Dans certains pays d’Afrique et d’Asie, le port de chaînes et de bagues au pied, appelés bracelets de cheville, fait partie des us et coutumes.

En Égypte ancienne, les femmes qui en portaient étaient considérées comme des prostituées. En Côte d’Ivoire, ce phénomène a pris de l’ampleur. Ces bijoux sont une touche de beauté que nombre de femmes et jeunes filles apportent à leur toilette . Une incursion dans leur univers permet de comprendre pourquoi ces femmes portent ces accessoires.Le bracelet de cheville, appelé communément chaîne au pied, est un article de joaillerie originaire d’Inde et traditionnellement porté par la gent féminine. En effet, en Inde, les bracelets de cheville ornent en général des pieds nus et complètent la parure du pied constituée par les bagues d’orteil. Le bracelet de cheville est, dans sa forme la plus traditionnelle, en or ou en argent, mais il existe aujourd’hui des bracelets constitués d’autres matériaux.
À Abidjan, elles sont de plus en plus nombreuses, les jeunes filles et les femmes qui portent des bagues aux orteils et des chaînes et perles, encore appelées “baya “, au rein. Ces bijoux sont souvent faits avec des métaux précieux: or, argent ou avec des alliages de plusieurs métaux.
A Adjamé, important centre commercial de la ville d’Abidjan, beaucoup de femmes vendent ces accessoires de beauté. Lors d’un passage dans ce lieu de commerce, nous avons engagé la causerie avec l’une des vendeuses de chaînes. ” Je vends des chaînes au pied et au rein. Cela fait habiller et rend les femmes élégantes. C’est beau de voir une femme avec une chaîne au pied, surtout quand celle-ci a des pieds légèrement gros. Je vous assure que ce commerce rapporte gros, parce que je peux avoir 15.000 ou 25.000 fcfa par jour. Les clients viennent tous les jours”, explique Bintou.
Les chaînes au pied et au rein ou à la hanche sont disponibles en plusieurs couleurs, selon le goût des clientes. À quelque 100 mètres de cette commerçante, un group...
À Abidjan, elles sont de plus en plus nombreuses, les jeunes filles et les femmes qui portent des bagues aux orteils et des chaînes et perles, encore appelées “baya “, au rein. Ces bijoux sont souvent faits avec des métaux précieux: or, argent ou avec des alliages de plusieurs métaux.
A Adjamé, important centre commercial de la ville d’Abidjan, beaucoup de femmes vendent ces accessoires de beauté. Lors d’un passage dans ce lieu de commerce, nous avons engagé la causerie avec l’une des vendeuses de chaînes. ” Je vends des chaînes au pied et au rein. Cela fait habiller et rend les femmes élégantes. C’est beau de voir une femme avec une chaîne au pied, surtout quand celle-ci a des pieds légèrement gros. Je vous assure que ce commerce rapporte gros, parce que je peux avoir 15.000 ou 25.000 fcfa par jour. Les clients viennent tous les jours”, explique Bintou.
Les chaînes au pied et au rein ou à la hanche sont disponibles en plusieurs couleurs, selon le goût des clientes. À quelque 100 mètres de cette commerçante, un group...