GFM – (Dakar) – Le professeur Issa Sall, candidat à la présidentielle du 24 février 2019, a fait face à la presse pour décliner son programme de gouvernance, qui sera essentiellement axé sur la charte de gouvernance des Assises nationales de 2009.

A savoir le développement de l’homme et la réduction des inégalités, la construction citoyenne et la valorisation culturelle, l’équilibre institutionnel et la bonne gouvernance, l’économie inclusive et durable, portée par un secteur privé national fort, la paix et la sécurité et enfin le financement, le partenariat et le suivi-évaluation.
Le candidat du Parti de l’unité et du rassemblement compte sur la capacitation des Sénégalais par un meilleur accès aux services sociaux de base. Il compte « pétrir un Sénégalais fier, patriote et compétent », favoriser le fonctionnement normal de chaque institution, symbole d’une bonne vitalité démocratique, bâtir une économie inclusive et durable, créatrice de richesse et protée par un secteur privé national, fort, dynamique et innovant, mais aussi réduire l’insécurité dans les agglomérations et renforcer la sécurité aux frontières afin d’instaurer un climat de paix propice à un développement harmonieux. Il compte également promouvoir un financement alternatif innovant, souple et solidaire.
Selon le professeur Issa Sall, ce programme sera déroulé par un gouvernement d’une vingtaine de ministres. Pour lutter contre la corruption, les corps de contrôle seront responsabilisés et les hauts fonctionnaires ne seront pas éligibles. Il y aura une traçabilité des transactions financières. La séparation des pouvoirs sera effective, selon M. Sall, qui voit mal un chef d’Etat siéger au sein du Conseil supérieur de la magistrature.
Le professeur Issa Sall qui ne compte pas rester à la tête du Pur une fois élu président du Sénégal, veut ainsi apporter une réponse aux « 100 questions » que les Sénégalais se posent et qui jusque là, n’ont pas de réponses.
Khalil Ibrahima SENE
Le candidat du Parti de l’unité et du rassemblement compte sur la capacitation des Sénégalais par un meilleur accès aux services sociaux de base. Il compte « pétrir un Sénégalais fier, patriote et compétent », favoriser le fonctionnement normal de chaque institution, symbole d’une bonne vitalité démocratique, bâtir une économie inclusive et durable, créatrice de richesse et protée par un secteur privé national, fort, dynamique et innovant, mais aussi réduire l’insécurité dans les agglomérations et renforcer la sécurité aux frontières afin d’instaurer un climat de paix propice à un développement harmonieux. Il compte également promouvoir un financement alternatif innovant, souple et solidaire.
Selon le professeur Issa Sall, ce programme sera déroulé par un gouvernement d’une vingtaine de ministres. Pour lutter contre la corruption, les corps de contrôle seront responsabilisés et les hauts fonctionnaires ne seront pas éligibles. Il y aura une traçabilité des transactions financières. La séparation des pouvoirs sera effective, selon M. Sall, qui voit mal un chef d’Etat siéger au sein du Conseil supérieur de la magistrature.
Le professeur Issa Sall qui ne compte pas rester à la tête du Pur une fois élu président du Sénégal, veut ainsi apporter une réponse aux « 100 questions » que les Sénégalais se posent et qui jusque là, n’ont pas de réponses.
Khalil Ibrahima SENE