Le Général de division, Haut commandant de la Gendarmerie nationale, Meïssa Niang, installé, mardi, dans ses fonctions, s’est engagé à rester fidèle aux idéaux et principes de la République afin de défendre l’intérêt des populations.

"Je m’engage à rester fidèle aux idéaux et principes de la République. (…) Nous avons choisi d’être gendarme c’est-à-dire défendre l’intérêt des populations, garantir leur sécurité et prévenir la menace", a-t-il dit dans son Ordre du jour n°1.
Le général de Division également Directeur de la Justice militaire a aussi fait part de son ambition de renforcer la présence des gendarmes dans les lieux urbains, péri-urbains et ruraux ou la menace sécuritaire est en jeu.
"Les défis qui attendent sont nombreux et les chantiers ne sont pas achevés. Néanmoins, les défis de modernisation et de la préservation de notre identité, au sein de l’architecture de défense et de sécurité nationale sont des chantiers d’une brûlante acuité", a relevé le Général Niang.
Il compte ainsi, s’inscrire en droite ligne sur l’ensemble des actes et actions entamés par l’Etat.
Le Haut commandant de la Gendarmerie nationale a invité ses éléments à mettre en avant "les avantages préférentiels en vue d’apporter des réponses satisfaisantes au questionnement sur l’identité et la pertinence du modèle gendarme".
Ce sont la philosophie militaire, la culture de la discipline et le dénouement qui nous arrive en toutes circonstances dans l’accomplissement du devoir, a cité le Général Niang qui définit la militarité comme "un état d’esprit qui est fondée sur la logique de la servitude, l’exigence de soi et une déontologie solide, érigés en culture professionnelle".
Le ministre des Forces armées, Augustin Tine a loué, pour sa part, "l’image de l’officier posé, d’un brillant gendarme dévoué à la tâche qu’est devenu le Général Meïssa Niang".
"L’image d’un officier posé qui est l’une des qualités de sa grande capacité de travail jamais érodé...
Le général de Division également Directeur de la Justice militaire a aussi fait part de son ambition de renforcer la présence des gendarmes dans les lieux urbains, péri-urbains et ruraux ou la menace sécuritaire est en jeu.
"Les défis qui attendent sont nombreux et les chantiers ne sont pas achevés. Néanmoins, les défis de modernisation et de la préservation de notre identité, au sein de l’architecture de défense et de sécurité nationale sont des chantiers d’une brûlante acuité", a relevé le Général Niang.
Il compte ainsi, s’inscrire en droite ligne sur l’ensemble des actes et actions entamés par l’Etat.
Le Haut commandant de la Gendarmerie nationale a invité ses éléments à mettre en avant "les avantages préférentiels en vue d’apporter des réponses satisfaisantes au questionnement sur l’identité et la pertinence du modèle gendarme".
Ce sont la philosophie militaire, la culture de la discipline et le dénouement qui nous arrive en toutes circonstances dans l’accomplissement du devoir, a cité le Général Niang qui définit la militarité comme "un état d’esprit qui est fondée sur la logique de la servitude, l’exigence de soi et une déontologie solide, érigés en culture professionnelle".
Le ministre des Forces armées, Augustin Tine a loué, pour sa part, "l’image de l’officier posé, d’un brillant gendarme dévoué à la tâche qu’est devenu le Général Meïssa Niang".
"L’image d’un officier posé qui est l’une des qualités de sa grande capacité de travail jamais érodé...