LERAL.NET - Le vendredi dernier, un jeune cadre s’est donné la mort dans son véhicule. Une thèse que bat en brèche sa famille. Sa mère qui porte de celle-ci dit que l’idée de se suicider n’a jamais effleuré l’esprit de son fils décrit comme un bon musulman.
![Mort du jeune cadre de la Senelec : sa mère réfute la thèse du suicide]( "Mort du jeune cadre de la Senelec : sa mère réfute la thèse du suicide")
Empruntant à Mouhamed Bouazizi (jeune tunisien qui s'est transformé en torche humaine) sa méthode, le jeune cadre de la Senelec s’est immolé par le feu vendredi dernier. Acte qu’il aurait commis après avoir verrouillés les portes de sa voiture, une Citroën C3 qu'il a garé sur le bas-coté de la bretelle qui mene vers le village de Petit-Mbao. Mais sa famille nie la thèse du suicide.
Sa mère, Maguette Guèye, dans l’édition de l’Observateur de ce lundi laisse entendre que son fils n’a jamais voulu se suicider. Et de préciser que si le véhicule d’Ousmane Sall a pris feu après un malaise de ce dernier qui a pourtant essayé de se tirer d’affaires en vain. D’ailleurs, selon Maguette Guèye, Ousmane Sall n’arrêtait pas de lui faire part d’ennuis mécaniques de sa Citroën. Selon toujours le quotidien l’Observateur qui a recueilli des témoignages, le défunt était le bilal (muezzin) du quartier Diagne NAR qui se trouve à quelques jets de pierres du croisement Keur Massar. L’enquete confiée à la Gendarmerie de la Zone industrielle suit son cours.
Sa mère, Maguette Guèye, dans l’édition de l’Observateur de ce lundi laisse entendre que son fils n’a jamais voulu se suicider. Et de préciser que si le véhicule d’Ousmane Sall a pris feu après un malaise de ce dernier qui a pourtant essayé de se tirer d’affaires en vain. D’ailleurs, selon Maguette Guèye, Ousmane Sall n’arrêtait pas de lui faire part d’ennuis mécaniques de sa Citroën. Selon toujours le quotidien l’Observateur qui a recueilli des témoignages, le défunt était le bilal (muezzin) du quartier Diagne NAR qui se trouve à quelques jets de pierres du croisement Keur Massar. L’enquete confiée à la Gendarmerie de la Zone industrielle suit son cours.
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