Le ministre du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie, Diène Farba Sarr a souligné, mercredi, le bien-fondé de son projet d’aménagement de la place de l’Indépendance que lui conteste le maire de Dakar, Khalifa Sall.

Le ministre du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie a soutenu que le décret n° 2014-875 du 22 juillet 2014 lui donne l’autorisation de "veiller à l’aménagement des villes et agglomérations par une action concertée avec les collectivités locales en matière d’espaces verts et de loisirs".
Diène Farba Sarr qui s’exprimait lors d’une conférence de presse tenue dans les locaux de son ministère a précisé que son département "participe, en liaison avec le ministre chargé de la Culture, à la protection et la mise en valeur du patrimoine architectural urbain".
Il a insisté, à ce sujet, que c’est la direction du cadre de vie et des espaces verts urbains du ministère du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie qui s’occupe de ces questions.
"Pour renforcer cette mission, a-t-il indiqué, le Chef de l’Etat a initié le +Projet villes vertes+ qui vise à mettre en œuvre une stratégie globale et cohérente destinée à accroitre l’offre de services urbains de qualité".
Par ailleurs, M. Sarr a justifié la légitimité de ses projets d’aménagement par le fait que la Place de l’Indépendance, tout comme celle de la Nation(Obélisque) relèvent du domaine public artificiel dépendant de la compétence de l’Etat, conformément aux dispositions du Code du Domaine de l’Etat, reprises par celles du Code général des collectivités locales (CGCL)".
"Pour leur préservation, leur entretien, voire leur promotion, la responsabilité est d’abord du ressort de l’Etat qui peut, toutefois, associer à cette fin, selon des modalités diverses, les collectivités locales et/ou les acteurs qui y sont disposés", a rappelé M. Sarr.
Selon lui, "l’Etat peut, cependant, transférer cette compétence aux collectivités locales. Ce qui n’est pas l...
Diène Farba Sarr qui s’exprimait lors d’une conférence de presse tenue dans les locaux de son ministère a précisé que son département "participe, en liaison avec le ministre chargé de la Culture, à la protection et la mise en valeur du patrimoine architectural urbain".
Il a insisté, à ce sujet, que c’est la direction du cadre de vie et des espaces verts urbains du ministère du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie qui s’occupe de ces questions.
"Pour renforcer cette mission, a-t-il indiqué, le Chef de l’Etat a initié le +Projet villes vertes+ qui vise à mettre en œuvre une stratégie globale et cohérente destinée à accroitre l’offre de services urbains de qualité".
Par ailleurs, M. Sarr a justifié la légitimité de ses projets d’aménagement par le fait que la Place de l’Indépendance, tout comme celle de la Nation(Obélisque) relèvent du domaine public artificiel dépendant de la compétence de l’Etat, conformément aux dispositions du Code du Domaine de l’Etat, reprises par celles du Code général des collectivités locales (CGCL)".
"Pour leur préservation, leur entretien, voire leur promotion, la responsabilité est d’abord du ressort de l’Etat qui peut, toutefois, associer à cette fin, selon des modalités diverses, les collectivités locales et/ou les acteurs qui y sont disposés", a rappelé M. Sarr.
Selon lui, "l’Etat peut, cependant, transférer cette compétence aux collectivités locales. Ce qui n’est pas l...