Supermax : l'enfer carcéral américain - Reportage
Karim Wade, « Président de WhatsApp» : Quand l'article L31 fait de RIMKA une «momie» politique (décryptage Leral.net)

Mais, dans quelle galaxie politique évolue actuellement Karim Meïssa Wade? Et quels dividendes, le fils de Wade espère-t-il gagner avec cette politique «Bluetooth» à moins de quelques mois de la Présidentielle? Leral.net a tenté à nouveau, d’y voir plus clair…

« Karim Wade est notre candidat pour 2019. Son retour n’est qu’une question de calendrier »
Pourtant, Amadou Sall, interrogé par Jeune Afrique Mag est conscient de la difficulté de la succession de Wade, qui a été contraint de battre campagne en 2017 pour la Coalition gagnante Wattu Senegaal pour les Législatives. « Dans les grands partis, il est toujours difficile de succéder au fondateur, a fortiori, si celui-ci l’a dirigé quarante années durant. Pour l’heure, le PDS n’a plus un leadership centralisé, mais un groupe soudé – son comité directeur –, et c’est très bien ainsi», a-t-il reconnu.

Avant d’enchaîner : « Il demeure au Qatar dans le cadre d’un exil forcé, auquel il est temps pour nous de mettre un terme. Cette injonction à l’exil était un acte politique imposé par le pouvoir en échange de sa libération et de celle de ses coaccusés. Il est évident que le candidat du PDS se doit de venir ici pour y battre campagne. À quelle victoire pourrions-nous prétendre s’il le faisait depuis l’étranger ? Karim Wade étant notre candidat, son retour au Sénégal n’est donc, pour nous, qu’une question de calendrier ».

Candidat désigné du PDS pour l’élection présidentielle de 2019, Karim Wade n’est-il pas plutôt un candidat «virtuel» qui fait juste de la politique «WhatsApp». Va-t-il revenir au Sénégal fédérer la famille libérale après que Idrissa Seck a soutenu Khalifa Sall, le Socialiste lors des Législatives?
Karim Wade peut-il réussir cette même prouesse avec la famille libérale, en restant à Dubaï ou à Versailles. Avec cet éloignement physique, le fils de Wade peut-il être le prochain candidat de la famille libérale à la Présidentielle 2019 ? Le Pds ne fait-il pas de la politique-fiction avec ce Plan A? Madické Niang a révélé mercredi que le PDS n'avait ni de plan B, ni de plan C. Autant de questions que la léthargie et le silence politique assourdissant de Karim Wade posent avec insistance aux analystes politiques.
En clamant que c’est Karim ou rien sur la place publique, le PDS gesticule, mais, dans le fond, certains, en sourdine, commencent à se rendre compte que « Rimka » pourrait être une impasse politique. Même si le PDS annonce des manifestation le 13 juillet.
D’ailleurs, ce vendredi 6 juillet 2018, la plateforme des mouvements de soutien au Président Karim Wade installés au Sénégal et dans la Diaspora a demandé solennellement aux Sénégalais particulièrement aux Karimistes à participer massivement à la manifestation du 13 Juillet 2018 organisée par le Front National de Résistance.
Cette plateforme estime que la réussite cette manifestation prévue le 13 juillet sera le premier jalon de la révolution populaire qui va libérer le Peuple Sénégalais de l'oppression pour « bouter le dictateur Macky Sall hors du Palais ».
Malgré tout, la question qui taraude les esprits est de savoir si le refus d’avoir un plan B, n’est pas politiquement dangereux pour le PDS. Puisqu’aujourd’hui, en octobre 2017, on s’inquiète du fait que Karim Wade ne soit devenu, par la force du génie politique de Macky Sall, une «momie» politique qui ne se réveillera plus jamais.
En effet, la grâce présidentielle est là pour l’illustrer, d’autant que Karim Wade, depuis lors, est muet comme une carpe, alors qu’il reste l'atout maitre de l'avenir politique du PDS.

Certes, le PDS veut se barricader derrière ses certitudes incertaines, mais, la sortie de prison rocambolesque de Karim Wade, sur fond d’exfiltration nocturne, sans discours, sans presse, avait déjà jeté la suspicion d’un deal latent avec le régime, comme l’avait souligné Idrissa Seck.
Karim s’était alors juste fendu d’un communiqué lapidaire et diplomatique, qui avait remercié les chefs coutumiers et religieux le Khalife Général des Mourides, le Khalife Général des Tidjanes ainsi que son porte-parole Serigne Abdoul Aziz SY Al Ibn, l’Archevêque de Dakar et l’Émir du Qatar, Sheikh Tamin ben Hamad AL Thani.
Mais, comment la concrétisation de la vision d’Abdoulaye Wade peut-elle se matérialiser de Dubaï ou de Versailles, sans confrontation, sans une stratégie politique concrète et claire ?

Or, quelques mois après, Karim Wade, au-delà de ce discours papier sans résonance vocale, ne s’est juste contenté que d’appels et de coups de téléphone, de remerciements via WhatsApp. Est-ce suffisant? C’est un leurre que de croire qu’on peut être Président au Sénégal, sans descendre dans l’arène politique, si on sait qu’Abdoulaye Wade a souffert le martyre de l’opposition pendant 26 ans.
Quel candidat libéral consensuel pour remplacer Karim Wade en urgence ?
Karim Wade, qui n’a même pas pu gagner la Mairie de Dakar, peut-il être, la seule hirondelle qui va faire le printemps du PDS en 2019. N’est-il pas un pari risqué pour le PDS? Quelle brèche pour Pape Diop-Madické niang-Oumar Sarr ?
Farba Senghor, qui avait même misé gros sur «l’effet Karim Wade», qui va permettre d’inverser la tendance, lors des élections législatives (Ndlr : c’est raté) et de la Présidentielle de 2019, a finalement été extirpé du bateau ivre libéral comme un virus HN1 avec Papa Samba Mboup… pour aller former Mbolom Wade. Jeudi sur la RFM, il a conseillé Madické Niang et Oumar Sarr d'oublier Karim Wade, tout en soutenant que Wade fils allait être remis en prison s'il revenait au Sénégal.
Après des élections législatives en 2017, sans Karim Wade suivies d’une victoire éclatante de Benno Bokk Yakaar, peut-t-on s’attendre à voir Karim Wade débarquer en messie libéral au Sénégal pour battre campagne lors de la Présidentielle en 2019 ? De qui se moque-t-on ? Dans cette sphère de la «Virtual» politique, on y fourre tout, mais, dans la «Real» politique, le PDS sait qu’il doit impérativement avoir un Plan B. Puisque le Plan A n’est pas encore dans les conditions optimales de performance. Et le rejet de l'inscription sur les listes électorales de wade fils a exacerbé la crise du leadership au PDS, depuis que la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) s'est emparé de l'affaire du fils de Wade. Les malentendus sont peut-être définitifs entre Karim Wade et la présidentielle de 2019.
Madické Niang, Pape Diop ou encore Oumar Sarr, en bons jokers, ne devraient-ils pas s’échauffer pour préparer leur entrée dans le ring comme candidat pour la Présidentielle de 2019 contre leur ancien frère de parti bleu jaune devenu marron avec l’APR, pour ne pas nommer Macky Sall. . Et Idrissa Seck dans tout ça? "Mara" n'est-il pas aussi un candidat crédible pour fédérer la famille libérale face à l'autre libéral Macky Sall? Wait and see?
Massène DIOP leral.net

Signature de la prorogation du protocole d'application de la Convention entre le Sénégal et la Guinée Bissau dans le domaine des pêches maritimes
Chris Brown arrêté par la police après un concert

Dans le cadre de sa nouvelle tournée lancée il y a quelques mois, Chris Brown était présent au Coral Sky Amphithéâtre à West Palm Beach pour faire plaisir à ses fans.
La CNN rapporte que plusieurs officiers de la police l’attendaient à la sortie de son spectacle. Selon le bureau du shérif du comté de Palm Beach qui a refusé de fournir plus de détails sur cette arrestation, Chris Brown faisait l’objet d’un mandat lancé contre lui.
Selon la presse américaine, Chris Brown faisait l’objet d’une mandat d’arrestation, émis par un comté proche du lieu du concert. Pour l’heure, on en ignore le motif. Le chanteur a été finalement relâché après avoir versé une caution.
Le chanteur a eu plusieurs démêlés avec la justice, y compris des accusations d’agression physique sur son ex-petite amie, Rihanna, en 2009. Chris Brown avait reçu cinq ans pour ces faits qui lui étaient reprochés.
En 2017, un tribunal de Los Angeles a émis un avis qui interdisait à Chris Brown d’approcher son ex-petite amie Karrueche Tran, qui l’accusait de l’avoir frappée et menacée de mort.
Crédit photo : cnn
USA : Une femme originaire de la RDC, escalade la statue de la Liberté. La raison (vidéo)

Une militante, identifiée comme Thérèse Patricia Okoumou est originaire de la République Démocratique du Congo et vit à New York depuis près de dix ans. Elle a comparu devant le tribunal pour être formellement inculpée.
En effet, Patricia a grimpé la statue de la Liberté le jour de l’indépendance américaine pour protester contre la politique d’immigration de tolérance zéro de l’administration Trump, et a été accusée d’intrusion, de conduite désordonnée et d’interférence avec l’administration gouvernementale.
Elle a escaladé les près de 50 mètres du socle de la statue de la Liberté à mains nues. Un coup d’éclat de plus pour Therese Patricia Okoumou.
Mercredi 4 juillet, des séquences vidéo de l’incident montraient l’immigrée congolaise de 44 ans, arborant un tee-shirt où il était écrit « Trumpcare Makes Us Sick » : « Les soins prescrits par Trump nous rendent malades. »
Okoumou aurait déclaré aux policiers qu’elle protestait contre les séparations des familles à la frontière américano-mexicaine.
Elle appartient au groupe « Rise and Resist », une organisation à but non lucratif créée après l’élection présidentielle américaine de 2016, en réponse à la rhétorique de campagne de Donald Trump.
Rise and Resist milite pour la fermeture de l’agence du service de l’Immigration et des Douanes des États-Unis et mène des campagnes pour protester contre la politique de séparation des familles.
Selon le New York Times, Patricia Okoumou a commencé à escalader la statue de la Liberté à 15 heures avant de s’engager dans une confrontation avec les policiers pendant environ trois heures.
Les responsables du National Park Service ont déclaré au Times qu’ils avaient évacué quelque 4 500 touristes du complexe quand ils ont repéré Mme Okoumou.
Rise and Resist a publié une déclaration confirmant que les actions de Mme Okoumou avaient été « faites indépendamment du groupe, sans le consentement des membres. »
Crédit photo : ayolatv
Prédictions mensongères sur le Mondial 2018 : Les Sénégalais en ont marre des charlatans du dimanche
Pénurie d’eau : Guédiawaye Marché Sahm crie son ras-le-bol et menace de porter des brassards rouges
Tafsir Abdourahmane Gaye parle de la modestie du prophète (psl) et Mame El Hadj Malick Sy
Barack Obama : "il y a trois questions qu’il faut absolument se poser avant de s'engager en mariage"

Ancien directeur de la communication de Barack Obama (il a participé à ses deux campagnes présidentielles et passé six ans à la Maison Blanche), Dan Pfeiffer vient de sortir un livre, Yes We (Still) Can : Politics in the Age of Obama, Twitter, and Trump, dans lequel il raconte quelques anecdotes sur l’ancien président.
Dan Pfeiffer est revenu sur une conversation qu’il a eue avec Barack Obama concernant son projet d’emménager avec sa petite amie, Howli Ledbetter en 2011. Barack lui a répondu dans un premier temps : « C’est la bonne, non ? » avant de faire quelques précisions sur la démarche que devrait emprunter Dan Pfeiffer.
Pour l’ancien président, il faut se poser trois questions et y répondre par l’affirmative. Il affiche 30 ans d’amour et 25 ans de mariage avec Michelle, il sait donc de quoi il parle.
Les trois questions qu'il faut se poser selon Obama avant de s'engager en mariage
D’abord, « est-ce une personne que vous trouvez intéressante ? Vous passerez plus de temps avec elle que quiconque et il n’y a rien de plus important que de toujours avoir envie d’écouter ce qu’elle a à dire. » Ensuite, « est-ce qu’elle vous fait rire ? » Enfin, « je ne sais pas si vous voulez des enfants mais si c’est le cas, pensez-vous qu’elle fera une bonne mère ? »
D’après Barack Obama, « c’est long, une vie. Ce sont les choses qui comptent vraiment à long terme. »
A ces questions Dan Pfeiffer a répondu par l’affirmative, « Howli est incroyablement intéressante et beaucoup plus drôle que moi, et elle sera une maman phénoménale », a-t-il répondu au président. « On dirait que vous avez trouvé la femme de votre vie. Vous avez de la chance », l’a-t-il félicité en retour.
Dan explique dans son livre que lui et Howli se sont fiancés un an après cette conversation et ils se sont mariés quelques mois plus tard, en octobre 2016. « Et, depuis, c’est le même conseil que je donne à tout le monde », conclut-il.
Oscar Mbena (Afrikmag)

Santé : La Fondation Sonatel s’engage aux côtés de la LISCA pour lutter contre le Cancer

Cette subvention vient aider la LISCA dans son objectif de prendre en charge gratuitement 1 000 (mille) patients, mais aussi permettre d’accompagner les efforts importants du gouvernement dans la lutte contre le cancer. La Fondation Sonatel fait de l’appui à la lutte contre les maladies non transmissibles à soins couteux, un domaine d’intervention prioritaire.
La Ligue Sénégalaise contre le Cancer (LISCA) a pour objectif de développer toute forme de lutte contre le cancer sur le plan social, sanitaire, juridique, administratif et de la recherche et organise ainsi plusieurs activités dans ce sens.
Malgré les nombreux investissements de l’Etat du Sénégal en matière d’équipement et de relèvement de plateau médical pour renforcer la capacité de traitement du cancer, la prise en charge multidisciplinaire, radiothérapie-chirurgie-chimiothérapie, demeure inaccessible pour la majorité de la population., Ainsi, la LISCA a initié cette campagne de levée de fonds pour soutenir les patients à revenus modestes.
La Fondation Sonatel agit au cœur de la vie des populations et contribue ainsi à l’amélioration de leur bien-être.
Nécrologie : Mouhamadou Lamine Massaly en deuil

Joint par Seneweb, Massaly a informé que la défunte sera inhumée ce vendredi à Kaolack et que le maire de Dakar, Khalifa Sall, "depuis la prison", a mis à sa disposition un corbillard pour l'acheminement de la dépouille.
Macky Sall fait le bilan des intempéries: 22 992 moutons, 23 300 caprins et 521 bovins perdus

Dans la foulée, le Président Sall a annoncé des mesures préventives contre les conséquences qu’elles peuvent engendrer sur la vie des populations. Ainsi, il a annoncé avoir pris la décision d’allouer aux victimes identifiées dans cette catastrophe naturelle, une enveloppe d’un milliards. "Ce montant sera reparti au niveau national comme suit : chaque cadavre de mouton recevra 25 000 francs F Cfa, celui d'un bœuf, cheval ou âne recevra 50 000F Cfa", a-t-il déclaré, selon "Vox Populi".
Diao Baldé Keita : « je reconnais que j’étais un peu frustré d’être sur le banc»

«Je suis sûr qu’avec ce que nous avons montré dans cette Coupe du monde, nous méritons le respect de toutes les équipes du monde, exulte le joueur formé au Fc Barcelone, repris par L’AS. On s’est fait sortir sur des cartons. Donc, on peut dire que c’est par manque de chance.»
Au plan personnel, il juge positive sa seule apparition au Mondial, contre la Colombie: «Je pense que j’ai fait un bon match. J’étais présent sur le travail défensif. Sur le plan offensif, j’ai réussi à me créer quelques occasions et délivrer quelques passes. Je vais continuer à travailler pour progresser et pouvoir répondre aux attentes de l’entraineur ».
Cependant Keïta Diao Baldé admet n’avoir pas apprécié d’être resté sur le banc des remplaçants lors des deux premiers matches des Lions en Coupe du monde. «Je pense que tous les joueurs sont comme ça. Nous avons tous envie de jouer le maximum de match pour apporter un plus à l’équipe. Maintenant, je reconnais que j’étais un peu frustré d’être sur le banc», a signalé le sociétaire de Monaco.
Source : Le Rufisquois
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Serigne Abdou Karim, sa part de vérité sur la situation actuelle du pays
Enquête sur la tuerie de Boffa : Le juge Augustin Diouf hérite du dossier

C’est donc lui qui va continuer l’instruction du dossier relatif à la tuerie de Boffa. Avant son départ, le juge Benjelloun avait entamé́ les auditions dans le fond après avoir aussi fait une délégation judiciaire à la Section de Recherches de Dakar.
Libération
El Hadji Diouf : « Aliou Cissé et la Fédération n’ont pas été à la hauteur »
Communiqué de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal

Par conséquent il est la seule structure habilitée à valider tout plan directeur d’assainissement à mettre en œuvre sur toute l’étendue du territoire sénégalais.
Dans ce cadre, tout branchement non exécuté par ses services techniques est considéré comme clandestin et ses auteurs s’exposent à des pénalités pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement.
Pour le cas précis de la commune de OUAKAM, l’ONAS informe qu’aucune instance ne peut bénéficiera d’une quelconque faveur allant dans le sens de permettre la réalisation de branchements des eaux usées sur les canaux d’eaux pluviales qui se déversent directement à la mer.
Le Directeur Général
Oustaz Hadi Niasse:" barina kou alkou nianame moko alak"
Prodac : Qui sont les signataires de la Convention de Financement et du Contrat de Construction des DAC ?

Qui sont les signataires de la Convention de financement des DAC ? Qui sont les signataires du Contrat de Construction (Clé en mains) des DAC ? Découvrez vous-même !


