
Au moment où les Conseillers municipaux et départementaux sont tenaillés par le délai de dépôt des listes, le débat continue sur l’utilité de ce Haut Conseil des Collectivités Territoriales.
Il est en effet légitime de se demander ce que cette nouvelle institution pourrait apporter à notre démocratie ? où à la bonne gouvernance locale ?
Est-ce qu’elle ne sera pas une institution de plus, budgétivore et politicienne ?
Quel sera véritablement le rôle des Hauts Conseillers ?
Est-ce que cette institution payera ses impôts comme l’Assemblée nationale ?
Sera-t-elle une opportunité pour parfaire la décentralisation mise en mal par l’Act 3 ?
A une semaine de la clôture du dépôt des listes, l’APR et ses alliés se battent comme des chiffonniers. Pendant ce temps, dans les partis comme le GP, le débat fait rage sur une participation ou pas.
D’abord, il faut rappeler que le Grand parti est né après les élections locales de 2014. S’il compte parmi ses rangs des conseillers municipaux et départementaux, c’est seulement à la faveur de certains conseillers qui ont démissionnés pour nous rejoindre. Ainsi, ces conseillers du GP, devront certes voter, mais devraient-ils présenter une liste sous la bannière du Gp et pour aller plus loin dans l’analyse, ont-ils la possibilité légale de se présenter sous une liste du Gp ?
Le Gp est un parti que je classerai dans l’océan bleu à l’opposé de ceux qui évoluent dans l’océan rouge. Cette théorie plus employée dans le marketing est aujourd’hui adoptée en politique pour innover et faire la politique autrement.
Le Gp est toujours resté cohérent dans ses positions depuis le référendum.
- Nous avons voté non et nous avons avancé nos raisons.
- Nous avons déclinés l’invitation sur le dialogue national pour rester en cohérence avec notre position sur le référendum. La polémique sur un éventuel deal qui s’en est suivi nous a donné raison
- Nous n’avons pas participé aux discussions avec le Ministère de l’Intérieu...
Il est en effet légitime de se demander ce que cette nouvelle institution pourrait apporter à notre démocratie ? où à la bonne gouvernance locale ?
Est-ce qu’elle ne sera pas une institution de plus, budgétivore et politicienne ?
Quel sera véritablement le rôle des Hauts Conseillers ?
Est-ce que cette institution payera ses impôts comme l’Assemblée nationale ?
Sera-t-elle une opportunité pour parfaire la décentralisation mise en mal par l’Act 3 ?
A une semaine de la clôture du dépôt des listes, l’APR et ses alliés se battent comme des chiffonniers. Pendant ce temps, dans les partis comme le GP, le débat fait rage sur une participation ou pas.
D’abord, il faut rappeler que le Grand parti est né après les élections locales de 2014. S’il compte parmi ses rangs des conseillers municipaux et départementaux, c’est seulement à la faveur de certains conseillers qui ont démissionnés pour nous rejoindre. Ainsi, ces conseillers du GP, devront certes voter, mais devraient-ils présenter une liste sous la bannière du Gp et pour aller plus loin dans l’analyse, ont-ils la possibilité légale de se présenter sous une liste du Gp ?
Le Gp est un parti que je classerai dans l’océan bleu à l’opposé de ceux qui évoluent dans l’océan rouge. Cette théorie plus employée dans le marketing est aujourd’hui adoptée en politique pour innover et faire la politique autrement.
Le Gp est toujours resté cohérent dans ses positions depuis le référendum.
- Nous avons voté non et nous avons avancé nos raisons.
- Nous avons déclinés l’invitation sur le dialogue national pour rester en cohérence avec notre position sur le référendum. La polémique sur un éventuel deal qui s’en est suivi nous a donné raison
- Nous n’avons pas participé aux discussions avec le Ministère de l’Intérieu...