Ouza Diallo répond sèchement à Seydi Gassama : "Je ne suis pas inscrit sur la liste des nègres de service..."
Bagarre : Un apprenti "Car rapide" tente de trancher la gorge de son collègue avec un tesson de bouteille
regagne son véhicule après que les autres apprentis et « coxeurs » ont fini de les séparer. Au moment où le chauffeur du car rapide montait au volant pour prendre le départ, le prévenu descendit du véhicule, en brandissant un tesson de bouteille à la main, lequel atterrit sur la carotide de son adversaire. Celui-ci, transporté à l’hôpital a failli passer de vie à trépas. Devant la barre du tribunal, Daour Sène s’est confondu en excuses surtout après les remontrances du procureur qui finira par requérir six mois d’emprisonnement ferme. La défense plaidera la clémence du tribunal et croit qu’au moment où son client descendait du véhicule pour aller en direction de la victime, il n’était plus lui-même. Il était dans un état second. Selon toujours la défense, les deux familles se sont rapprochées et celle du prévenu a pris l’engagement de prendre totalement en charge les soins médicaux de la victime. Le tribunal, après délibération a reconnu le prévenu coupable et l’a condamné à six mois dont deux fermes.
Crise de la Sénégambie : Un peuple, deux Etats - Par Mamadou Diop «Decroix»
Les propos qui suivent ne sont pas ceux d’un citoyen lambda mais sont bien du Président du groupe parlementaire de la Majorité à l’Assemblée nationale du Sénégal. Je le cite :«Il est grand temps de se mobiliser pour se débarrasser de Jammeh. J’appelle à son départ. Il est temps de résoudre la question Yaya Jammeh». Fin de citation. La question légitime qui vient à l’esprit est celle de savoir comment une autorité de ce rang peut-elle se permettre une déclaration aussi grave qu’irresponsable et prétendre qu’il défend ainsi les intérêts du peuple Sénégalais ? Bon Dieu ! Quelle catastrophe ! Comment, après une telle sortie, prétendre qu’on défend la cause de l’Opposition gambienne, ou celle du peuple gambien ? Et si l’homologue du président du groupe parlementaire de la Majorité en Gambie prenait une position publique à son tour pour appeler au renversement de MackySall ? Voilà comment on donne du grain à moudre à tous ceux qui, en Gambie comme au Sénégal, tentent de faire de la crise un fonds de commerce.
Encore une fois de plus, nous avons ici l’obligation de revenir à la lucidité et à l’esprit de responsabilité. L’Histoire ne se répète pas. Ce qui s’est passé en 1981 (époque encore de guerre froide) quand le Sénégal décidait de chasser les putschistes avec à leur tête Kukoy Samba Sagna qui s’étaient rendus maîtres de Banjul, pour réinstaller Daouda Jawara, ne se reproduira pas. Yaya Jammeh n’est pas seul. Des accords de défense solides le lient à ce qu’on pourrait appeler des puissances de la sous-région sans compter que l’ère de la guerre froide qui pouvait justifier l’intervention sénégalaise de l’époque est terminée. Ce qu’il nous faut faire, c’est de partir des causes profondes à la base des relations heurtées entre les deux Etats pour trouver des solutions durables fondées sur la confiance mutuelle.
Un peuple, deux Etats
Tel se présente la situation entre le Sénégal et la Gambie. Aussi longtemps que l’équatio...
Les projets ‘’mort-nés’’ de Khalifa Sall
En 2014, le Conseil municipal de Dakar avait autorisé à la mairie d’émettre un emprunt obligataire de 20 milliards sur le marché de l’Union économique Ouest Africain (Uemoa). Mais pour des raisons techniques, l’Etat du Sénégal s’est désisté à deux jours du lancement de l’emprunt obligataire. Un changement qui fait tomber à l’eau plusieurs projets de la municipalité. Selon Babacar Aba Mbaye de ‘’Dakar municipal finance’’, il était prévu avec cet emprunt, de venir à la rescousse de la population dakaroise à travers des projets sociaux.
‘’Des démarches étaient entreprises pour aider les ambulants à acquérir à moindre coût un pôle commercial que nous voulions faire à Petersen’’, explique M. Mbaye. Le collaborateur de Khalifa Sall renseigne que cet emprunt devait servir à achever une grande partie des projets de la municipalité. ‘’Quand nous sommes arrivés, nous avions un déficit d’investissement à Dakar. En 2009, il n’y avait pas de feux rouges, il fallait emprunter 2 milliards pour réaliser ce projet en urgence. Le seul projet sur lequel nous avions avancé, c’était l’éclairage public parce qu’il y avait un prêt concessionnel. Nous avons trouvé des financements dans le circuit bancaire pour faire le centre commercial du marché Kermel et celui de Félix Eboué qui a été inauguré récemment.
Nous avons trouvé un prêt de 9 milliards auprès de la Boad (Banque Ouest africaine de développement) pour faire la voirie...
Serigne Modou Kara parlant de Macky Sall : «Je le porte dans mon cœur, il me porte dans son cœur»
D’autre part, le leader du Pvd dit travailler pour offrir au président Sall une «victoire rapide et spectaculaire» pour la prochaine élection présidentielle car il serait en train de mettre en œuvre un «programme basé sur la pensée de Serigne Touba» qu’il compte partager avec le locataire du Palais de la République.
Jammeh Lâche ses espions sur Dakar : L’agent Gibril, arrêté puis relâché n’est que l’arbre qui cache la forêt des agents de la NIA à Dakar
Que les services de sécurité sénégalaises et les Gambiens de Dakar se le tiennent pour dit ! Les agents de renseignements du régime Jammeh ont infesté Dakar. Et la preuve en a été donnée lors de la manifestation contre le régime gambien vendredi dernier à la place de l’obélisque, lors de laquelle, un agent de la National Intelligence Agency (NIA) a été arrêté par la police, tandis que d’autres sont en train d’être formellement identifiés.
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Gibril Kujabi, agent de la NIA
Présent lors de la manifestation des ressortissants gambiens, de concert avec la société civile sénégalaise et les organisations de défense des Droits de l’Homme, l’agent Gibril Kujabi a été arrêté par la police sénégalaise qui l’a gardé à vue pendant 72 h, avant de le relâcher. En effet, l’agent du NIA qui est officiellement en service à l’ambassade gambienne à qui on reproche de faire de « l’espionnage » sur les gambiens sur les manifestants gambiens (pourvu que ce n’est que ça) été sauvé par son statut de diplomate. Toutefois, le Sénégal qui ne peut pas l’inquiéter, vu son statut, pouvait et peut toujours le renvoyé à Banjul.
Affaire des poulets gambiens – Le contrebandier condamné à trois mois ferme
Aussitôt avisé, le chef du service départemental de l’élevage s’est rendu sur les lieux et a procédé à la saisie de la marchandise avant d’aviser ses supérieurs.
La marchandise, qui avait été jugée consommable, avait été par la suite distribuée à la Maison d'arrêt et de correction de Hann (ex Fort B), au Camp pénal, à la Prison pour femmes de de Liberté 6 et à l'Empire des enfants.
Le propriétaire de la marchandise, jugé en fin de semaine, a été reconnu coupable d’importation frauduleuse de marchandise prohibée et condamné à trois mois de prison ferme. Quant à ses présumés complices, Latyr Samb (chauffeur) et Talla Djigueul (commerçant), ils ont été purement et simplement relaxés.
117 ème Gamou de Diacksao : L'OMBRE DE DABAKH
Contrairement à Tivaouane qui est une commune, Diacksao est un lieu privé dédié à la spiritualité, l'éducation et la formation où beaucoup d'érudits, "Mouhadams", ont fait leur humanité avant d'être envoyés à travers le pays pour propager et décentraliser l'islam. C'est ainsi qu'en 1904 il a fondé le village de Fass Diacksao, année qui coïncida avec la naissance de Serigne Abdou Aziz Sy Dabakh. De 1904 à 1922, Diacksao fut un lieu d'éducation, de formation et de travail.
A sa mort le 27 juin 1922, Serigne Babacar Sy lui succéda jusqu'en 1957. Mais c'est sous le magistère d'El Hadji Abdou Aziz Sy "Dabakh", de 1957 à 1997, que Diacksao a eu le rayonnement tant souhaité par son fondateur. Mais aussi, la réalisation de nombreuses infrastructures dont la route bitumée, l'adduction en eau potable de Diacksao et des autres villages environnants, l'électrification de la localité entre autres. Le nom d'El Hadji Abdou Aziz Sy "Dabakh" est ainsi lié à celui de Diacksao.
C'est pourquoi lors de ces dernières années, Mame Abdou Aziz Sy "Dabakh", qui avait pour retraite spirituelle Diacksao, célébra la nuit du Prophète ici, après la cérémonie officielle à Tivaouane réalisant ainsi l'un des vœux de son père El Hadji Maodo Malick Sy qui avait choisi de célébrer la naissance du Prophète Mouhamed.
Ainsi le Gamou de Diacksao est deven...
Médiateurs informels dans la crise sénégalo-gambienne – Politiciens, jet-setteurs, footballeurs, musiciens… dans la danse
« Au Sénégal, la danse obscène pose un problème »
Cette journée qui a toujours été célébrée au Sénégal, a connu des progrès cette année. C’est dans ce sens que le président Ndiaye nous informe que: « cette année il y a eu une évolution dans le programme car, depuis trois (3) mois, notre association et la Direction des arts entretiennent des discussions sur des programmes pour cette journée, et, même au-delà».
Et Malal de poursuivre sur les ondes de Walf fm: «C’est vrai qu’il y avait beaucoup de problèmes entre les danseurs et la Direction des arts concernant le manque de production, de formation, mais aussi d’accompagnement pour le développement de la danse au Sénégal »
Et pour y arriver, Malal Ndiaye propose quelques ébauches de pistes parmi lesquelles la mise sur pied d’un programme de formation et d’accompagnement des danseurs. Ce projet, informe-t-il, est en discussion avec leur ministre de tutelle. Et, s’il aboutit, réglera définitivement « le problème des danses obscènes ».
pressafrik.com
Benoît Sambou : «Abdoulaye Baldé doit agir en homme d’Etat»
Pour l’ancien ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, le leader de l’Union des centristes du Sénégal (UCS) n’a pas pris toute la mesure de sa tentative de médiation en terre gambienne. De son avis, il appartient aux pouvoirs publics d’engager les pourparlers devant mener à la levée du blocus qui pénalise de nombreuses populations du Sud du pays. Ainsi, argue Benoit SAMBOU : «Les intérêts politiciens et personnels ne doivent pas être au-dessus de ceux de la Nation, et nous devons faire confiance aux autorités sénégalaises pour prendre en charge les intérêts du Sénégal. La gestion des rapports de bon voisinage entre la Gambie et le Sénégal impose qu’il y ait davantage de concertation et d’échanges entre les autorités des deux pays sur toutes les décisions impactant sur le vécu ou le travail des populations de part et d’autre de la frontière».
JAMMEH MENACE ENCORE MACKY "Je ne négocierai pas... S'il joue au fou, je suis plus fou que lui"
Poursuivant, Yaya Jammeh en rajoute cette couche assez révélatrice de son entêtement : "je ne négocierai pas cette fermeture de frontière...", si l'on en croit Dakaractu.com, qui a exploité une déclaration du Président de la Gambie.
Revenant sur ses relations avec les anciens Chefs d'Etat sénégalais, il a, parlant de la fermeture de la frontière entre le Sénégal et la Gambie, déclaré : "ils ont toujours voulu renverser mon régime, mais ils ne le peuvent pas. Abdou Diouf a fermé deux fois la frontière. Abdoulaye Wade l'a fait 5 fois".
Alors, renchérit l'homme fort de Banjul, "quand Macky Sall est arrivé au pourvoir, je lui ai dit que je n'allais même pas attendre 5 minutes. Je lui ai carrément signifié que s'il ferme la frontière, je suivrais sur sa logique et on verra bien qui en souffrira le plus.
"Les Gambiens ne souffriront pas car nous croyons en Dieu, alors que lui il a des Français"
Dans un style va-t-en-guerre qui lui est propre, Jammeh embraie dans son show en ces termes : "les Gambiens ne souffriront pas, car nous croyons en Dieu, alors que lui (Ndlr : Macky Sall), il a des Français. Et malgré cela, il a fermé la frontière.
Ce sont les Français qui l'ont instruit de fermer la frontière pour fragiliser mon économie, en faisant croire que la vie et les marchandises sont chères et que les Gambiens me détestent. Je leur ai dit que ce n'était pas vrai. Le...
Scène inédite à l’Ucad : Regardez ce que cet étudiant a fait en pleine interview devant les policiers...
Vidéo : Aminata Mbengue Ndiaye prête à financer les voleurs du bétail
Aminata Mbengue s’exprimait ainsi lors d’une tournée de visite des unités pastorales installées dans le Ferlo par le (PADAER), Madame la Ministre a profité de cette tournée pour procéder à l’inauguration d’un forage construit à Loumbi Sanarabé (département de Matam) par le Programme d’Appui au Développement Agricole et à l’Entrepreneuriat Rural. L’infrastructure qui est dotée d’un grand château d’eau, permettra d’offrir le liquide précieux à plusieurs hameaux et villages de cette zone du « diéri »
LAVIESENEGALAISE.com
«Nomade des Mers» à la rencontre des Jeunes Innovateurs low-tech du Sénégal
«Nous sommes en train de réaliser une expédition autour du monde sur un bateau-laboratoire des technologies low-tech et d’autonomie. À chaque escale, nous allons rencontrer des inventeurs et des entrepreneurs qui développent des technologies d’avenir pour qu’ils nous les apprennent et les installent sur le bateau, avant de les tester et de faire leur promotion partout autour du monde», a déclaré Elaine Le Floch, membre de l’équipage et responsable de la Logistique du catamaran «Les nomades des mers». «Le Sénégal est notre deuxième escale et nous sommes ici à Dakar pour rencontrer des jeunes dans ce sens», a-t-elle fait savoir.
Après avoir conçu un desalinisateur solaire à Agadir, l’équipage va travailler à la conception d’une éolienne DIY et d’un système d’éclairage public solaire en partenariat avec Ker-Thiossane lors du festival Afropixel.
A Dakar, l’équipe est venue apprendre des « makers » africains. (makers = inventeurs ingénieux). Au Sénégal, l’expédition s’associe au Festival Afropixel, créé par l’association Ker-Thiossäne et dont le but est de penser ensemble la ville africaine de demain pour proposer à deux ateliers de fabrication de technologies durables pour la ville : une éolienne et un éclairage solaire.
Le 3 mai l’équipe animera un atelier de fabrication d’un éclairage solaire public. En plus de quinze nouveaux participants, contribueront...
France : Evènement culturel à Sarcelle, « Au Carrefour des cultures »
L’association Sénégal Leydi Men signifiant Sénégal Notre Terre en pulaar (langue sénégalaise) est une association à but non lucratif, elle travaille sur differentes causes de solidarité internationale, humanitaires e...
Vidéo-Réaction de Serigne Cheikhouna Mbacke Bara Fallilou sur l’affaire de Béthio… Regardez
Affaire litige Foncier à Ouakam: Absence de Mbackiou Faye et de Youssou Ndoye, le gouverneur rassure
Affaire litige Foncier à Ouakam: Absence de... par senewebgroup7
Recevant des responsables de la collectivité léboue de Ouakam, le Gouverneur de Dakar, Mouhamed Fall déclare que « le titre foncier à Ouakam appartient au promoteur immobilier Mbackiyou Faye ».
Selon le chef de l’exécutif régional, « le promoteur immobilier a acquis légalement le titre foncier de plus de 4 hectares en 2007. On ne peut pas morceler le titre foncier pour le distribuer à d’autres. Ce n’est pas possible. » Il a précisé dans la foulée que le promoteur a toutes les garanties légales.
Il reconnaît par ailleurs le titre foncier N° 5007 appartient à la collectivité léboue. « Il appartient donc à la collectivité léboue de s’organiser pour l’exploitation de ses terres. Je suis prêt à les aider à s’organiser « , conseille-t-il, avant de suggérer la création d’un comité régional de suivi sur le titre foncier autour de l’aéroport.
Auteur: Ferloo - Ferloo.com
Convention de partenariat - La Caisse de dépôts et consignations et l’IAM s’engagent dans la Co-construction de projets éducatifs
Selon nos confrères de "Libération", ce partenariat s’inscrit dans le cadre de la politique de déploiement dans le secteur éducatif, et notamment de l’enseignement supérieur, de la Caisse des Dépôts et Consignations. En effet, la Caisse des Dépôts et Consignations accompagne la progression et la modernisation des universités publiques et privées. Ainsi, un partenariat avec une école de commerce comme le groupe IAM s’inscrit dans le cadre de la prise en charge des missions d’intérêt général de la CDC.
Mieux, cela illustre sa volonté d’accompagner le secteur éducatif particulièrement les établissements supérieurs dans le cadre de l’encadrement, la formation et le développement de projets professionnels des étudiants ainsi qu’à renforcer le potentiel d’expertise des deux parties prenantes.
« La CDC et l’IAM ont convenu de coopérer autour des 3 (trois) axes suivants : l’excellence académique, la pertinence économique, la citoyenneté responsable », lit-on dans le document de presse qui ajoute : « Dans le cadre du Comité de Suivi de la Coopération mis en place par la convention dont la Présidence sera assurée par Thierno Seydou Niane, et co-présidé par M. Moustapha Mamba Guirassy, les thématiques suivantes seront prioritairement mises en œuvre : Valorisation de la recherche-action, participation à la conception des programmes, au parcours pédagogique et à la validation des expériences. » En effet, la CDC participe à renforce...
Les APE (Accords de partenariat économique) : Une corde au cou de l'Afrique ! - Par Thierno Bocoum
Les Accords de Partenariat Économique UE/ACP loués et soutenus par certains de nos dirigeants actuels constituent une catastrophe pour nos populations d'aujourd'hui et de demain.
Ces accords qui interviennent après la Convention de Lomé en 1975 et l'Accord de Cotonou passé en 2000, prévoient la suppression progressive des droits de douanes sur les produits originaires de l'Union européenne à leur entrée dans les pays signataires.
Les APE qui consacreront in fine l'ouverture réciproque des marchés aboutiront indéniablement à un simple agrandissement du marché européen. Ce qui se traduira, à terme, par des flux d'exportation de l'Europe vers l'Afrique et de l'Afrique vers l'Europe à travers des européens d'Afrique qui auront fini de monopoliser les terres et les secteurs porteurs de croissance.
Ils mettront nos peuples dans la dépendance de produits européens face à une concurrence déloyale que nous ne pourrons éviter et qui ruinera inéluctablement nos producteurs. Une dépendance qui sera une arme de pression supplémentaire contre nos États.
Ils nous priveront de recettes douanières déterminantes pour les dépenses publiques et le maintien des acquis provenant des efforts de nos gouvernants. Les aides compensatoires de l'union européenne prévues à l'article 60 des APE sont dérisoires face aux pertes colossales de nos économies et ne constituent en définitive que de la poudre aux yeux.
Certes, il peut y avoir une baisse des prix à travers la multiplication de l'offre et la suppression des droits de douane, mais il y aura un défaut de pouvoir d'achat qui rendra ces prix hors de portée. Des emplois seront perdus et plusieurs familles seront sous le poids de la pauvreté, faute de revenus.
La délocalisation des industries de production de l'Europ...