représente, dès lors, une priorité» et «afin d'éradiquer ce fléau, une large
concertation nationale de toutes les composantes (religieux, autorités coutumières, politiques, acteurs socio-culturels, presse, société civile, experts...) pour trouver des solutions pérennes et consensuelles».