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Gorgui vieillit, Ngor-si se rebelle, Ndaw-si s’émancipe, Ngonè-si s’assagit

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Aminata Tall, devant une marée de militants acquis à sa cause, vient de rompre les amarres avec « Wade et son Pds ». La Lionne du Baol n’en est pas à une foucade près. Son histoire dans le « Sopi » triomphant n’est sans doute pas loin de ressembler à une longue série de ruptures avec celui dont elle est depuis deux décennies l’incontestable égérie. Elle est alors l’une des icônes que le peuple du Sopi s’est choisi dès les premières lueurs de l’alternance. Autour du Patriarche Gorgui, on distingue Idrissa Seck, Ngoor-si, Aminata Tall, Ndaw-si et enfin, Fada, Ngoné-si. Souvenirs, souvenirs…
En 2000, alors que la cote de l’Alternance crève les plafonds, dans l’opinion, quatre icônes s’imposent d’elles-mêmes comme les piliers de la famille libérale : le président Wade, incontestable leader, surnommé Gorgui, le patriarche ; Ngor-si, pour désigner l’ingénieux Idrissa Seck, la cheville ouvrière, le fils prodige ; l’indispensable touche féminine sans laquelle rien n’est viable en ce bas-monde, Ndaw-si, comprenez Aminata Tall ; et, enfin, le p’tit dernier dont tous les caprices, tous les errements sont tolérés, Ngonè-si, Modou Diagne Fada, représentant cette jeunesse qui porte le désir de changement dans ses gènes. Le touchant tableau de famille : quatre figures du Pds pour symboliser alors la victoire obtenue par l’indéfectible solidarité dans l’épreuve. Leur légitimité fait plaisir à voir. Ils sont les nouveaux maîtres du pays. Ils regardent de haut les brebis égarées à l’époque, de retour dans le giron familial - Ousmane Ngom, Jean-Paul Dias ou Serigne Diop - qui ont le mauvais goût d’avoir soutenu en 2000 le candidat Diouf, alors favori… On a beau aligner des chefs de partis dont l’apport à la chute du régime socialiste fut décisif, genre Moustapha Niasse, Amath Dansokho, Abdoulaye Bathily, Landing Savané, Mbaye-Jacques Diop, Iba Der Thiam etc., les vraies icônes de l’Alternance en 2000 restent les quatre as du Pds.

Même Mame Madior Boye, Premier ministre, ne pâlit pas l’étoile d’Aminata Tall

Même dans la famille libérale, leurs statures font de l’ombre aux autres. Pape Diop, qui est pourtant des cercles où tout se décide, peine à se faire remarquer. Quand bien même on lui prête un éminent rôle de financier dans la marche du « Sopi », il a beau être des militants de la première heure, s’agiter dans tous les sens, c’est à peine s’il parvient à se faire remarquer. Lorsqu’il est candidat à la Mairie de Dakar, personne ne veut rien voir d’autre qu’une faveur que lui accordent le tandem Gorgui et Ngor-si, le président Wade et son âme damnée, Idrissa Seck. Il n’a pas leur aura. Ses postes de président de l’Assemblée nationale et du Sénat ne valent pas mieux. En dépit de son statut de dauphin constitutionnel depuis près d’une décennie, il reste à la remorque des vrais leaders… Pour le commun des mortels, ce ne sont que des cadeaux pour menus services rendus à la si généreuse Alternance. Ça ne doit rien à son mérite. Il manque de personnalité, est trop terne pour être un chef. C’est ainsi qu’il perd la Mairie de Dakar aux dernières municipales : peu importe si la capitale se modernise, embellit, se farde… Les électeurs sont convaincus que Pape Diop n’y est pour rien ; son rôle est de chauffer la place réservée à Karim Wade, sur injonction de Gorgui. Un exécutant obéissant, pas plus.

Chez les femmes, la nomination de Mame Madior Boye au poste de Premier ministre n’arrive pas à faire de l’ombre à Aminata Tall. On pense un moment qu’Awa Guèye Kébé dont le charisme est certain, est en train de renverser la vapeur. Ça ne va pas loin. Même des furies comme Awa Diop, Ndèye Maguette Dièye, Seynabou Wade et tant d’autres qui ont affronté les lacrymogènes deux décennies durant ne font pas l’affaire. Pire, lorsqu’Aminata Tall est virée du gouvernement d’Idrissa Seck, dans l’opinion, c’est l’Alternance qui est ingrate. Son martyre fait grimper sa cote d’amour. Elle est la seule qui tient tête au tandem infernal Gorgui-Ngorsi, implacable rouleau compresseur. Ndaw-si reste debout, depuis son fief de Diourbel. Il faudra que le duo implose pour que Gorgui aille la chercher chez elle, en plein conseil municipal à Diourbel, dont il déclarera l’air pur, contrairement à l’atmosphère irrespirable de Dakar, polluée par les sombres complots du satanique Ngoor-si.

C’est alors que la charge est sonnée contre le fils préféré en pleine disgrâce. Gorgui, vieux briscard, a besoin à ses côtés d’une icône de l’Alternance pour exécuter Idrissa Seck, sans que cela ne ressemble exagérément à de la félonie généralisée. Dans ce lynchage du maire de Thiès qui mènera Ngor-si en prison, Aminata Tall prend la seule posture téméraire. Elle tempère les ardeurs, tend la main au banni, rappelle ses mérites et faits de guerre. Une autre qu’elle l’aurait payé de sa carrière. Cash. Par exemple, Ndèye Maguette Dièye, alors maire du Point E, wadiste passionnée de la première heure, est contrainte de faire ses bagages et suivre en exil forcé Idrissa Seck. On la soupçonne d’un excès de tiédeur dans la guerre que le Palais mène à Ngoor-si. Pour Aminata Tall, on ferme les yeux. Elle seule a la légitimité de s’opposer au Patriarche. L’icône féminine de l’Alternance, c’est définitivement l’ex-maire de Diourbel dont la liberté de ton ébouriffe bien des tignasses en confirmant qu’elle est, dans la famille libérale, l’incarnation de la légitimité… Le Parti socialiste avait Caroline Faye, veuve de Demba Diop ; le Pds a Aminata Tall. Elle n’est pas la première des militantes, ni la plus disponible ou la plus généreuse pour la base, ni même la plus héroïque. Mais la préférée de tous, c’est bien elle… C’est ainsi.

Pour gagner du galon, Macky Sall joue les méchants

Retour chez les hommes. Dans les couloirs du Palais, quelques fidèles font leur tintamarre. Dont Farba Senghor. Cet « élément hors du commun » a beau se revêtir des redingotes qui se remarquent à des kilomètres à la ronde, clamer sa fidélité indéfectible à la famille Wade, rien n’y fait, il ne peut jouer qu’un rôle de second dans le registre tragi-comique. Le fou du roi.

Y’a bien Lamine Bâ aux Parcelles Assainies, à propos duquel la rumeur affirme qu’il est des rares à dépenser son argent pour la victoire du Pds alors que pas un investisseur sérieux ne mise dessus. Il est bien gentil, mais il n’accroche pas l’opinion. Il peine à marquer de son empreinte l’entourage du Patriarche. Il valse au gré des humeurs présidentielles ; ce n’est pas qu’il manque de caractère, mais…

Macky Sall n’est pas mieux loti. Son ascension fulgurante s’apparente à un tour de prestidigitation. Il passe alors pour une fabrication d’Idrissa Seck, un simple artifice des deux magiciens de l’Alternance, Gorgui et Ngors-si, auxquels l’opinion prête le pouvoir de créer des figurines de chair et de sang à partir de rien ; le duo diabolique a l’habitude de sortir du néant des marionnettes vivantes… Pour asseoir sa légitimité, le placide Macky fait le méchant, se sent obligé d’exécuter son ancien mentor, Idrissa Seck, de le jeter en prison. Rien n’y fait. Idrissa Seck revient du pénitencier encore plus fort. Il est le martyr adulé de Thiès, le fils prodigue, l’enfant-prodige que l’ingratitude paternelle et la jalousie de ses frères n’arrivent pas à démolir ; sa capacité de résistance lui offre la deuxième place à la dernière présidentielle. Le petit peuple des Sopistes refuse de renier son icône. Il a un tour de piste d’avance sur les autres successeurs de Gorgui.

Et Fada, ou plutôt, Ngoné-si dans tout ça ? L’enfant de Darou Mousty se cabre quand on lui colle Thierno Lô dans les basques en son fief de Darou Mousty. Il est aussi suspecté de fidélité à Ngoor-si. Il monte sa liste aux dernières législatives et arrive troisième derrière deux coalitions. Revenu au bercail, il se tait mais n’en pense pas moins. La stature d’Idrissa Seck lui fait de l’ombre. Il voudrait bien qu’on cesse de le regarder comme le p’tit gars que Ngor-si a choisi entre mille de ses semblables. Il se fait les dents aux dernières législatives, monte sa liste tout seul comme un grand. Et gagne du galon. Une offre de service pour le cas où il y aurait besoin d’un porteur de voix dans la famille Wade. Et puis, il y a Karim Wade, dont le plan de carrière politique récemment improvisé bouleverse le touchant tableau familial de la famille bleue : le quatuor Gorgui – Ngor-si – Ndaw-si – Ngoné-si implose. Tout fils de Gorgui qu’il est, en dépit de ses inconditionnels qui voient en lui le digne successeur de son père, dans les rangs du Pds originel, ça se passe le mot à son sujet : il n’est pas des leurs. Il lui est même reproché d’être la cause de l’éclatement du clan qui a valu aux Sopistes leurs plus grandes joies en 2000.

Aujourd’hui, le Patriarche se fait vieux ; il peine à garder sa progéniture en rangs serrés ; chacun veut la part d’héritage qu’il estime digne de son rang. Ngoor-si est parti pour prendre le Pds, celui qu’il porte au pouvoir en 2000 pour y rester quarante ans… Ndaw-si, que le premier cercle de Gorgui ne porte pas dans son cœur, sait qu’il n’y pas d’autre issue que d’aller chercher ce que les Sopistes purs et durs lui donneront, à elle, leur égérie… Quant à Ngor-si, il attend sans doute que Gorgui lui donne l’onction, pour se déclarer son légataire universel. Face à eux, les sombres comploteurs qui avancent masqués, dont Pape Diop, dauphin constitutionnel depuis une décennie, les militants de la vingt-cinquième heure, les transhumants, l’opposition et tous ceux qui croient avoir une chance de rafler le jackpot quand le Patriarche se retirera de la scène publique.

Ibou Fall (Banc Diakhlé)

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Situation nationale du Sénégal : Maguette Thiam et Macky Sall, même combat

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« Le Lundi 28 mars 2011, une délégation de l’Alliance Pour la République (APR) conduite par le Président Macky SALL et une délégation du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT) conduite par le Professeur Magatte THIAM, Secrétaire Général, se sont rencontrées, au siège l’APR, dans le cadre d’un échange politique, sur des questions majeures portant sur la situation nationale et internationale ». C’est ce que nous apprend un communiqué conjoint signé par les leaders des deux formations politiques.
Selon ce document : « Au terme de riches et profondes, discussions, les deux délégations ont exprimé leur totale convergence sur la grave crise politique, économique, sociale et culturelle qui sévit au Sénégal du fait de la politique initiée et mise en œuvre par Abdoulaye WADE et son système. Leur diagnostic commun de la situation nationale a insisté sur la faillite de l’Etat qui se caractérise par :

la déliquescence de l’économie nationale dans tous ses secteurs et la mise à mort des secteurs sociaux de base, la santé, l’éducation, l’énergie, et les désastreuses campagnes agricoles qui ont fini d’asphyxier le monde rural et d’appauvrir les paysans,
les menaces qui pèsent sur les Instituions de la République et les libertés démocratiques
l’option de pourrissement et de corruption dans la gestion de la crise casamançaise. Cette inacceptable situation justifie les légitimes revendications sociales de tous les secteurs d’activités. L’APR et le PIT, apportent leur soutien total aux secteurs en lutte et qui se sont, par ailleurs, fortement exprimés lors de la Commémoration du 11ème Anniversaire de l’Alternance, le 19 mars 2011. En vérité, la politique du pouvoir a fini de convaincre de larges secteurs de la vie nationale de la nécessité de son départ pour soulager la misère qui frappe les couches sociales et les travailleurs. A cette volonté d’en finir, Abdoulaye WADE et son régime n’ont d’autre recours que la corruption, la concussion et l’intimidation ». A les en croire : « Face à ces dérives du pouvoir, qui s’aggravent de jour en jour, doublées de son entêtement à vouloir se représenter en 2012, en violation de la constitution, la consolidation de Bennoo Siggil Senegaal, porte – étendard de l’Opposition nationale contre ce régime, s’avère de plus en plus nécessaire et large. Cette consolidation est une urgence nationale au regard des tentatives de Abdoulaye WADE de continuer à vouloir s’installer au pouvoir, voire à opérer une machination visant une dévolution monarchique du pouvoir. Pour ce faire, le régime n’hésite pas à user d’expédients qui vont des manœuvres visant à empêcher l’expression libre et démocratique du suffrage à un découpage administratif de forfaiture et ses conséquences juridiques en passant par toutes sortes d’entraves à l’exercice de la citoyenneté des jeunes et des sénégalais de la diaspora (non confection de cartes nationales d’identité, difficultés d’inscription sur les listes électorales). » « Aujourd’hui, plus que jamais, disent-ils, Bennoo doit renforcer son unité, pour s’opposer au redécoupage territorial en cours, faussement administratif mais purement électoraliste, pour gérer les urgences démocratiques sociales et politiques, en particulier celles portant :
Sur la défense des conditions sociales des populations sénégalaises durement éprouvées par la gouvernance actuelle du pays, singulièrement celles des paysans terriblement affectés par les errements de la politique agricole du pouvoir,sur la surveillance du Fichier Electoral,
et sur la mobilisation collective contre le blocage de la délivrance des Cartes Nationales d’Identité et toutes les barricades érigées par le pouvoir, pour empêcher les Inscriptions et le vote prochain de millions de Sénégalais, notamment des jeunes ». A ce propos, l’APR et le PIT « appellent tous les Sénégalais à se mettre en ordre de bataille sur ces questions majeures qui témoignent de la volonté manifeste d’un inacceptable holdup électoral que le pouvoir prépare. Il convient de lui imposer l’ouverture sans délai des listes électorales aux jeunes et de procéder expressément à la délivrance des Cartes Nationales d’Identité à tous les citoyens qui en font la demande ». Par ailleurs, l’APR et le PIT s’accordent sur la nécessité de lutter contre la tendance à la « fascisation » du régime qui fait de la violence Institutionnelle, son ultime recours, comme en atteste la récente attaque contre le cortège du Président Macky SALL en tournée politique dans la Région de Kaffrine, après celle de Makacoulibantang. Les deux partis exigent de l’Etat que les commanditaires soient identifiés et sanctionnés. Et de poursuivre : « Il est manifeste que le pouvoir n’a d’autre recours que le chantage et la violence. L’illustration en est donnée par la ridicule, grotesque et dangereuse « déclaration » de Cheikh Tidiane SY, portant sur un prétendu « Coup d’Etat » qu’auraient fomenté de jeunes étudiants du Bennoo. En élevant la forfaiture à un tel niveau, sur fond de mensonge d’Etat, le ministre de la Justice, Garde des Sceaux a lui – même jeté le discrédit sur les Institutions de l’Etat ». A ce propos, le PIT apporte son soutien militant et politique à l’APR et s’engage, avec elle à impulser un vaste mouvement démocratique et républicain de résistance à la violence politique et pour la défense des libertés. Au chapitre de la situation internationale, le PIT et l’APR, « après s’être inclinés devant la mémoire des milliers de morts, victimes des catastrophes naturelles qui ont endeuillé le Japon et présenté leurs condoléances au Gouvernement et au peuple japonais, se sont vivement inquiétés de la situation qui prévaut dans le monde. Les différents soulèvements notés récemment en Tunisie, Egypte, Libye ne sont que l’expression de mécontentements populaires et d’une volonté de prise en compte des préoccupations des populations de ces pays (plus de liberté, de justice et de démocratie), sans ingérence militaires extérieures au nom d’intérêts économiques, politiques et stratégiques ». Avant de se séparer, les deux délégations ont retenu la nécessité d’élaborer, conjointement, un Plan d’Action sur les questions politiques et démocratiques centrales, que leurs partis soumettront à leurs partenaires du Bennoo Siggil Senegaal et de « Clarté DEY LEER ». Ce plan comprend la possibilité d’initiatives communes à entreprendre pour renforcer leur action. Ils exhortent leurs militants, les organisations affiliées de jeunes et de femmes de l’APR et du PIT ainsi que leurs élus locaux à entreprendre des initiatives communes pour intensifier, au plan local, la lutte contre la politique malfaisante du pouvoir. Enfin, les deux Délégations se sont accordées sur la construction d’un solide partenariat politique entre le PIT et l’APR, dont les lignes de forces seront détaillées au cours de la prochaine rencontre entre les deux Partis, prévue ultérieurement au Siège du PIT.
Visitez www.ferloo/.com

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Des audiences en perspective: Wade dans une opération de charme des religieux

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LERAL.NET - Sa candidature controversée ne l’empêche pas de manœuvrer pour étendre ses tentacules et redorer son blason avant les échéances électorales de 2012. En effet, le président de la République Me Abdoulaye, pour se faire réélire en 2012, investit le champ des religieux pour bénéficier de leur soutien.
C’est dans ce dessein que des audiences avec les différentes familles religieuses du Sénégal sont annoncées dans les jours à venir. Walf Grand’Place qui donne l’information révèle que Wade veut impliquer d’avantage les religieux pour assurer sa réélection. Ne lésinant pas sur les moyens, le président de la République aurait pris langue avec le porte-parole de l’une des plus grandes familles maraboutiques pour jouer les entremetteurs. Ainsi, pour dire qu’il lui a été confié comme mission de rencontrer les différentes familles religieuses du Sénégal pour les convaincre de répondre à l’appel du président de la République.


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Renouvellements des instances de l'Ujtl à Mbacké: Des armes retrouvées dans la voiture d'un député

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LERAL.NET - Au Pds, renouvellements des instances de l’union des jeunesses travaillistes et libérales riment avec violence. C’est le message que le chauffeur d’un député libéral du département de Mbacké semble vouloir lancer. Il a convoyé des armes au théâtre de verdure de Mbacké qui servait de cadre des renouvellements des instances de l’Ujtl.
Dans la voiture appartenant au député Amadou Kane et stationnée devant le théâtre de verdure de Mbacké, les policiers ont trouvé des armes. Qui n’appartiennent pas au député mais à son chauffeur, Abdoulaye Sall qui, pourtant n’était pas directement impliqué aux renouvellements des instances de l’Ujtl. Selon le quotidien Walf Grand'Place, Il y était pour soutenir Moustapha Ndoye, poulain de son patron. Mais il a été cueilli par les limiers qui l’ont conduit au commissariat avant de le placer en garde à vue. Et comme un malheur ne vient jamais seul, celui qu'il soutenait a été battu par Ibrahima Dione qui n'est autre que le protégé de la députée Aida Gaye.

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Rallye des Gazelles Aicha : Sindiély Wade dans le désert marocain pour s'amuser

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LERAL.NET - Au moment où son père de président se fait attaquer de toute part et que des sénégalais cherchent le diable pour lui tirer la queue, Sindiély Wade se la coule douce au Maroc. Où, elle prend part au Rallye Aicha des Gazelles qui se tient du 19 mars au 02 avril 2011.
La fille du président Abdoulaye Wade est une férue des sports automobiles. Sindiély Wade qui est absente du territoire national a été aperçue dans le désert du Maroc où elle participe au rallye Aicha des Gazelles.

Cette compétition exclusivement dédiée aux femmes enregistre la 6e participation du conseiller du président de la République. Avec sa coéquipière, Carole Montillet qui est une sportive française en retraite, leur équipage est annoncé par les organisateurs comme étant un des équipages les plus prometteurs de ce rallye 100% féminin où plus de 200 femmes de 33 nationalités différentes s’affrontent lors de leur traversée du désert marocain. Ce qui est effectif sur le terrain car peut-on apprendre que Carole et Syndiely garde la tête du classement général dans la catégorie 4x4.

Mais soulignons que ce rallye qui ne sera pas une partie de plaisir pour le…contribuable sénégalais constitue le rendez-vous des femmes qui n’ont pas de soucis financiers. Car pour celles qui ne viennent pas avec leurs propres véhicules, il leur est proposé d’en louer. Et pour louer un 4X4 (Comme celui de Sindiély Wade) tout compris avec assurance, il faut débourser entre 5000 (3 millions de f Cfa) et 6000 euros (3 millions 600 mille).

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L'UJTL enregistre un taux de 91 % pour le renouvellement de ses structures

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Le Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) a enregistré un taux de 91 pour cent dans le cadre des opérations de renouvellement des structures de l’Union des jeunesses travaillistes et libérales, (UJTL), a indiqué, jeudi à Dakar, le coordonnateur de ce processus, Mamadou Seck.
L'UJTL enregistre un taux de 91 % pour le renouvellement de ses structures
M. Seck s’exprimait lors d’une conférence de presse portant sur la première évaluation des renouvellements des structures de l’UJTL au plan national.

‘’Nous pensons que c’est un grand succès. Il y a des recours que nous recevons mais, globalement, c’est une grande satisfaction’’, s’est félicité le président de l’Assemblée nationale, entouré de Joseph Ndong (ancien ministre) et des ministres Modou Diagne Fada (Santé et Prévention), Aliou Sow (Décentralisation et collectivités locales) et Mamadou Lamine Keïta (Jeunesse).

‘’Déjà dimanche soir (jour du lancement), a-t-il poursuivi, nous étions à 70 pour cent et, au moment où on vous parle, peut-être que ce taux (91%) est dépassé’’. Selon lui, les responsables continuent à tenir les assemblées générales des Comités de liaison communaux (CLC) et des Comités de liaison régionaux (CLR).

M. Seck explique que le succès des renouvellements est dû au fait que, depuis dimanche, jour du lancement des opérations, ‘’ commissaires et superviseurs ont été déployés sur les 536 communes et communautés rurales’’.

‘’Des renouvellements ont lieu dans les 487 (collectivités) et il nous reste 49 communes et communautés rurales’’, a-t-il relevé.
Le renouvellement de ces 49 collectivités qui restent pourrait se faire d’ici la fin de la semaine, a-t-il indiqué.

Se félicitant des renouvellements effectués en quelques jours, le coordonnateur du processus de renouvellement des structures de l’Union des jeunesses travaillistes et libérales (UJTL) a souligné que jamais un nombre aussi élevé de commissaires et de superviseurs n’a été déployé pour des renouvellements sur toute l’étendue du territoire.

‘’L’ensemble des communes, communautés rurales, a-t-il assuré, ont reçu la visite de commissaires, le dimanche 27 mars, sur les 536 communes’’.

http://afriquehebdo.com/

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Afrique : la réorganisation du système de santé devient urgente

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En Afrique, la santé est un véritable problème pour les populations les plus vulnérables. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) le financement de la santé pour les ménages africains peut atteindre 40% du revenu du couple, une situation catastrophique qui soulève la question du financement des soins sur le continent.
Afrique : la réorganisation du système de santé devient urgente
Santé : les Etats africains gèrent le budget

Comme le coût des soins est souvent trop élevé pour les africains, ces derniers favorisent les dépenses à la consommation plutôt qu’à la santé. Cependant, les pays d’Afrique se penchent de plus en plus sur la question des difficultés d’accès aux soins pour des raisons financières. L’objectif de ces pays est de se tourner « vers une couverture universelle des soins de santé en Afrique ».

Sénégal : les mutuelles santé deviennent des mutuelles sociales

Les chiffres sont impressionnants : seuls 20% des sénégalais possèdent une mutuelle santé. Les autres sont contraints d’avoir recours au paiement direct des frais de santé. Le gouvernement sénégalais a en ce sens mis en place des solutions tendant vers la gratuité des soins. Afin de soulager les populations sénégalaises les plus pauvres, des centres de mutuelle santé ainsi que des fonds de solidarité ont été également instaurés.

Rédigé par Stéphanie Robert maguinee

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Bécaye Mbaye : « Wade a le droit de recevoir les lutteurs »

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LERAL.NET - Le président Abdoulaye Wade a reçu l’association des lutteurs en activité à qui il a promis 2 milliards de francs pour une mutuelle avant de leur remettre 10 millions pour leur transport. Une initiative que le chroniqueur Bécaye Mbaye a salué dans un entretien avec le quotidien dakarois Banc Diakhlé lu par Leral.net
Bécaye Mbaye : « Wade a le droit de recevoir les lutteurs »

Selon le reporter et membre de l’association des communicateurs traditionnels, le président de la République a le droit de recevoir l’association des lutteurs en activité dans la mesure où « les lutteurs le méritent ». Et à ceux qui s’en prennent aux lutteurs qui ont répondu à l’appel de Wade, Bécaye Mbaye veut leur faire comprendre ceci : « Imaginez qu’il y a plus 7000 lutteurs licenciés qui ont besoin de ces deux milliards. Si on ne les aide pas, certains n’arriveront pas à faire carrière dans la lutte, ce seront des malfaiteurs qui passent tout leur temps à dépouiller et tuer les honnêtes gens » Le chroniqueur d’ajouter que ceux qui sont contre cette mesure prise par le chef de l’Etat à l’endroit des lutteurs en activité ne comprennent rien. En tout état de cause, cette audience fait encore jaser dans le milieu de la lutte d’autant plus que pour certains, cela s’est fait en éloignant les principaux acteurs de la lutte.

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PLAINTE CONTRE SON FILS POUR VOLS REPETITIFS ET ABUS DE CONFIANCE : Idrissa Seck entendu à deux reprises par la Sûreté Urbaine

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L’ancien Premier ministre a été auditionné deux fois par la Sûreté urbaine (Su) de Dakar, pour s’expliquer à propos d’une affaire de vol dont son propre fils est l’acteur principal. Idrissa Seck a porté plainte contre son rejeton, Abdoulaye, avant de se désister de toutes les poursuites à son encontre. Une autre plainte pour abus de confiance avait également été déposée à la Dic contre ce même adolescent.
PLAINTE CONTRE SON FILS POUR VOLS REPETITIFS ET ABUS DE CONFIANCE : Idrissa Seck entendu à deux reprises par la Sûreté Urbaine
Tout est parti d’une plainte déposée à la Division des investigations criminelles (Dic) par un certain Moustapha Ndoye, commerçant de son état et domicilié à la Sicap Sacré-Cœur. Ce dernier avait décidé de saisir la Police après les agissements du nommé Abdoulaye Seck, domicilié au Point E, Rue 2. Motif de la plainte : « abus de confiance portant sur une moto de marque Triumph, Série 1050, d’une valeur de 3 250 000 FCFA ». Dans sa déposition, le plaignant avait soutenu qu’il avait prêté son engin en septembre 2010 au mis en cause «étudiant en France et venu en vacances au Sénégal». Mais au moment de repartir au pays de Sarkozy, Abdoulaye Seck a vendu la moto à un certain Omar Bongo Guèye. Les policiers estiment qu’après une « enquête minutieuse », ils ont conclu que le mis en cause est le fils de l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck. Il se trouve que l’actuel maire de Thiès avait déposé une plainte contre son propre rejeton à la suite de vols répétés.

Idrissa Seck convoqué à deux reprises

Forts de tous les éléments à leur disposition, et après avis favorable du Procureur, les enquêteurs de la police ont alors décidé de convoquer les différents protagonistes de cette affaire pour les entendre. C’est ainsi que le 03 novembre 2010, l’ancien Premier ministre a été entendu à la Sûreté urbaine. «Il a confirmé les termes de sa plainte contre son fils Abdoulaye. Il a déclaré avoir été contacté au téléphone par un individu du nom de Tapha Ndoye qui l’informait que son fils avait vendu la moto qu’il lui avait prêtée. De ce fait, ce dernier avait menacé de s’en prendre à son fils, en le traînant devant la justice », lit-on dans le procès-verbal de la Police qui ajoute qu’Idrissa Seck avait également sollicité que son fils soit protégé contre toute influence extérieure, notamment contre les hôtels et les boîtes de nuit qui lui fournissent des services sans qu’il ne présente une pièce d’identité.

Par la suite, Idrissa Seck s’est à nouveau présenté à la Sûreté urbaine, pour «se désister de toutes poursuites à l’encontre de son fils». Informé du désistement de l’ancien Premier ministre, le Procureur de la République a ordonné la remise en liberté de Abdoulaye Seck et Moustapha Ndoye qui étaient placés en garde-à-vue.

Le fils d’Idrissa Seck avoue la série de vols

Lors de son audition sur procès-verbal au début du mois de novembre 2010, Papa Abdoulaye Seck, né le 08 janvier 1992 à Dakar, de Idrissa Seck et de Ndèye Penda Tall, élève en classe de 1ère à la Mfr de Saint Flour en France, domicilié au Point E, avait reconnu les faits en y apportant quelques précisions. Il a déclaré que durant les vacances de l’été 2010, il avait soustrait, à l’insu de son père, une somme de 5 millions de francs dans sa chambre à coucher. Après le vol, il a confié l’argent au nommé Tapha Ndoye. Mais ce dernier ne lui a restitué que la somme de 3.200.000 FCFA. C’est alors qu’il a récupéré sa moto pour la vendre au nommé Bongo à 1,5 millions de francs. Au terme de cette opération, il a offert à Tapha Ndoye un montant de 500.000F devant le prénommé Lilou.

Par ailleurs, selon le Pv à notre possession, Abdoulaye Seck a soutenu que le 28-12-2010, après que son père l’eut informé que le nommé Tapha Ndoye avait porté plainte contre lui et qu’il allait le conduire en prison, il a fugué de leur domicile à Saly. Mais avant de disparaître, il avait soustrait une somme de 3 millions de francs dans le véhicule de son père. Avec cette somme, il a regagné Dakar pour louer un véhicule «Range Rover», un appartement auprès du nommé Daouda Mbow et une suite à l’hôtel Radisson où il a été interpellé par la police.

Le fils d’Idrissa Seck a aussi informé les enquêteurs qu’il a toujours bénéficié de la protection rapprochée des gardes corps de son père à qui il payait la somme de 200.000F. «Cet argent a été remis au principal garde du corps de son père, Vieux Sandiéry Diop», a-t-il précisé. Abdoulaye Seck a également renseigné qu’avant d’atteindre l’âge de 15 ans, il chipait à son père des montants qui variaient entre 3 et 10 millions de francs.

SERIGNE SALIOU SAMB l'observateur

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Info Web : Leral.net achète Seneweb.com

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Le premier portail ouest africain Seneweb.com est sur le point de tomber dans l’escarcelle du groupe Leral. Editeur du portail Leral.net. En effet, selon des sources dignes de foi, Seneweb.com a été acheté par le groupe Leral qui aurait décidé de changer le nom de domaine du site en 01senegal.com. Qui, selon notre source, sera lancé le 04 avril, jour du combat de Lac 2 et Modou Lô.
Info Web : Leral.net achète Seneweb.com

Ceci, est le fruit de longues négociations qui ont été menées entre les deux groupes. Seneweb Networks a jugé nécessaire de céder ses actions au premier Groupe cité. Le montant de la transaction serait fixé à 450 millions de francs Cfa.

Toutefois, l’administrateur du groupe Leral a tenu à apporter des précisions sur l’avenir des travailleurs de Seneweb.com. « Nous confirmons que seneweb.com et Leral.net ne feront qu’un portail qu’on appellera 01senegal.com. Mais je tiens à préciser que les travailleurs de seneweb.com seront maintenus à leurs postes. C’est ainsi qu’il a été décidé que Serigne Diagne restera l’innovateur, Abdou Salam Fall qui doit être à Dakar pour le lancement de 01senegal.com sera le conseiller en sécurité Web, alors que Amdy Moustapha Ndiaye sera chargé du multimédia », nous a confié l’administrateur du groupe Leral.

Qui assure que le nouveau portail a été conçu en adéquation aux désirs des internautes qui, selon lui, aspirent à l’information à temps réel. Crédo de Leral.net qui passera le témoin à 01senegal.com.

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Conflit entre chauffeurs sénégalais et gamiens :Le Premier ministre s'investit pour un solution heureuse

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Les transporteurs sénégalais avaient décidé de boycotter le passage par la Gambie pour prendre la voie de contournement Tambacounda. Face à cette décision, des discussions ont été ouvertes entre les transporteurs gambiens et sénégalais. Sur ce, la Premier Ministre a décidé de s’investir afin de trouver une solution heureuse, a révélé M Madické Niang, Ministre des affaires étrangères lors de sa conférence de presse tenue ce mardi 05 avril dans les locaux dudit ministère.
Conflit entre chauffeurs sénégalais et gamiens :Le Premier ministre s'investit pour un solution heureuse
Par ricochet, le Président de la République s’était rendu en Gambie le 07 janvier 2010 pour régler ce problème. Dans ce sillage, il a demandé au Président Yaya Jammeh de mettre en œuvre la décision qui a été prise relativement à la mise en place de patrouille commune entre le Sénégal et la Gambie.
Selon Madické Niang, les autorités gambiennes ont donné leur accord et le Sénégal a décidé des modalités qu’il faut tenir. A en croire, Me Madické Niang, « la Gambie aura la propriété de gérer le pont réalisé uniquement sur son territoire ». Par ailleurs, il a rappelé que puisque « le Sénégal a une servitude de passage sur la Gambie, les chauffeurs peuvent discuter sur les modalités de passage sur ce pont ».

Mariama LY NIANG (stagiaire) pressafrik.com

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BREST : DAF NE SERA PAS OPÉRÉ, MAIS..

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BREST : DAF NE SERA PAS OPÉRÉ, MAIS..
Touché au coude samedi à Sochaux, le défenseur international sénégalais de Brest, Omar Daf (34 ans), ne sera pas opéré, mais devra rester éloigné des terrains cinq semaines.

Victime d’une luxation du coude samedi à Sochaux, Omar Daf a passé des examens mardi. Verdict : le latéral international sénégalais du Stade Brestois ne subira pas d'intervention chirurgicale puisqu'aucun ligament n'est arraché. Mais son absence sera de cinq semaines. « Il portera donc une attelle amovible pendant trois semaines et fera dans le même temps de la rééducation. S'en suivront pour lui deux semaines de travail pour préparer un retour au terrain qui pourrait se faire à l'occasion de la réception de Lyon le 15 mai », précise le club breton sur son site officiel. Un coup dur pour Daf et ses coéquipiers, en lutte pour le maintien en Ligue 1…

P.J (Rédaction Football365/FootSud

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Un expert électoral sénégalais parmi les victimes du crash de Kinshasa

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Le chef de la division électorale de la Mission des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI), Ahmedou El Becaye Seck, figure parmi les victimes de l'accident aérien survenu lundi à un avion de la Mission de l'ONU en République démocratique du Congo (RDC), a annoncé mardi l'ONUCI
Un expert électoral sénégalais parmi les victimes du crash de Kinshasa
M. Seck, de nationalité sénégalaise, avait été détaché de manière temporaire en RDC dans la perspective des élections générales qui doivent s'y tenir à partir de la fin de l'année, a précisé l'ONUCI dans un communiqué.

Le chef de l'ONU en Côte d'Ivoire, Choi Young-jin, a rendu hommage à son adjoint, soulignant qu'il était "l'un des meilleurs experts électoraux des Nations Unies".

Trente-deux personnes, dont deux ressortissants belges, ont péri lundi sur l'aéroport de Kinshasa-N'Djili dans l'accident d'un avion de la Mission de l'ONU en République démocratique du Congo (Monusco), un Bombardier CRJ-100 loué à la compagnie aérienne Airzena Georgian Airways.

Une seule personne sur 33 a survécu à ce crash, le premier impliquant un appareil de l'organisation dans ce pays depuis le début de sa mission en 1999. (belga)

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Pornic : Visas refusés à 12 lycéens sénégalais ou la bêtise de fonctionnaires consulaires !

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Un échange amorcé depuis 1993, entre le Lycée Charles-De-Gaulle de Saint-Louis du Sénégal et le Lycée du Pays-de-Retz de Pornic (44) a été victime de la bêtise de fonctionnaires français du consulat de Saint-Louis. Ils ont refusé le visa de 12 lycéens sénégalais qui devait passer deux semaines dans le lycée et et être hébergés dans des familles de lycéens de Pornic. Comme en 2010, 18 lycéens Pornicais avaient pu passer deux semaines sur le thème du développement durable.
Pornic : Visas refusés à 12 lycéens sénégalais ou la bêtise de fonctionnaires consulaires !
Donc, dimanche, les lycéens, parents et enseignants du Lycée de Pornic ont appris avec consternation et colère que les jeunes sénégalais qui devaient participer à ce 7e voyage avaient vu l’avion qui devaient les emmener à Paris décoller sans eux. L’enseignant, qui devait ensuite les guider jusqu’à la Gare Montparnasse, les a attendus en vain à l’aéroport.

En effet, une première demande de visas est refusée, une seconde également. Et, à chaque fois il a fallu verser 1000 € au consulat (caution remboursée en cas de refus ? ou sommes versées à fonds perdu ? même dans le 1er cas, il ne vaut mieux pas qualifier le procédé).

Toujours pour les mêmes motifs que le proviseur du Lycée de Pornic récuse : « d'une part, absence de suffisamment de preuves de moyens de subsistance en France. C'est archifaux. Nous nous sommes engagés à honorer tous les frais et le certificat d'hébergement a été signé par le député-maire, Philippe Boënnec. D'autre part, absence de preuves de volonté de bien vouloir quitter le territoire à l'issue du séjour. C'est un procès d'intention ! Nous en sommes au septième échange, il n'y a jamais eu de problème ! » Il ajoute : « Je suis intervenu auprès de Philippe Boënnec, qui a pris contact avec les Affaires étrangères, l'Intérieur et l'Éducation nationale. » Le député-maire UMP s'avoue « surpris de cet excès de zèle du consulat. Avec la préfecture et les ministères, nous faisons tout pour que ça se règle. » leral.net

L’espoir de voir arriver les 12 lycéens n’est pas tout-à-fait nul. Sous réserve que le voyage annulé soit bien remboursé, puis qu’il y ait un vol disponible à brefs délais…

Mais cet « excès de zèle » n’est pas isolé. Ainsi, en 2010, la ville de Clamecy avait dû annuler une quinzaine culturelle Malienne, les visas ayant été refusés aux artistes invités. Et ce n’est que la partie visible de l’iceberg. Si excès de zèle il y a, il est le résultat de consignes restrictives – fruit d’une politique portée par Besson, Hortefeux et maintenant Guéant. Elle va avoir comme conséquence d’éloigner peu à peu de la francophonie de futures élites africaines qui trouveront un meilleur accueil dans des pays prêts à concurrencer ce qui reste d’influence française. Ou comment une vision bornée et électoraliste aboutit à se tirer une balle dans le pied.

Source Ouest-France avec leral.net

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Marocains du Sénégal : L’ambassade traîne en justice une association

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La querelle au sein de la communauté marocaine du Sénégal s’aggrave. L’actuel ambassadeur du Maroc au Sénégal, M. Taleb Berrada a assigné l’association du Conseil National des Marocains au Sénégal (CNMS) à comparaître le 5 mai devant le Tribunal hors classe de Dakar.
Marocains du Sénégal : L’ambassade traîne en justice une association
L’affaire qui oppose depuis deux ans l’association du Conseil National des Marocains au Sénégal (CNMS) à l’ambassadeur du Maroc au Sénégal, M. Taleb Berrada s’envenime. L’ambassade, par le biais de l’agence immobilière « Indépendance immobilière » a assigné à comparaître le CNMS le 5 mai devant le Tribunal hors classe de Dakar.
Elle lui réclame le paiement de 3 000 000 FCFA (plus de 53 000 DH) : le loyer, pour l’année 2010 d’une villa à Dakar, dont l’ambassade est propriétaire au nom de la communauté marocaine dans son ensemble. Un huissier est même venu, le 26 mars, saisir les biens de l’association, avant d’être renvoyé par Mohamed Farssi, président du CNMS.
Depuis 2001, le CNMS occupe cette villa comme local dans le cadre de ses activités associatives. « Nous réalisions des projets pourvoyeurs d’emplois et de revenus pour la communauté marocaine », explique Mohamed Farsi. D’après lui, les différents contrats signés avec l’agence immobilière et qui avaient toujours été avalisés par l’ambassade stipulaient qu’il n’y avait versement de loyer que dans le cas où des projets rémunérateurs y étaient réalisés. « Pas de projet, pas de loyer », résume M. Farsi, or depuis 2010, aucun projet, propre à l’association n’y a été mis en place. L’ambassadeur, sans s’exprimer sur ces contrats, estime normal que l’association de M. Farssi verse le loyer.
Imbroglio
Pour saisir la position des deux protagonistes, il faut revenir à l’histoire du fonds social donné par Hassan II aux plus pauvres de la communauté marocaine du Sénégal, en 1964. La communauté avait alors décidé d’investir l’argent dans l’achat de trois villas. Depuis 2001, « le CNMS a obtenu la gestion de ce fonds c'est-à-dire des revenus qui proviennent de la location des villas. De son propre chef, il s’est aussi attribué l’une d’entre elles », affirme M. Taleb Berrada. Le président du CNMS, soutient, lui, avoir fédéré plusieurs associations pour la gestion de la villa. Quelque soit le point de vue, puisque il est acquis que les villas relevaient du gestionnaire du fonds, le CNMS se versait à lui-même un loyer.
Selon l’ambassadeur les autres associations marocaines au Sénégal se seraient senties lésées et auraient demandé à bénéficier, elles aussi, de ce fonds attribué au CNMS par l’ancien ambassadeur. En 2009, « j’ai pu obtenir du CNMS qu’il rende la gestion du fonds à l’ambassade en attendant de former un collectif d’associations pour s’en occuper », explique M. Berrada. En 2010, le CNMS n’avait donc plus la gestion du fonds et les projets menés au sein de la villa qui lui servait encore de local n’étaient pas les siens, mais étaient financés par le ministère de la Communauté marocaine à l’étranger.
Affrontement entre associations
Il est donc malaisé de savoir si le CNMS a encore l’obligation légale de verser le loyer qu’on lui réclame. Si le Tribunal hors classe de Dakar parvient à trancher l’affaire jeudi 5, il est certain qu’il ne mettra pas pour autant terme à la querelle qui oppose le CNMS et l’ambassade du Maroc au Sénégal. Le 15 août 2010, le CNMS ainsi que d’autres associations publiaient dans le Maghreb Observateur une lettre ouverte à l’ambassade pour l’accuser de favoritisme. « Pourquoi les Marocains membres de nos associations n’ont-ils pas le droit d’assister à la fête du trône qu’organise l’ambassade à Dakar, alors que les vôtres ont reçu les invitations? » Selon, M. Farsi, l’ambassade a pris en grippe l’action du CNMS, qu’elle estimerait insuffisamment « soumis », et préférait installer dans la place des associations qui lui sont affiliées. 7 associations se sont, en tout cas, exprimées dans le quotidien sénégalais le Matin, le 30 mars, pour soutenir l’action de l’ambassadeur.
M. Taleb Berrada, reconnait l’existence de ces deux parties mais assure qu’il ne prend parti pour personne : « Je me place au dessus de la mêlée », affirme-t-il. Il assure même que la procédure judiciaire lancée contre l’association de M. Farsi ne relève pas de son initiative. « L’agence immobilière a seule la responsabilité de recevoir les loyers », assure-t-il. L’ambassadeur reste toutefois le donneur d’ordre comme le stipule le « commandement assignation en référé » reçu par le CNMS, le 25 mars. Selon l’ambassadeur, « M. Farsi souhaite rester le seul interlocuteur de la communauté marocaine auprès de l’ambassade et ce n’est pas acceptable. »
Julie Chaudier
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Pds : Les femmes en ordre de bataille contre Awa Guèye Kébé

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Leral.net – La bataille pour le contrôle des femmes libérales continue de faire rage au Parti démocratique sénégalais (Pds). Awa Diop bénéficie d’un soutien taille : les femmes libérales de la région de Dakar.
Pds : Les femmes en ordre de bataille contre Awa Guèye Kébé
La résistance s’organise au tour d’Awa Diop puisque maintenant les femmes libérales du département de Dakar sont montées au créneau. D’après le quotidien Rewmi, les femmes libérales de la capitale avertissent : « Si la volonté des femmes du Pds n’est pas prise en compte, elles vont tourner le dos à Abdoulaye Wade. »

Rewmi revient sur la houleuse rencontre du dernier comité directeur du Pds et les échanges entre Awa Diop et Abdoulaye Wade. Selon le journal, « les échanges de paroles aigres-doux entre Awa Diop et Abdoulaye Wade retentissent jusqu’à présent dans l’oreille des femmes libérales puisque Abdoulaye Wade a balancé à la figure du mouvement national des femmes libérales que si elle était une femme instruite, il allait la nommer Premier ministre. Et Awa Diop de répliquer, déclarant à Wade, que ce sont ces femmes analphabètes qui l’ont porté au pouvoir. »

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Accusé de trahir la mémoire de Serigne Saliou et de Serigne Mourtada : Me Wade brocardé par des petits-fils de Serigne Touba

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LERAL.NET - Les petits-fils de Serigne Touba sont remontés contre le président de la République. Pour ces derniers, Me Wade a trahi Serigne Saliou et Serigne Mourtada Mbacké.
Accusé de trahir la mémoire de Serigne Saliou et de Serigne Mourtada : Me Wade brocardé par des petits-fils de Serigne Touba
C’est Serigne Abo Mbacké, petit-fils de Serigne Mourtada Mbacké qui monte au créneau pour fustiger l’attitude du président de la République qui, selon le porte-parole des petits-fils de Serigne Touba « a trahi la mémoire de Serigne Saliou et de Serigne Mourtada Mbacké ».

Serigne Abo Mbacké Ibn Serigne Fallou Mbacké Mourtada est d’avis que si les relations entre Wade et Touba se sont détériorées, c’est dû au fait que celui-ci ne respecte pas ses engagements pris auprès des autorités religieuses de la ville sainte. « Par exemple, la promesse de construire les 12 kilomètres de route goudronnée du village de Derklé où repose Mame Mor Anta Saly Mbacké, père de Serigne Touba, la récupération des terres qu’il avait données à Serigne Saliou réaffectées à Dangoté », sont les exemples patents de la trahison de Wade à la mémoire de Serigne Saliou Mbacké.

Une situation qui révolte le mouvement des petits-fils de Khadimou Rassoul qui, rencontrant la presse au domicile de Serigne Mourtada Mbacké ce mardi, trouvent qu’il est temps de sonner l’heure du départ de Wade non sans dénoncer dans les colonnes de Walf Grand’Place la distribution d’argent qui se fait au Palais. Ils ont par ailleurs dénoncé le mutisme des chefs religieux face aux difficultés que vivent les sénégalais.

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Reçus par Wade : Les militaires invalides repartent avec 13 millions de fr Cfa

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LERAL.NET - Et le président de la République remet ça. Wade qui recevait hier l’association des Militaires invalides (Anamis) a, à l’issue de l’audience, remis une enveloppe de 13 millions à ces bannis de la Grande muette. Mais cet argent a semé la discorde au sein des militaires invalides puisque les maintenus pour raison de santé (Mrs) se sont sentis lésés.
Reçus par Wade : Les militaires invalides repartent avec 13 millions de fr Cfa
Selon le quotidien dakarois Banc Diakhlé, c’est au siège de l’Anamis que les militaires invalides ont voulu régler leur compte. Et c’est le président de Mrs qui ouvre le bal en interpellant le président de l’Anamis qui, à en croire Ibrahima Ndoye a voulu verser la somme offerte par le chef de l’Etat dans le compte bancaire de l’Anamis. Ce qui n’était pas du goût des militaires invalides qui attendaient au siège, le retour de leurs délégués. Pour Ibrahima Ndoye, président de Mrs, le président de L’Anamis devait suivre l’exemple des veuves qui sont revenues avec 5 millions au siège pour décider de ce qu’elles vont faire de l’argent.

Mais au-delà des 13 millions que leur a offert le chef de l’Etat, Ndoye veut attirer l’attention de l’opinion sur la situation précaire que vivent les militaires maintenus dans l’armée pour raison de santé. « Nous percevons un salaire de 11 600 fr Cfa », fait-il savoir dans les colonnes de Banc Diakhlé. Poursuivant, Ibrahima Ndoye fait état de son souhait de rencontrer le président de la République pour une meilleure considération.

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Gbagbo "bientôt" capturé selon les pro-Ouattara

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Laurent Gbagbo vit ses dernières heures au pouvoir. Le candidat malheureux des élections présidentielles de novembre 2010 voit venir sa chute.
Gbagbo
Les forces d'Alassane Ouattara ont reçu l'ordre de pas tuer Laurent Gbagbo, dit un porte-parole du président élu à Reuters, contredisant les déclarations du camp Gbagbo. Le camp Ouattara, lui, se montre confiant. A France 24, Affoussy Bamba, une porte-parole du président reconnu par la communauté internationale dit que le président sortant, réfugié dans son bunker, sera "bientôt" capturé.

Le camp Gbagbo dénonce une "tentative d'assassinat" du président ivoirien sortant, accusant les combattants d'Alassane Ouattara et la force française Licorne, alors que sa résidence et son palais étaient attaqués.

l'Express

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Talla Sylla observe une grève de la faim

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LERAL.NET- Talla Sylla est déterminé à en découdre avec le régime libéral. Le précurseur du mouvement « Wallu » se livre depuis hier à une grève de la faim. Ce, pour amener Me Wade à démettre Me Souleymane Ndéné Ndiaye de son poste de Premier ministre et de mettre sur pied un gouvernement d’union nationale. L'information a été livrée par la Radio futurs médias.
Talla Sylla observe une grève de la faim
Il faut dire que cette diète fait partie du plan d’action qu’avait déroulé le leader de Jef Jel pour obtenir la démission ou le limogeage de Souleymane Ndéné Ndiaye qui, selon Talla Sylla ne doit pas continuer à occuper la fonction de Premier ministre du Sénégal après avoir été nommé Directeur de campagne de Wade.

Dans ce sillage, Talla Sylla a le lundi dernier voulu organiser une marche au rond point Jet d’eau. Mais les policiers ne l’ont pas laissé faire et le candidat de Benno Taxawal Senegal aux présidentielles de 2012 a passé plus de 10 tours d’horloges au commissariat central avant d’être relâche.

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